Majorité plurielle

proportionnelle : l’instabilité politique La diversité des partis dans ce mode de scrutin pose le problème d’un morcellement du paysage politique, la difficulté est le risque d’une impossibilité de majorité, et donc une impossibilité de gouverner. Les scrutins proportionnels rendent difficile l’émergence d’une majorité stable et cohérente, faisant primer une logique de coopération des partis (les partis se partagent le pouvoir comme les sièges) Le scrutin de liste au proportionnel est en apparence très

tour ou en plusieurs tours, si l'élection n'est pas acquise au premier tour de scrutin. Ainsi les élections générales peuvent se dérouler en un seul tour ou deux tours de scrutin . Pour être élu, la majorité absolue des suffrages exprimés (soit 50 % plus une voix) est nécessaire. Si cette majorité n'est obtenue par aucun candidat à l'issue du premier tour (ce qui a été le cas dans toutes les élections présidentielles), il y a ballottage et il est procédé à un second tour. Dans ce cas, seuls les

successivement à observer le rôle tenu par les partis et les associations politiques, par la liberté de la presse ainsi que par le vote universel dans les rouages complexes de la démocratie ; il tente également de cerner le danger que la tyrannie de la majorité fait courir à la république américaine, les moyens qui permettent de limiter ce risque ainsi que tous les éléments qui - depuis la religion jusqu'au cadre de la loi - permettent à la république démocratique de se maintenir. La forces des associations

La Démocratie, une dictature de la majorité ? 
 L'historien John Dunn se demande dans quelle mesure la démocratie contemporaine « implique un certain niveau d'aliénation de la volonté, du jugement et du choix que n’importe quel antique partisan de la démocratie considérerait comme sa négation même: au mieux une aristocratie partiellement élective et au pire une oligarchie aussi confuse que corrompue ».   On peut être amené à décrire la démocratie comme une catégorie du gouvernement qui adresse

Correction BB éducation civique février 2009 Sujet : les droits et les devoirs du citoyen Documents 1 et 2 1. C’est au moment de sa majorité, à 18 ans, qu’un citoyen peut se voir remettre le Livret du citoyen. (1 point) 2. Deux symboles républicains montrant que la cérémonie du Livret du citoyen présente un caractère officiel : Marianne, l’écharpe tricolore , le portrait officiel du Président de la République, l’Affiche de la Déclaration des Droits de l’Homme et du citoyen (deux réponses

[?] la puissance paternelle. Le père est tenu de nourrir l'enfant et de pourvoir à son éducation jusqu'à sa majorité. Mais en revanche l'enfant est placé sous la dépendance du père ; il ne dispose ni de sa personne, ni de sa fortune dont le père a la jouissance. Il n'a pas de responsabilité civile. Celle-ci revient au père. Mais quand l'enfant est majeur quant au mariage - car la majorité civile de vingt et un ans le laisse sous la tutelle du père en ce qui regarde le mariage - ou bien dès que, à

mon régime, etc., je n'ai vraiment pas besoin de me donner de peine moi-même. Je n'ai pas besoin de penser, pourvu que je puisse payer ; d'autres se chargeront bien de ce travail ennuyeux. Que la grande majorité des hommes (...) tiennent aussi pour très dangereux ce pas en avant vers leur majorité, outre que c'est une chose pénible, c'est ce à quoi s'emploient fort bien les tuteurs qui, très aimablement, ont pris sur eux d'exercer une haute fonction sur l'humanité. Après avoir rendu bien sot leur

d’émancipation ou instrument d’aliénation, l’argent est marqué par une forte ambivalence ». L’émancipation est un acte juridique qui enlève un mineur à ses parents afin de le rendre capable d’accomplir tous les actes de la vie civile nécessitant à la majorité légale pour gérer ses biens, percevoir un revenu, réaliser des actes d’administrations. L’émancipation permet donc de se libérer et de devenir indépendant, c’est un élément de la transformation de la société. Elle donne des droits identiques à la

fait plus confiance à l'autorité d'un mais il adopte des idées reconnu par la masse. Chacun étant égaux il y a peu de chance pour qu'un seul soit plus dans le vrai qu'un autre mais il est cependant fort probable que la majorité le soit. L'individu suppose donc vrai ce que la majorité affirme. C’est finalement en acceptant ces opinions communes que l’homme use de sa liberté à bon escient étant donné qu'il n'a pas le temps de douter de tout. Contrairement à Kant qui voit dans l'intersubjectivité une

insultes… - Bulletin souillé (parfois involontaire)
 I - Majorité absolue et relative De la plus grande importance à la plus petite : 1- L’unanimité : Tout le monde vote de la même manière 
2- Majorité qualifié : supérieure a 50% (2/3)
3- Majorité qualifié des 3/5 des suffrages exprimés (ce n’est pas 2/3 mais 3/5 des exprimés)
4- Majorité absolue : la moitié + 1 (50% + 1, la moitié plus un vote)
5- Majorité relative ou simple ou scrutin à la pluralité des voies : candidat qui obtient