Maître de forges

Le silence de l’apprenti Vénérable Maître, Lors de mon passage devant la commission des cinq, il m’avait été demandé quel était le dernier livre que j’avais lu. Ce livre, c’était une relecture de l’Alchimiste de Coelho. Il s’agit du récit d’un jeune berger qui part en quête de son rêve. Initié entre autres dans le silence du désert, il apprend à écouter son cœur, à lire les signes du destin. C’était peut être aussi un signe pour moi, car ce qui m’interpelle le plus durant cet apprentissage

c’est également enseigner, ce qu’on peut qualifier de faire acquérir une connaissance ou un savoir-faire à quelqu’un. Le principe d’apprendre n’aurait donc pas uniquement un sens, mais un double sens. Cela voudrait en réalité symboliser le fait qu’un maitre enseigne une chose à son élève. Nous allons alors étudier le but pratique d’apprendre et son but théorique afin d’en savoir plus. Nous nous demanderons à quoi sert-il d’apprendre ? Apprendre a forcément des buts puisque chaque être humain a

nos yeux? Nous montrerons tout d'abord que la littérature permet de s'évader; puis dans un second temps nous prouverons que c'est un moyen de s'instruire et de transmettre le passé et en dernier lieu nous nous interrogerons sur son utilité pour nous forger notre caractère. Avant tout la littérature est un moyen d'évasion, elle développe des images qui nous font voyager à travers le monde tel que nous le connaissons mais également, au delà, dans notre imaginaire. En effet la littérature nous permet

docilité mécanique héritées de son éducation. L'apprentissage de Candide : Le personnage conquiert progressivement par l'expérience vécue une certaine indépendance intellectuelle. Sa sensibilité naturelle l'aide à confronter le monde aux leçons de son maître Pangloss : il ne pleure pas seulement quand il est chassé du château de Cunégonde, mais aussi devant Lisbonne dévastée ou le nègre mutilé. L'émotivité du personnage accentue d'ailleurs la consistance du récit en donnant une résonance humaine aux moments

politique et militaire de Mantoue à cette époque était particulièrement fragile. Les guerres d'Italie avaient créé un climat dans lequel le pouvoir changeait constamment de mains entre les puissances européennes, et François Gonzague n'était pas disposé à forger des alliances qui s'avéreraient infructueuses à l'avenir, menaçant

liberté, si on ne s’en sert pas pour décider, se constituer, puis lutter pour se garder et pour grandir ». Il est vrai que, tout au long de son existence, l’Homme s’est battu pour acquérir sa liberté, pour pouvoir s’exprimer. Nous sommes désormais maîtres de nos pensées et de nos croyances. Tout d’abord, pour Sartre, l’existence précède l’essence; c’est à l’Homme de déterminer lui-même son essence. Il est le résultat de ses choix et il est donc responsable de ce qu’il est. A la différence de

professeur à l’École impériale de danse en 1858, puis maître de ballet au Théâtre impérial en 1859, succédant à Jules Perrot (1810-1892). Sa carrière se divise en deux périodes. Petipa consacre les quinze premières années qu’il passe en Russie à s’assurer la maîtrise de l’école de danse et de la scène du Théâtre impérial. En effet, à cette époque, les danseuses russes évincent tour à tour toutes les étoiles étrangères de passage. Petipa s’enorgueillit de forger le ballet, voire l’école russe de ballet, où

est mort. La nouvelle est terrible : Kuzu sent le sol s’ouvrir sous ses pieds. Il a parcouru le monde avec tellement de courage et maintenant… il n’y a que du vide. Il ne reste que ces minuscules graines qui ne servent plus à rien depuis que son maître est mort. A quoi bon les garder ? Elles lui rappellent surtout qu’il a failli à sa mission : si seulement il n’avait pas passé du temps avec le monde à apprendre, à comprendre, à écouter, à échanger, à partager, à grandir… Ces graines aussi pourraient

intellectuelle et un esprit critique vis-à-vis d'une mondialisation de laquelle on ne voyait rien. Si bien que les dégâts causé par celle-ci sur l'environnement ou par la finance folle sur l'économie ont pu apparaître au grand jour et chacun a pu se forger une opinion propre sur ces événements. Les logiciels libres et les licences communes sont aussi un exemple d'outils qui permettent de lutter contre l’accaparement et la marchandisation de la création par des monopoles. Les plus grandes avancées

capables de les faire rire que pleurer. Par exemple, Roméo et Juliette la très grande pièce de Shakespeare, connue de tous qui attriste le public à la mort des deux personnages principaux. Il y a aussi Le Mariage De Figaro de Beaumarchais où l’ironie est maître et les lecteurs s’amusent autant par la mise en scène que par les répliques des personnages. Ces deux œuvres sont des modèles du genre et ont le pouvoir d’émouvoir les personnes, c’est cela qui leur a permis de ne pas sombrer dans l’oubli et d’être