Malberg Personnification

Je vis », « regard » : double référence a la vision -> révélation brutale. Révélation : « tous les masques tombaient » : renvoi au théâtre, au jeu : le masque qu'il a endossé n'en est qu'un parmi tant d'autres. « L’Humanité souleva sa robe » : personnification de l'humanité en catin -> brusque déception. « Brutus moderne », « confrérie du vice » : renvoi a l'acte II. « fantôme » : renvoi a l'acte II qui annonçait sa réapparition. Persévérance dans sa quête de trouver des gens honnêtes, mais il a fini

(« L’albatros » de Charles Baudelaire, dans Les fleurs du mal) La personnification : Cette figure consiste à donner à un objet, un animal, un végétal ou une idée des caractéristiques qui sont humaines. Exemple : Cette nuit, je n’ai pas pu dormir. Le Mistral était en colère, et les éclats de sa grande voix m’ont tenu éveillé jusqu’au matin. (Alphonse Daudet, Les lettres de mon moulin.) Note : Il est possible aussi de parler de personnification dès que l’on donne des caractéristiques d’un être animé à un

ne faut pas contrarier et que le Serpent est un être vicieux et ingrat depuis l’Antiquité. Ces deux personnages sont décrits par de nombreuses figures de style par La fontaine. La fontaine par ces fables, a su, en son temps par des procédés de personnification faire passer un message simple dans le but d’instruire les lecteurs. 

derniers vers. Le « fier dédain » (vers 12), dont la femme aimée de Ronsard fait preuve, sera sujet d’un grand regret plus tard quand elle sera vieille et seule. Il s’agit aussi de la première figure de style de ce thème, plus précisément d’une personnification. « N’attendez » (vers 13) : exprime un avertissement tel que « n’attendez » pas que votre chance soit passée. « Aujourd’hui » (vers 14) n’arrivera qu’une seule fois, donc afin de ne pas regretter son choix demain, cette femme doit, selon Ronsard

Lamartine semble conférer une certaine supériorité à la nature toute-puissante. C’est du moins l’impression qui émane de ses propos lorsqu’il dit : « Ô lac! rochers muets […] / vous que le temps épargne et qu’il peut rajeunir. » (l.49-50) La personnification de divers éléments de la nature reflète déjà le profond respect voué à celle-ci, ce à quoi s’ajoute une certaine jalousie envers cette nature forte, immuable, moins susceptible que l’homme, tout petit. Cela montre une admiration face à la nature

Les figures de style (1) : les figures de rapprochement : La comparaison, la métaphore, la personnification et l’allégorie sont des figures de rapprochement. On les appelle ainsi car elles consistent à rapprocher entre deux éléments. 1. la comparaison : Rapprocher entre deux éléments à l’aide d’un outil de comparaison pour souligner les ressemblances ou les différences.  Exemple : « Son sourire est pareil à un éclat du soleil.»  Ses composantes : Comparé Outil de comparaison (comparatif)

fleur qui parle, par exemple, au début il y a plusieurs terme qui font référence a l'imaginaire , l'univers du compte de fée «  palais «  et «  pierreries » elle reflette le regard de celui qu le tient ( personification ) L'eau était morte → personnification Des allegorie de l'aurore, des Metaphore, c'est un concentration de figures de style qui nous plonge dans un univers onirique. Le style d'écriture apporte un regard différemment sur le monde réel, de manière poétique. Une prolepse → antisipation

et à leur tirer sur le reste du corps une pluie de traits, puis à les pendre. » (l.20 et 21) Il y a deux procédés ici. Le premier étant la répétition des conjonctions « puis », « et » pour créer un effet d’accumulation. Le deuxième étant une personnification, car on ne peut tirer sur quelqu'un une pluie de traits. C’était pour exprimer qu’ils leur tiraient sur le corps une infinité de fois. En deuxième lieu, Montaigne nous explique son point de vue sur cette mort infligée : « Je pense qu’il y a plus

plusieurs termes, on parle de métaphore filée. Quand l’image est passée dans le langage courant, on parle de cliché. Ex : « albatros, vastes oiseaux des mers, […] ces rois de l’azur » (Les fleurs du mal de Baudelaire) - La personnification : La personnification représente une chose, un animal ou une idée sous les traits d’une personne/ d’un être animé. Ex : « homme-animal ; arbre-corps ; … » 2) Les figures par opposition : - L’antiphrase : L’antiphrase est un procédé qui consiste

d’une comparaison sans mot-outil entre deux éléments qui n’ont d’habitude pas de point commun évident. Elle est plus frappante que la comparaison.Ex : Ce garçon, c’est un dieu! Les agathes de ses yeux brillaient. Cet océan de blé est superbe. La personnification : c’est la représentation d’une chose ou d’un animal sous une forme humaine. (c’est un cas particulier de la métaphore) Ex : Le vent mugissait dans les branches et hurlait sous les portes. L’antithèse : deux mots ou expressions s’opposent