Mandchourie

SDN. Ces deux membres quittent la SDN après des agressions contre la Mandchourie (1931-1933) et l’Ethiopie (1936). Deuxièmement, l’isolationnisme des Etats-Unis, se tenant à l’écart des conflits européens, et le refus soviétique d’adhérer à la SDN pointent le manque de crédibilité de l’institution. Enfin, la SDN ne possède pas d’armée réduisant ainsi considérablement ses possibilités d’action. Les agressions du Japon en Mandchourie, de l’Italie en Ethiopie et les différents coups de force de l’Allemagne

la politique menée par un empereur au sein de son territoire et la seconde,plus généraliste est une politique de conquêtes afin qu'un pays puisse établir son hégémonie sur d'autres territoires. Notre études débute en 1931 par l'incident de la Mandchourie et la montée du militarisme au Japon et s'achève en 1941 avec l'attaque de la base navale de Pearl habor. Nous allons donc tenter de comprendre en quoi la politique impérialiste japonaise est-elle proche de celle menée par les dictatures occidentales

de se retirer après que cette dernière ce soit opposé à la conquête de la Mandchourie du 18 septembre 1931. Malgré son opposition, la SDN n'arrive pas à condamner le Japon. Dans les années 1930, la Société des Nations se voit ainsi encore affaiblie. L'incident de la Mandchourie correspond à un incident survenu sur une section de voie ferrée qui fut détruite. Appartenant à la société japonaise des chemins de fer de Mandchourie du Sud, cet attentat est soupçonné d'avoir été planifié par les Japonais

déserts et les steppes des terres mongoles et mandchoues. L’ensemble qui s’agglomèrera au fil du temps à ce berceau classique est celui de la chine « périphérique ». Celle-ci englobe le Tibet, le Turkestan chinois, la Mongolie intérieure et la Mandchourie. Des régions peuplées de tribus montagnardes et de pasteurs nomades, qui formeront la zone oppressante des « barbares », d’où viendront d’ailleurs invasions, raids et pillages et vers lesquelles se porteront pendant plus d’un millénaire, les

chinoise aboutirent à la guerre sino-japonaise. Par le traité de Shimonoseki (1895), la Chine dut reconnaître l’indépendance de la Corée, désormais sous influence japonaise, et céda au Japon l’île de Taiwan et la péninsule du Liaodong, au sud de la Mandchourie. Finalement, la Chine se retrouva morcelée en zones d’influence étrangère. La fin de l'Empire chinois La mort de l’impératrice Tseu Hi en 1908 accéléra la chute de la dynastie Qing. Dans la première décennie du XXe siècle, les révolutionnaires

hommes, dont 86 000 soldats de l'armée rouge. Fin 1935, il se fixe avec les quelques dizaines de milliers de survivants à Yan'an. En 1932, le royaume fantoche de Mandchoukouo dont Pu Yi était le souverain nominal avait été établi par les Japonais en Mandchourie, réduisant considérablement le support industriel du Kuomintang. À l'été 1937, l'invasion massive de la partie orientale de la Chine par le Japon déclencha la deuxième guerre sino-japonaise. Menacé par l’occupation japonaise et les mutineries de

japonais sont fortement touchés par la crise économique de 1929 Déjà bien implantés économiquement en Mandchourie, ils pensent en faire une colonie capable de leur fournir des matières premières bon marché et de pouvoir accueillir le trop plein de la population japonaise. En septembre 1931, à partir d'un incident sur le chemin de fer sud-mandchourien, ils attaquent la Chine. Rapidement maîtres de la Mandchourie, ils la transforment en un état vassal, le Mandzouguo, où ils installent l'ancien empereur chinois

Tokyo, Asahi, pour lequel il rédige de nombreux ouvrages. Son premier livre "Je suis un chat" parait en 1905. C'est une vision ironique, à travers les yeux naïfs d'un chat, du Japon de son temps. Le second voyage, d'agrément celui-là, le mène en Mandchourie alors sous domination japonaise, puis en Corée, de septembre à octobre 1909. Invité par l'un de ses meilleurs amis occupant un poste-clef dans l'administration coloniale, il parcourt le pays avec nonchalance et cache difficilement un certain mépris

drogue (Opium) dans toute l’Asie pour affaiblir la Chine. Se sont les nobles du haut rang qui ont pris le contrôle du trafic d'opium, l'ont utilisé comme moyen afin d’affaiblir ennemies . -L’unité 731. Entre 1936 et 1945, prés de Harbin, en Mandchourie, une unité spéciale de l’armée japonaise, sous la direction du général Shiro Ishii, se livre à des expériences bactériologique sur plus de trois mille personnes (Civils Chinnois , mais aussi prisonniers Occidentaux). L’« unité 731 » a mis en pratique

gouvernement de Pékin jusqu'au 10 octobre 1928, émergence de multiples centres de pouvoirs à ambitions régionales (seigneurs de la guerre), dont certains ont des velléités de reconstitution d'un ensemble territorial plus vaste (Zhang Zuolin en Mandchourie par exemple), voire de réunification de la Chine (cas du gouvernement du Guomindang à Canton, puis des zones contrôlées par les communistes). Cela implique des éclatements de souveraineté, et place le problème de la « reconnaissance de la légitimité