Maison d'éducation de la Légion d'honneur

grosse et plus longue, l’air gêné par sa digestion pénible de chair humaine. II Au milieu des champs de blé et de betteraves, le coron des Deux-Cent-Quarante dormait sous la nuit noire. On distinguait vaguement les quatre immenses corps de petites maisons - 15 - adossées, des corps de caserne ou d’hôpital, géométriques, parallèles, que séparaient les trois larges avenues, divisées en jardins égaux. Et, sur le plateau désert, on entendait la seule plainte des rafales, dans les treillages arrachés

et plus longue, l’air gêné par sa digestion pénible de chair humaine. 26 II Au milieu des champs de blé et de betteraves, le coron des Deux-Cent-Quarante dormait sous la nuit noire. On distinguait vaguement les quatre immenses corps de petites maisons adossées, des corps de caserne ou d’hôpital, géométriques, parallèles, que séparaient les trois larges avenues, divisées en jardins égaux. Et, sur le plateau désert, on entendait la seule plainte des rafales, dans les treillages arrachés des clôtures

plus longue, l'air gêné par sa digestion pénible de chair humaine. I, II Au milieu des champs de blé et de betteraves, le coron des Deux− Cent−Quarante dormait sous la nuit noire. On distinguait vaguement les quatre immenses corps de petites maisons adossées, des corps de caserne ou d'hôpital, géométriques, parallèles, que séparaient les trois larges avenues, divisées en jardins égaux. Et, sur le plateau désert, on entendait la seule plainte des rafales, dans les treillages arrachés des clôtures

(peut-être soufflé par un ministre) : « Ce qu’il faut à l’Algérie, ce ne sont pas des conquérants, mais des initia­ teurs. » Or, nous sommes restés des conquérants brutaux, maladroits, infatués de nos idées toutes faites. Nos mœurs imposées, nos maisons parisiennes, nos usages choquent sur ce sol comme des fautes gros­ sières d’art, de sagesse et de compréhension. Tout ce que nous faisons semble un contresens, un défi à ce pays, non pas tant à ses habitants premiers qu’à la terre elle-même. Extrait

d’inscription au répertoire des métiers pour les artisans, à la Maison des artistes, chargée de gérer la branche arts graphiques et plastiques du régime obligatoire de sécurité sociale ou, inscription au registre du commerce pour les commerçants ou professions libérales. On notera par exemple que les membres du syndicat professionnel Ateliers d’art de France sont majoritairement affiliés à la chambre des métiers (55,4 %) mais également à la Maison des artistes (27,5 %). Lorsque la diversité des situations

d’inscription au répertoire des métiers pour les artisans, à la Maison des artistes, chargée de gérer la branche arts graphiques et plastiques du régime obligatoire de sécurité sociale ou, inscription au registre du commerce pour les commerçants ou professions libérales. On notera par exemple que les membres du syndicat professionnel Ateliers d’art de France sont majoritairement affiliés à la chambre des métiers (55,4 %) mais également à la Maison des artistes (27,5 %). Lorsque la diversité des situations

qu'en 1830, il est toujours élevé en petit sauvage inculte, qu'en 1832, l'abbé Tolbiac refuse de l'admettre au catéchisme, qu'en 1835, il est mis au collège du Havre, qu'en 1840, il passe enfin dans la classe de première qu'en 184I, il quitte la maison pour s'enfuir avec une fille. Son inconduite achève de faire de Jeanne une vieille femme (d'à peine quarante ans), une sorte de demi-vivante, qui n'a plus que ses souvenirs et ses vaines attentes. Son père est mort l'année du départ de Paul et tante

elle sort voilée. Votre peur engendre l’extrémisme ! Pourquoi, après avoir évolué avec les sélections de jeunes en France, avoir finalement choisi de jouer pour le Maroc ? Mon père, qui est marocain, voulait que je joue pour les Bleus, mais à la maison, on parlait arabe, on mangeait arabe. Je me sens français mais l’hymne marocain me touche plus que La Marseillaise. Ensuite, la France a un problème de racisme. La preuve, quand il y a un problème en équipe de France, c’est toujours à cause des Arabes

d’égalité est maintenu : c’est l’égalité devant la loi et c’est l’admissibilité de tous aux emplois civils et militaires : tt le monde peut se présenter pour ê fonctionnaire ou cadre de l’armée. On va conserver les titres de noblesse et la légion d’honneur. La liberté est aussi maintenue : liberté de presse, de religion (religion catholique déclarée religion d’Etat), liberté individuelle, liberté de propriété. Ce régime est très catholique et on va donc supprimer le divorce. La Charte

contrôlait une grande partie du monde. En 1914, les ultra-prolétaires (terrils) vivent mieux que leurs ancêtres de 1814  : ils mangent mieux (repas plus équilibrés avec de la viande), s'habillent mieux (achats au lieu de fabrication de «  vêtements maisons  »), voyagent plus, et plus loin (nouveaux modes de transport  : chemins de fer, bicyclettes (plus agréables), automobiles (plus ostentatoires, pour les notables (riches)) Les villages se vident, les Hommes se rendent sur des terres lointaines.