Maîtresse

| | | |Il faut venger un père, et perdre une maîtresse; | | | |

écrit et a demandé à son riche oncle de l’envoyer de l’argent. En attendant, il baladait avec son maitresse et ses deux amis venus de Toulon. Le jeune homme dépensa tout son allocation du mois et de plus, il acquit des dettes qui le rendent inquiet. Heureusement pour lui, il reçoit une lettre de son oncle qui contenait de l’argent. Il a pu payer tous ses dettes et il a donné un cadeau à sa maîtresse mais il manqua la chance d’achèter la toile. Le marchand l’a vendu à un collectionneur d’œuvres d’art

d’apprendre au français, la maîtresse consacre le cours pour répéter une pièce qui va jouer pendant la cérémonie fêtant la retraite du directeur de l’école. Certainement, la répétition peut être aussi une façon d’enseignement des contes aux enfants, mais Nicolas nous raconte sa pensée ou la pensée des enfants : « L’histoire de la pièce est très compliquée et je n’ai pas très bien compris quand la maîtresse nous l’a racontée. » (Le Petit Nicolas, Folio junior, 2012, p. 113) La maîtresse ne fait pas beaucoup

Ce n’est pas moi, caressant enfant, que j’irai trahir. Si tel amant brûle pour heureusement pour un être répondant à son amour, qu’il en profite et que l’heureux garçon navigue à son vent ; mais si quelqu’un souffre sous les lois d’une indigne maîtresse, qu’il ressente donc, avant d’être acculé au pire, les bienfaits de notre art. Pourquoi cet amant-ci, le cou serré d’un nœud coulant, a-t-il pendu son lugubre fardeau à une haute poutre ? Pourquoi tel autre s’est-il, d’une lame impitoyable, transpercé

situè dans la classe dite de grande section qui acceuillaient 28 eleves . Lors de ce stage j etais encadré par la maitresse de la classe ainsi qu'une ATSEM . Mes horaires de travail ètaient de 8h20 à 12h et de 13h20 à 16h30 ma journée de travail type etait 8h20 ouverture des portes et acceuil des eleves 8h30/10h observation et aide a l'atelier designè par la maitresse ( lecture / eveil ) 10h/10h30 surveillance de la recreation 10h30/11h20 reprise de l'activitè jusqu à 11h20 puis

rencontre Catherine, ouvrière au fond également, et dont Chaval, un autre ouvrier, est épris. La dure vie quotidienne des mineurs contraste avec celle des bourgeois du voisinage. L’amitié entre Étienne et Catherine qui est devenue entre-temps la maîtresse de Chaval, se mue bientôt en amour chez Étienne. Mais l’histoire n’attend pas : à la suite d’une baisse des salaires, la grève est lancée, et Étienne en prend la tête. La grève dure, plongeant les mineurs dans la misère, et s’achève par un affrontement

des décisions arbitraires et excessives comme l'emprisonnement de Don Cristovale par Ferrante, les exécutions sommaires ordonnées par Ubu ou Caligula, pour l'argent mais aussi le plaisir, les persécutions et humiliation de la « servante » par la « maîtresse » dans Les bonnes. On peut voir les marques du ton péremptoire avec les phrases exclamatives qui sont présentes dans tous les textes, l'utilisation très fréquente de l'impératif, et le présent de vérité générale qu'utilise Caligula pour présenter

Le surnom de Duroy : Bel Ami Introduction Bel-Ami est le surnom du personnage principal Georges Duroy, il est également le titre du roman. Bel-Ami est tout d’abord le surnom donné par la fille de sa première maitresse Mme de Marelle, Laurine. Laurine est une fille très intelligente et très perspicace qui se comporte en « petite-adulte » comme on le voit dans la citation suivante  « Elle se leva gravement, salua avec cérémonie, ainsi qu'aurait fait une grandepersonne.» Elle arrive rapidement

contradictoires s’exprime par des constructions binaires -des antithèses par exemple : « Contre mon propre honneur mon amour s'intéresse. Il faut venger un père, et perdre une maîtresse. L'un m'anime le cœur, l'autre retient mon bras. » S’opposent ici honneur et amour, père et maîtresse, comme dans le vers « Père, maîtresse, honneur, amour », mais aussi par métonymie cœur et bras. Des parallélismes de construction mettent en valeur ces antithèses : « l’un…l’autre », que soulignent encore les conjonctions

Baudelaire s’adresse en effet dès le premier vers à la femme idéale « maîtresse des maîtresses ». C’est l’incarnation de la Femme à qui il donne l’ensemble de sa personne, ses plaisirs et ses devoirs. La figure exclamative « o toi mes plaisirs ! o toi mes devoirs » comme une prière, souligne la dévotion du poète à l’être aimée. Pour Baudelaire, son amante conjugue les rôles de mère, maîtresse et reine « mère des souvenirs maîtresse des maîtresses » ; « … reine des adorées, ». Elle joue ses différents rôles