Maison de Médicis

entre Lorenzo et les autres personnnages de la pièce. En outre, Lorenzaccio peut être représenté et vu par le lecteur comme étant le héros de la pièce car il sait mener à bien l'action qu'il veut entreprendre, qui est de tuer le Duc Alexandre de Médicis pour libérer Florence, contrairement à certains personnages comme Philippe Strozzi ou la Marquise de Cibo qui diffèrent leurs actions en raison d'un obstacle constitués par d'autres personnages comme Louise Strozzi et le cardinal alors que Lorenzaccio

Le patricien florentin Lorenzino de Médicis1, âgé de dix-neuf ans, jeune homme studieux, admirateur des héros de l'Antiquité latine et grecque, se voue à la restauration de la République. Tâche difficile : son lointain cousin, le duc Alexandre de Médicis, règne sur Florence en tyran avec l'appui du Saint-Empire et du pape. Lorenzo devient fidèle serviteur du duc, son familier ainsi que son compagnon de débauche. Afin de pouvoir libérer Florence de ce tyran, il projette de le tuer, soulignant la passivité

musées et palais. (Michel Ange) Florence est la puissante cité des Médicis , elle cache des trésors artistiques de la Renaissance. Les Médicis, sont une puissante famille florentine de la Renaissance italienne entre le XV° et XVIII° siècle. Pendant près de trois siècles, ils dirigent Florence. Cette famille est une famille de riches Banquiers. La réconciliation entre le pape Clément VII et l'Empereur Charles Quint permit aux Médicis de se rendre à nouveau maîtres de Florence en 1531 mais cette fois

c’est une pièce de théâtre qui relate l’histoire d’un homme qui se nomme donc Lorenzaccio. L’histoire se passe pendant la Renaissance, plus exactement à Florence, Lorenzaccio de son vrai nom Lorenzo est le cousin d’Alexandre de Médicis qui est le duc de Florence. Les Médicis régnaient en maître à Florence probablement fils illégitime de Clément VII, ne fut pas apprécié des Florentins. Il abandonna la gestion de l'État à quatre conseillers et mena une vie de débauche qui souleva l'indignation populaire

la monarchie. Lorenzaccio insiste sur le fait qu'il soit condamné d'avance: "ma tête a été mise à prix" et "condamnation éternelle aux carrefours de l’immensité". Puisque ses efforts sont restés vain pour dissoudre le pouvoir de la famille des Medicis et faire basculer la monarchie, il décide de faire face à son destin et de ne pas fuir devant la population. On pourrait dire que Lorenzaccio choisi de se livrer par lui meme. Pourtant la rançon offerte à celui qui tuera Lorenzo donne presque un

Florence, où il passe son adolescence, il entre cependant dans l'atelier du peintre fresquiste Domenico Ghirlandaio, qu'il quitte au bout d'un an (1489). Il se sent et se veut avant tout sculpteur – sculpteur sur marbre. Remarqué par Laurent Ier de Médicis, il est embauché au «casino» de San Marco, où il peut étudier à loisir la collection d'antiques du prince. Il fréquente aussi le milieu humaniste, qui aura une influence décisive sur sa formation spirituelle et sur son ambition artistique. Ses premières

des similitudes. L'époque est troublée par l'alternance rapide de régimes (républicain ou ducal) et par la résistance nationaliste à l'empire de Charles Quint. En 1527, les Florentins expulsent les Médicis et rétablissent la constitution républicaine. Mais en 1530 le pape Clément VII (Jules de Médicis), avec l'appui de Charles Quint nouvellement élu empereur, impose Alexandre comme duc de Florence. Alexandre est officiellement fils de Laurent II, lui-même fils de Pierre II, cousin de Jules ; mais

tyrannie, cet acte révèle ainsi toute la vanité de la révolte (faudrait dire en quoi). Par ailleurs, Musset présente les Républicains comme impuissants à arriver à leurs fins : le tyrannicide. Une fois le duc renversé, il est remplacé par Cosme de Médicis, pantin du clergé représenté ici comme fourbe et calculateur. L’action de Lorenzino s’avère donc inutile, puisque un despote l’autre et que son meurtre ne délivre pas pour autant le peuple florentin du joug d’un autocrate. Lorenzaccio est un personnage

d’Alexandre de Médicis lors d’une confession a son beau frère le cardinal. Elle lui avoue également ses convictions républicaines. .Acte II : La Marquise se laisse convaincre par son beau-frère, le cardinal Cibo, de céder aux avances d’Alexandre de Médicis et de devenir son amante afin qu’il revoit sa politique, afin de le sauver, ainsi que Florence, de la débauche. .Acte III : Dans, cet acte la marquise a une dernière conversation avec le Cardinal avant l’arrivée d’Alexandre de Médicis. A son arrivée

d’Alfred de Musset. Lorenzaccio est un drame romantique d’Alfred de Musset publié en 1834. Cette oeuvre librement inspiré d’Une conspiration en 1537 de George Sand et de la Chronique florentine de Varchi traite de l’assassinat d’Alexandre de Médicis à Florence en 1537. Musset ayant écrit cette oeuvre pour n’être que lu, c’est accordé des libertés dans l’écriture de celle-ci. Nous connaissons déjà le traitement originale de la règle des trois unités. Mais quant est-t-il des personnages principaux