Malberg Personnification

l’amour : a) Comparaison femme/fleur : • Célèbre la beauté de Cassandre → flatterie, admiration « Son teint au votre pareil » « Ses beautés » • La rose devient femme : beauté, apparence physique, coquetterie, séduction, ressemblance → personnification « Sa robe pourpre . . . les plis . . . robe pourprée » allitération en P et en B renforce • La femme devient rose → fraicheur de la jeunesse « Fleuronne », « verte », « cueillez » → métaphore avec vocabulaire botanique pour la femme b)

le rapprochement est inattendu. L’oxymore fait coexister deux termes de sens contraires à l’intérieur d’un même syntagme.Exemple dans Le Cid de Corneille : « Cette obscure clarté qui tombe des étoiles […] » (acte IV, scène 3). Personnification (féminin) : La personnification attribue à une chose abstraite les propriétés d’un être animé (homme, animal). Cf. La Fontaine. Amplification (féminin) : L’amplification se fonde sur une gradation entre les termes d’une énumération ou dans la construction d’un

machines « qui produit la richesse en créant la misère ». Leurs conditions de travail sont totalement « infâmes ». Pour Victor Hugo, le monde de l’usine est comparable à l’enfer, il emploie à différents moments des métaphores pour insister sur la personnification des machines Sous les dents d’une machine sombre, Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l’ombre Dans ce passage, il y a trois allitérations « m, r et ch », le « r » étant la consonne de la menace

fondées sur la ressemblance NOM du procédé Définition Exemple(s) La comparaison Relier deux éléments à l’aide d’un outil de comparaison. N° 13 du poly N° 25 du poly La métaphore Comparaison, sous-entendu, implicite. N° 1 du poly La personnification Donner des caractéristiques humaines, objets, animales, lieux, saisons. N° 5 du poly L’allégorie Personnifier une idée ou un sentiment. N° 36 du poly La métonymie Rapport associatif sous-entendu entre le contenu et le contenant

que, de même que, semblable à, pareil à, ressembler, on dirait que…) Ex : Elle est belle comme le soleil. La Métaphore est une figure de style qui consiste à comparer deux éléments sans outil de comparaison. Ex : Elle est le soleil ! La Personnification est une figure de style qui consiste à donner des attributs humains à quelque chose qui ne l’est pas. Ex : les murs ont des oreilles ! Les figures de substitution (Elles remplacent un terme par un autre terme ou par toute une expression)

Proposition de plan : I - UNE ALLÉGORIE DE LA BEAUTÉ A - Une personnification emploi du pronom personnel "je" B - Apparaît fière et méprisante champ lexical du mépris elle apparaît telle une déesse II - UN POUVOIR DE FASCINATION A - Par son immobilité comparaison subjectivité B - Impassible chiasme verbe "je hais" inspiratrice III - UN IDÉAL A ATTEINDRE A - Pour le poète "poète" (x 2) soumis à leur inspiratrice ("dociles amants") rechercher

métaphore estfilée ou continuée quand elle est développée dans un texte. Ex: Votre âme est un paysage choisi (Verlaine [avec un «est» d’équivalence) Ex: Le lait caillé des bons nuages (Laforgue [rapport de détermination]) Personnification (Féminin): La personnification attribue à une chose abstraite les propriétés d’un être animé (homme, animal). Cf.La Fontaine. Ex: La Lune qui le voit venir, / En est toute confuse. Figures d’opposition (Effet de contraste) Antithèse (Féminin): Figure

: on représente des valeurs abstraites avec des images concrètes Ex : la Grande Faucheuse Explications : la grande faucheuse représente la mort Ex : La Colombe de la Paix Explications : la colombe est l'allégorie de la Paix. ♥ La personnification : elle attribue des caractéristiques humaines à un objet, un animal... Ex : La nuit en son parc amassait un grand troupeau d'étoiles./ Cette rose aimable comme toi ♥ COMPARAISON : Mettre deux choses différentes en vis-à-vis. Il y a trois élèments

participe au côté drôle de la fable « Ils l’avalent des yeux, du doigt ils se la montrent » vers 3. L’auteur rend le lecteur témoin d'un débat insolite où la question est « qui va manger l’huître ? ». La majuscule sur le mot « Huître » dénote une personnification et accentue l’importance du mollusque. Cela augmente le caractère comique de la fable. Au vers 6 « L’autre le pousse » nous apprend qu'ils sont prêts à en venir aux mains, ce qui les rend ridicules. Ce passage laisse percevoir une légère critique

parallélisme : reprend une structure syntaxique (exemple : partir pour tout laisser, quitter pour tout abandonner) La répétition : le même mot est réécrit plusieurs fois L'allégorie : on représente des valeurs abstraites avec des images concrètes La personnification : elle attribue des caractéristiques humaines à un objet, un animal... La comparaison : Il y a un comparé (celui que l'on compare à quelque chose), un comparant ('quelque chose') et un outil grammatical de comparaison (comme, tel que...) La