Malédiction

et âme au force du mal si il réussit à la rattrapé, sa volonté fut faite, et il périt entre les griffe d’un chien, mi- animal mi- démon, venu droit des enfers. Depuis, poursuivi par cette malédiction, aucun des Baskerville n’est mort de mort naturelle. Et Sir Charles connaissait très bien cette malédiction tragique qui s’attachait à sa famille. Le soir de la mort de ce dernier, le docteur Mortimer et quelques villageois ont trouvé les empreintes d’un animal gigantesque. Tous le décrivent comme

vont pouvoir vous jouer leur histoire » p.12) à Thèbes (« Thèbes » p.12 et 13) ; le Prologue nous rappelle la malédiction de la famille d’OEdipe (OEdipe, ses fils, Antigone) et l’élément déclencheur de cette tragédie- l’ordre, la menace de Créon (« Quiconque osera lui rendre les devoirs funèbres sera impitoyablement puni de mort. » p.13) d’où on peut supposer un conflit tragique (la malédiction + un ordre = le conflit tragique- « ils vous empoigneront les accusés » p.12) 2) La présentation assez minutieuse

derrière les apparences mais qui sont à jamais marqués sur leur corps, leur tenues, leur façon d’être. Les marionnettes sont d’ailleurs effrayantes car elles renvoient à la vieillesse. Comme si vieillir signifiait malédiction mais est ce réellement le cas ? La vieillesse était-elle une malédiction ? Nous pouvons voir cette pièce comme une métaphore d’un monde allant vers sa perte et qui en voulant sauver les apparences ne précipiterait qu’encore plus la déchéance car ce n’est pas en s’attaquant aux apparences

Cronos, trancha le pénis de son père Ouranos parce que celui-ci empêchait Gaïa d’accoucher des Titans en la pénétrant sans relâche. Pour se venger, Ouranos lança une malédiction sur Cronos, lui promettant que son propre fils se retournerait contre lui quand il aurait atteint l’âge adulte. C’est ainsi que pour éviter que la malédiction ne se réalisât, Cronos dévorait un à un ses enfants … La scène est dominée par Saturne. Goya a choisi des couleurs sombres, des noirs, des rouges et un peu d’ocre

très beau et séduit les nymphes. Parmi elles, il séduit la nymphe Écho mais il les méprise même si elles sont amoureuses de lui. Il a alors la malédiction, c’est d’aimer un jour sans être aimé de retour. C’est la déesse Némésis qui châtie tous les hommes victimes d’ubris, de démesure. Ce péché d’orgueil, c’est cette déesse qui va exaucer cette malédiction à l’occasion d’une chasse notamment. I.L’histoire La structure Le décor est planté de la ligne 1 à 8. Il y a une mise en valeur de la source

il le menace V.27 l’astre, allégorie des Dieux et évoque cette punition qui a trop longuement épargné H. V.31-42 T. invoque Neptune et lui demande de le venger Hippolyte se trouve donc dans la situation d’un héros tragique qui à travers cette malédiction subit son destin dont l’issue est fatale : la mort. V.42 « tes fureurs » = T. évoque sa propre fureur a travers celle de Neptune II] La défense d’H (43- 58) En vis à vis la défense d’Hippolyte apparaît comme dérisoire. Les arguments sont peu développés

1516-1521), qui deviennent symboliques : Hippolyte représente l’humanité en butte aux forces supérieures, qu’elles soient naturelles ou surnaturelles. �� Elle se manifeste surtout par l’intervention d’une causalité surnaturelle : conformément à la malédiction de Thésée, le monstre est bien un être surnaturel envoyé par Neptune pour tuer Hippolyte. La dramatisation du récit permet de rendre le combat spectaculaire aux yeux du spectateur. De fait, il s’agit d’émouvoir le spectateur et de lui inspirer

devaient régner un an chacun à tour de rôle. Mais à la fin de sa première année de pouvoir, Étéocle, l’aîné, refuse de laisser le trône à son frère, Polynice. Une guerre éclat entre Polynice et Étéocle qui finir par s'entretuer, concrétisant ainsi la malédiction de leur père et celle de toute la famille. Créon, leur oncle devint alors le nouveau roi de Thébes. Il offre des funérailles somptueuses à Étéocle mais ordonne que Polynice soit privé de sépulture et proclame que celui qui osera enterrer le

riche et puissante donc le roi inquiète a monté contre les templiers un vaste procès qui a durée sept ans où il a finalement ordonné l'exécution des templiers ; c’était le moment dans lequel Jacques de Molay grand maître des templiers a lancée la malédiction sur le roi et les treizièmes générations suivantes. Dans ce tome Louis X le Hutin est déjà au trône, et ne dura que dix-huit mois car il meurt empoisonné, en juin 1316, c'est la première fois depuis plus de trois siècles qu'un roi de France décède

qui identifie définitivement le coupable : « c’est Vénus toute entière ». La faute est l'un des ressorts du tragique : Phèdre se sait coupable et lutte en vain contre sa passion. Thésée se laisse emporter par la colère et attire sur son fils la malédiction divine, qu'il ne pourra ensuite enrayer. Hippolyte, farouche et rebelle à l'amour, est puni de son orgueil, même si ce ressort est moins développé chez Racine que chez Euripide. Quant à Oenone, son dévouement aveugle, excessif à sa maîtresse la