Malheur

1 – Première partie : « ultime discussion entre la mère, malade, et sa fille », de : « Il faut nous quitter, ma fille », jusqu’à la fin du paragraphe (pages 91 – 92)Présentation (deux minutes maximum) : fin de la première partie du roman, qui en comporte quatre ; le triangle amoureux (prince / princesse / Nemours) est déjà en place, mais la jeune madame de Clèves est encore sous l’influence déterminante de sa mère, madame de Chartres ; c’est elle qui s’occupe du mariage de sa fille et qui perçoit

j'ai dit souvent que tout le malheur des hommes vient d'une seule chose, qui est de ne savoir pas demeurer en repos dans une chambre. Un homme qui a assez de bien pour vivre, s'il savait demeurer chez lui avec plaisir, n'en sortirait pas pour aller sur la mer (…) et on ne recherche les conversations et les divertissements des jeux que parce qu'on ne peut demeurer chez soi avec plaisir. Mais quand j'ai pensé de plus près, et qu'après avoir trouvé la cause de tous nos malheurs, j'ai voulu en découvrir

au champ lexical de l’affectivité. Ces derniers s’organisent autour d’une antinomie plaisir/ souffrance (plaisir : je vis/ joie/ je ris/ plaisir/ désiré heur et souffrance : je meurs, je larmoie, tourment, j’endure, douleur, grands ennuis, premier malheur). Louise Labé emprunte également à la lyrique amoureuse traditionnelle certaines métaphores naturelles (eau, feu, végétal) : « je me brûle et me noie » v1/ « je sèche et je verdoie » v 8. 2 – Un sonnet original : toutefois, elle s’écarte également

trottoir, avec des draps blancs. Pour payer le terme, ils auraient vendu de leur chair. C'était le terme qui vidait le buffet et le poêle. Dans la maison entière, d'ailleurs, une lamentation montait. On pleurait à tous les étages, une musique de malheur ronflant le long de l'escalier et des corridors. Si chacun avait eu un mort chez lui, ça n'aurait pas produit un air d'orgues aussi abominable. Un vrai jour du jugement dernier, la fin des fins, la vie impossible, l'écrasement du pauvre monde

- Le savetier est tellement étonné par la quantité de l’offre que cela annonce le succès de l'opération du financier. V37-38 : Conséquence de cette « fortune » dans la vie du savetier. Le narrateur insiste sur l’irruption du soucie et du malheur : - v37-38 : deux choses sont associés au même verbe => zeugme qui insiste sur le lien logique entre l’argent et la joie : la possession d’argent entraine la diminution de la joie. V37 : pas de connecteur logique, seulement un « : » ce qui accélère

d’exposé N°3 MEMBRES : TIAMA L. Aziz TAONSA F. Arsène OUOBA S. Modeste OUBDA Mahamadi YANOGO W. Maurice THEME : La Colonisation est –elle la base des malheurs de l’Afrique actuelle ? PLAN INTRODUCTION I. Responsabilité de la colonisation sur les malheurs de l’Afrique A. Sur les plans économique et démographique B. Sur les plans politique et culturel II. Impacts positifs de la colonisation et culpabilité

mais il est malheureux il se demande alors pourquoi les personnes méchante arrive a être heureuse réponse de Jesrad « les méchants […] sont toujours malheureux : ils servent à éprouver un petit nombre de juste sur Terre » il arrive pleins de malheurs à Z . et il arrive à la fin a finir roi de Babylone accompagné de la femme qu'il aime, « Il n'y a point de mal dont il ne naisse un bienfait » citation de la théorie de Leibniz Le personnage de Jesrad renforce l'idée qu'il y a une une force

d’ailleurs, tout au long du poème, cette dualité du sentiment amoureux et l’on peut ordonner en deux séries antithétiques le lexique des émotions exprimées par Louise Labé : « ennuis » (v.4), « je larmoie » (v.5), « tourment » (v.6), « douleur » (v.10), « malheur » (v.14)/ « joie » (v.4), « je ris » (v.5), « plaisir » (v.6), « hors de la peine » (v.11), « désiré heur » (v.13). Mais ce qui étonne est moins la contradiction de sensations et de sentiments que leur réunion dans un même vers ou dans deux vers

" Au troisième chapitre, l’ironie voltairienne s’affiche dès les premières lignes : « Rien n’était si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné que les deux armées. » Comment des armées qui laissent derrière elles des morts, des cadavres, des malheurs sans fin, peuvent être aussi belles et aussi féeriques ? Dans ce chapitre, le monde va mal, l’image de la guerre en est la preuve. Pourtant, Candide répète souvent que « tout cela pouvait être autrement ». Le récit dans un rythme rapide nous informe

"meurs" "larmoie" "malheur." Ça montre un cycle infini qui est associé à l’amour. Les sentiments associés à l’amour sont souvent positifs et négatifs en même temps. Les émotions dans ce poème alternent de hauts et de bas comme un grand huit. Par exemple, vers 10 mentionne « douleur » mais vers 11-13 sont au sujet de « hors de peine, joie, et la haute de désire » et le poème se termine avec le mot « malheur ». En vers 8, l’Amour se mène inconstamment, avec du bonheur et de la malheur. Dans les tercets