Manon Lescaut

grieux) et érotique (vers Paris). L'installation du couple à Paris (page 36 : "Auprès de la maison de M. De B.*") entraine la première trahison de manon pour assurer l'avenir matériel du couple. Enlèvement de Des Grieux par sa famille, comme cela se fesait à l'époque. On apprendra que c'est M. De B. Qui a provoqué cet enlèvementavec l'approbation de Manon. Il sera séquestré 6 mois entiers par sa famille (pages 47-49). Au terme de ces 6 mois, et sur les conseils de Tiberge, Des Grieux choisit

Abbé Prevost La mort de Manon Registre pathétique : - Champ lexical de la mort - Tendresse des gestes réciproques. - L’acceptation de Manon. - Hyperboles pour traduire l’excès de souffrance - Allitérations en « s ». - Adresses à Renoncourt (pris à témoin) : phrases injonctives = prières, excuses. - Passage du « nous » au « je ». Registre tragique : Le poids du destin (vocabulaire : malheur, infortune, misérable). Situation : Dénouement de l’histoire Intro : En fuite

Paul et Virginie Jacques-Henri Bernardin de Saint-Pierre Lecture analytique n°5 P. 268 -269 – Livre de Français Paul et Virginie est publié en 1788. Il constitue la 4° partie d’un ensemble plus vaste (« Etude de la nature »). C’est un court roman, qui a affaire à 2 jeunes gens = Paul et Virginie, qui grandissent tous les deux ensemble, près de la France, dans un cadre idyllique de l’ile de France (actuelle ile Maurice). Ces deux personnages s’aiment, ils sont toutefois séparés, car Virginie

Avant de rencontrer cette jeune femme Des Grieux est un jeune de 17 ans qui termine sa classe de philosophie. Comme dit dans le texte dès la deuxième ligne, il est encore « innocent » au moment où il s’apprête à faire la rencontre avec Manon. C’est un homme qui ne cherche pas à regarder des femmes. Cependant il va le faire car sa curiosité le pousse à regarder une diligence qui arrive d’Arras. Il nous dit alors qu’il n’avait jamais regardé une fille avec attention. On voit donc un jeune homme peu

Extrait 3 : Manon Lescaut de « Tiberge, repris-je » à « qui n’est certaine que par la foi » En quoi ce passage est-il argumentatif ? Dès le début de l’extrait, le passage au discours direct et l’annonce d’un raisonnement indique qu’il s’agit d’un texte argumentatif. I. Une variété argumentative A. Persuasion _persuasion → exclamative en début de tirade → 1 ps & 2 ps très marquées Evoque son propre malheur et prend Tiberge à parti → hyperboles : « mille douleurs » «mille peines » ► DG manipulateur

rencontre Manon la veille de son départ avec son ami Tiberge, elle est envoyée au couvent par ses parents. Ils s'enfuient tous les deux à Paris en abandonnant leurs vocations respectives. Amour fou et charnel à l'auberge la première nuit. Appartement meublé à Paris. Première trahison de Manon avec M. de B... célèbre fermier général. Les gardes du père de DG l’escortent. Il reste environ un an chez son père à lire et se replonger dans la religion, dépité de la trahison de Manon. Manon lui rend

n'ai jamais vu de plus vive image de la douleur". L'auteur s'intéresse au jeune homme car il reconnait en lui un membre de sa classe."On distingue au premier coup d'oeil un homme qui a de la naissance et de l'éducation". Il a la même impression de Manon. ..."il y avait une fille dont l'air et la figure était si peu conforme à sa condition, qu'en tout autre état je l'eusse prise pour une personne de premier rang." ("douceur"+ "modestie"= "respect"+ "pitié") le narrateur leur offre son aide sous

Introduction Scène de rencontre, de première vue entre des Grieux et Manon Lescaut. Pour autant, il ne s'agit pas scène de la première vue de Manon, qui a déjà été décrite par le narrateur au tout début du roman, dans des termes aussi élogieux que ceux de des Grieux. La différence entre les deux descriptions réside dans le fait que celle que donne des Grieux n’est pas seulement une description de la jeune fille, mais également la description d’un « innamoramento » qui permet, par ricochet, de

lectrice et lecteur des intentions d’un auteur qui met ou prétend mettre son écriture au service de l’éducation morale alors que son récit est clairement sulfureux : quoi de plus passionnant ? C’est justement ce que nous allons faire grâce à Manon Lescaut et à la citation ci-dessus tirée de sa préface. Renoncour, qui se présente comme l’auteur des Mémoires d’un homme de qualité défend le projet de son livre dont il pressent aussi, et là c’est l’Abbé Prévost qui apparaît en filigrane, qu’il déclenchera

J’étais à présent dans le coche pour Amiens, une ville qui ne représentait pour moi que le couvent où mes parents m’envoyaient, ce couvent qui était pour moi le symbole d’une nouvelle vie, et donc d’une mort. J’acceptais sans autre possibilité, le sort fatal de la vie religieuse qui s’abattait sur moi. Tout cela était arrivé si vite, aussitôt que mon père avait pris connaissance de ma relation avec Charles, que je me retrouvai dans ce bloc de bois exigu qui transportait quelques femmes légèrement