Mamelle

d'abord un village voisin ; il était en cendres : c'était un village abare que les Bulgares avaient brûlé, selon les lois du droit public. Ici des vieillards criblés de coups regardaient mourir leurs femmes égorgées, qui tenaient leurs enfants à leurs mamelles sanglantes ; là des filles éventrées après avoir assouvi les besoins naturels de quelques héros rendaient les derniers soupirs ; d'autres, à demi brûlées, criaient qu'on achevât de leur donner la mort. Des cervelles étaient répandues sur la terre

la guerre. Candide est témoin d'extrêmes violences et des tortures inhumaines durant le conflit opposant les Abares contre les Bulgares. « Des vieillards criblés de coups regardaient mourir leur femmes égorgées, qui tenaient leurs enfants à leurs mamelles sanglantes ; là des filles, éventrées, après avoir assouvi les besoins naturelles de quelques héros, rendaient les derniers soupirs ; d'autres, à demi brûlées, criaient qu'on achevât de leur donner la mort. » Comme on peut le constater dans cette

poème de Joachim du Bellay « France, mère des arts… » Le poète compare la France à une mère, pour lui c’est une source d’inspiration. C’est la France qui l’a vu naître et qui lui a fait grandir comme personne « Tu m’as nourri longtemps du lait de ta mamelle » et en même temps il se sent abandonné « France, France, réponds à ma triste querelle ». Il a besoin d’être protéger par ‘’sa mère’’, on peut dire que il a grandit autour des arts et les lois de la France. On peut voir que le poète cour dans les

soleil s’éloigner. Edgar Georges, (2001) Bohémiens en voyage : La tribu prophétique aux prunelles ardentes  Hier s'est mise en route, emportant ses petits  Sur son dos, ou livrant à leurs fiers appétits  Le trésor toujours prêt des mamelles pendantes.  Les hommes vont à pied sous leurs armes luisantes  Le long des chariots où les leurs sont blottis,  Promenant sur le ciel des yeux appesantis  Par le morne regret des chimères absentes.  Du fond de son réduit sablonneux, le grillon

(consiste à réunir dans une même phrase/vers deux mots ayant la même racine dans le fait de créer un effet d’insistance/écho) : cruel, nourrice, loup, etc. L’élégie se traduit aussi par l’usage de comparaisons animales vers 2 : « Tu m’as nourry (…) mamelle » … Autrement dit par ce jeu de comparaison, la France est considérée comme la mère du poète qui l’a nourri par sa culture, par les armes, faits de guerre et par les lois. Champs lexical de la nourriture, cette allégorie d’une image d’une femme qui

« éventrées »l.19, « rendaient les derniers soupirs »l.20, « donner la mort »l.21. - souffrance des victimes ; toutes les tranches d’âge sont présentées ; « vieillards »l.17, « femmes »l.18, « enfants »l.18, « filles »l.19, mutilations des victimes ; « mamelles sanglantes »l.18, « cervelles »l.22, « bras et jambes coupés »l.22-23 → apitoiement et déshumanisation des victimes. - énumération des victimes avec une assonance en « é » « brûlé »l.16, « criblés » l.17, « égorgées » l.18, « éventrées »l.19. →

loup est de tromper le biquet. Pour qu'il ouvre la porte au loup. La morale de l'histoire ? La morale de l'histoire est : Deux sûretés valent mieux qu'une, Et le trop en cela ne fut jamais perdu. Fable : La bique allant remplir sa traînante mamelle, Et paître l'herbe nouvelle, Ferma sa porte au loquet, Non sans dire à son biquet: «Gardez-vous, sur votre vie, D'ouvrir que l'on ne vous die, Pour enseigne et mot du guet (1) : «Foin (2) du loup et de sa race!"» Comme elle disait

lexical de la guerre : ex : « armées » l2 « canons » l3 « mousqueterie » l6 « baïonnette » l8 b) violence omniprésente champ lexical blessures et mort : ex : « morts et mourants » l16 « criblés de coups » l19 « femmes égorgées » l19-120 « mamelles sanglantes » l20-21 « filles éventrées » l21 « derniers soupirs » l22-23 « à demi brûlées » l23 « la mort » l24 « cervelles répandues » l24 « bras et jambes coupées » l25 utilisés dans une accumulation : ex : accumulation l19 à 25 grand

hideusement tachés gisent çà et là ; c’est l’affaissement et l’abrutissement du désespoir rendu avec la plus sombre poésie ; personne ne pleure plus ; il y a longtemps que les larmes sont taries. Les nourrissons abandonnés cherchent en rampant la mamelle desséchée de leur mère et tètent du sang à défaut de lait. Un Turc, seul être vivant dans ce troupeau de fantômes, fait caracoler son cheval et entraîne une jeune vierge, dont le torse d’albâtre amaigri se renverse douloureusement, et qui

raisonnement représentent une grosse partie de l’extrait, en effet il explique comment sans voir la chienne de la reine, il a déduit ses caractéristiques physiques « Des sillons légers et longs [...] m’ont fait connaître que c’était une chienne dont les mamelles étaient pendantes » et « d’autres traces m’ont appris qu’elle avait les oreilles très longues » simplement grâce à des traces dans le sable. Pour le cheval du roi, il déduit ses attributs avec des marques de fers, « la poussière des arbres dans