Maîtresse

fatiguant physiquement et nerveusement, guider les écoliers peut aussi procurer de grandes satisfactions. En classe enfantine … à plusieurs niveaux (petite section, moyenne section, grande section…. La maîtresse s'attache à… · L'épanouissement. En proposant des activités basées sur le jeu, la maîtresse de maternelle centre son activité sur le développement de l'enfant, que ce soit au niveau corporelle, affective et intellectuelle. · La socialisation. A l’aide de travaux manuels, de rites quotidiens

critiquer, allant même jusqu’à divulguer certains de ses secrets, dévoilant alors son véritable visage, ainsi que la jalousie et la haine qu’elle éprouve envers sa maîtresse. De quelle manière Marivaux dresse-t-il le portrait d’Euphrosine ? Dans un premier temps Cléanthis construit un portrait dynamique et ludique de sa maîtresse ; dans un second temps l’auteur fait la satire d’une coquette femme du monde. Marivaux, dans cette pièce de théâtre, fait de la description d’Euphrosine

basses pourvues de petites chaises (généralement, chaque classe compte 4 tables de 6 à 8 chaises) ; - Des bancs, placés de façon à ce que la chaise de la maîtresse soit visible par tous et également que la maîtresse puisse bien voir chaque enfant (Une moquette se trouve généralement sous ces bancs) ; - Une armoire et un bureau réservés à la maîtresse et à l’ATSEM où se trouvent les activités, les fiches en préparation, etc… - Des étagères fixées aux murs qui contiennent le matériel nécessaire aux activités

soubrettes et sœurs, | | |Claire et Solange, y apporte un élément dramaturgique important car elles se déguisent, Claire en| | |leur maîtresse et Solange en Claire, pour imiter leur maîtresse. Cela sème le trouble d’entrée et| | |amène directement une action. |

Euphrosine : Euphrosine, du grec « pleine de joie », est la maîtresse de Cléanthis. D’après sa servante, Euphrosine est belle : « son visage n’est pas déplaisant » et « il fera plaisir à voir ». Elle approuve (après contestations et sous contrainte de non-liberté) le portrait que lui à fait Cléanthis : c’est une femme mondaine et coquette, qui aime à plaire. Cléanthis : Cléanthis est l’esclave d’Euphrosine avant de devenir sa maîtresse suite au renversement de pouvoir initié par Trivelin. Elle

lui répondre qu’elle n’obéissait qu’à son maître et à sa maîtresse. Alors, en colère, la dame la gifla. L’esclave se jeta alors sur le sol et poussa de grands cris. Alertés par les cris, des gens sortirent de la boutique, d’autres accoururent de toute part. Parmi les gens sortis de la boutique, une jeune femme se dirigea vers l’esclave et lui ordonna de se taire et se lever. L’esclave obéit, je supposai que c’était sa maîtresse. La maîtresse gifla l’esclave et partit. La pauvre négresse la suivit

comique au cinéma, et le soir, Marie devient sa maîtresse. Un soir, Meursault croise Salamano, son voisin de palier dans les escaliers, puis son autre voisin de palier Raymond Sintès qui l’invite à manger un morceau chez-lui. Celui-ci lui raconte sa bagarre avec le frère de sa maîtresse et ses soupçons quand à une tromperie de sa maîtresse. Il lui demande d’écrire une lettre qui servira sa vengeance. Quelques jours après, Raymond se bat avec sa maîtresse et un agent intervient. Meursault accepte de

du récit : 1) Ce récit est un roman réaliste retraçant l’ascension sociale de Georges Duroy. Au départ, celui ci est employé au bureau des chemins de fer du Nord. Le roman montre comment, par l’intermédiaire de nombreuses conquêtes amoureuses (maîtresses et femme légitime) et d’une « collusion triangulaire » entre finance, presse et politique, Georges atteint le sommet de la pyramide sociale parisienne. L’œuvre décrit également le petit monde de la presse parisienne en faisant implicitement référence

progression dramatique de la colère dans la scène. 1/ La complexité et la confusion des sentiments a) Les différents sentiments de Silvia : la honte En effet la honte et l’un des sentiments de Silvia qui ressort le mieux de la scène, tous d’abord la maitresse est constamment sur la défensive face « aux attaques » de sa servante notamment ligne 251 « Lisette : Oh, Madame, dès que vous le défendez sur ce ton-là… Silvia : Dès que je le défends sur ce ton là ! ». Notons les répétitions et la construction

Acte I, scène 1. De « Quoi vous n’épouserez…. » à « …. qui a vécu avec lui ? ». Introduction Ce dialogue se situe au centre de la 1ère scène de « Le Jeu de l’amour et du hasard », la femme de chambre de Silvia, Lisette, vient raconter à sa maîtresse l’entretien qu’elle a eu avec le vieux gentilhomme, Mr Orgon : elle est vouée à être mariée par son père à un prétendant qu’elle n’a jamais vu. Orgon a demandé à Lisette si ce projet de mariage plaisait à sa fille, elle lui répondit en toute liberté