Maîtresse

des touts petits-petits composée d’enfants âgés de 2ans ½ à 3 ans, dirigée par la directrice. L’école ouvre ses portes à 8h20 ; heure à laquelle les parents peuvent amener leurs enfants dans leur classe respective où ils sont accueillis par leur maîtresse et une Atsem. Chaque enfant dispose d’un casier dans lequel il range son manteau et ses chaussures qu’ils remplacent par des petits chaussons avant d’entrer dans la classe. A l’entrée de la classe, on trouve une table sur laquelle sont disposées

mes amis _Ne raconter pas de sottise ! _Je vous prommez, laisser moi vous expliquez. _Allez-y- je vous écoute. _Petit, j’aimais une fille formidable c’était ma maîtresse, mon ami aussi l’aimait, et ma maîtresse avait toujours une préférence pour lui, et à chaque fois il me narguait. Un jour il alla trop loin, il embrassa la maîtresse sur la joue, j’étais fou de jalousie, alors à la cantine, je pris un couteau et le mis dans ma poche. A la fin de notre repas, lui et moi partirent dans la cour,

malgré tous les petits. Pour rentrer à l’école les enfants doivent être propre et avoir les vaccins obligatoires mis à jour mais aussi l’âge requis pour pouvoir y rentrer. Le personnels est au nombre de six. Deux ATSEMS par classe et deux maitresses. Les maitresses ont un rôle pédagogique, elle enseignent mais elles s’occupent également de la surveillance des récréations et parfois donnent des cours de soutien aux enfants en difficultés le soir. Les ATSEMS quant à elles sont beaucoup plus en contact

Bel-Ami  rédacteur en chef et capitaliste. Bel-Ami se sert d’elle. Cet extrait de Bel-Ami est du Registre Réaliste avec des nuances épiques. Le passage commence par le défilé des assistants puis quand Bel-Ami  croise le regard de Madame de Marelle, sa maitresse, Guy Maupassant nous offre une scène de séduction et de souvenir entre les deux personnages. Ils se quittent et Bel-Ami sort de l’Eglise de la madeleine au bras de Susanne. En décrivant la place, l’auteur nous parle de la Chambre des députés, on

domestique « Paix » v.54 comme dans le texte de Jean Genet où la maîtresse est tyrannique malgré son absence, la scène jouait par les laquais nous le fait bien sentir « Et surtout ne te presse pas, nous avons le temps. Sors ! » v.10/11. L'auteur a fait un travaille de mise en abîme les servantes : Solange et Claire qui jouent dans « Les bonnes » jouent également un autre rôle dans la pièce , Claire joue la domestique et Solange elle joue la maîtresse. La dominatrice n'ai jamais satisfaite, quoique la soumise

travail évolue en fonction que l'année passe. Je vais prendre comme exemple la journée du mardi 9 mars 2010. Dès leur arrivée à l'école, les enfants sont accueillis dans une salle de classe. Ils s'assoient sur une chaise et attendent que la maitresse leur dise de se ranger pour aller dans leur salle de classe. Une fois dans la salle de classe, chaque enfant doit prendre une étiquette avec son nom pour l'accrocher sur le tableau de présence, ensuite ils ont le droit de jouer jusqu'à 8h30 (qui

contre sa maîtresse, car Madame l'a insultée. Elle manque de l'étrangler,mais c'est à cet instant que le réveil sonne.Nous suivons deuxsœurs, Solange et Claire. Solange s'amuse à incarner Claire, tandis que sa soeurjoue le rôle de Madame; mais elles redeviennent ce qu'elles sont, c'est-à-dire les deux bonnes deMadame.Les soeurs se disputent tandis qu'elles rangent la chambre de leur maîtresse. En effet, Claire aenvoyé des lettres anonymes à la police pour que l'amant de leur maîtresse, Monsieur,

présents en classe et s'ils vont ou non à la cantine ou à l'accueil du soir. Ensuite, peuvent jouer, se déguiser, faire des légos, lire ou bien dessiner. Quand tout le monde est arrivé, les élèves se regroupent, assis sur des bancs, autour de la maîtresse. Les enfants ayant fait des legos expliquent leur construction. Deux enfants sont responsables afin d'écrire la date au tableau . Ensuite, tous les enfants mettent leurs noms dans une case d'un " contrat ". Ce contrat est constitué d'un tableau à

Thèmes abordés : La mélancolie L'ennui et le vide La fuite du temps Le Spleen XXXVI. Le balconMère des souvenirs, maîtresse des maîtresses,Ô toi, tous mes plaisirs ! ô toi, tous mes devoirs !Tu te rappelleras la beauté des caresses,La douceur du foyer et le charme des soirs,Mère des souvenirs, maîtresse des maîtresses !Les soirs illuminés par l'ardeur du charbon,Et les soirs au balcon, voilés de vapeurs roses.Que ton sein m'était doux ! que ton cœur m'était bon !Nous

Qu’est-ce qui, dans la narration, a motivé ce renversement ? En quoi peut-on dire que le couple John Indien/Tituba symbolise deux stratégies différentes par rapport à la servitude ? Commentez la phrase « cette étrange situation d’être à la fois maîtresse et servante » en la contextualisant