Mansarde

Misérables, 1862 Texte C - Victor Hugo, Extrait de Les Misérables, 1862 (Je vais écrire les Textes B et C car c'est plus facile) Texte B : Fantine jeta son miroir par la fenêtre. Depuis longtemps elle avait quitté sa cellule du second pour une mansarde fermée d'un loquet sous le toit; un de ces galetas dont le plafond fait angle avec le plancher et vous heurte à chaque instant la tête. Le pauvre ne peut aller au fond de sa chambre comme au fond de sa destinée qu'en se courbant de plus en plus.

quarante francs à Montfermeil[1]. Du reste c’était une ruse des Thénardier pour avoir de l’argent. Cosette n’était pas malade. Fantine jeta son miroir par la fenêtre. Depuis longtemps elle avait quitté sa cellule[2] du second pour une mansarde fermée d’un loquet sous le toit ; un de ces galetas dont le plafond fait angle avec le plancher et vous heurte à chaque instant la tête. Le pauvre ne peut aller au fond de sa chambre comme au fond de sa destinée qu’en se courbant de plus en plus

famille et son pays. Dans le secret, toute la nuit, les enfants communiquent entre eux, se parlent en frappant des coups répétés sur les conduites d'eau. Et au petit jour l'enfant s'évade. Gaspard aide le garçon à se sauver en lui passant la clé de sa mansarde dans le conduit et en provoquant une nouvelle catastrophe cette fois volontaire (il se suspend au grand miroir) Gaspard va l'aider à se sauver mais sa blessure l’empêche d’aller plus loin. (il tombe de l’arbre où il s’était caché avec le garçon)

habitants, « habitués ». Toute une série de pensionnaires. La pension Vauquier s’inscrit dans un lieu plus vaste: Paris et ses quartiers; C. Point de vue globalement omniscient Le narrateur embrasse de son regard l’ensemble du lieu, du grenier aux mansardes jusqu’à la salle à manger. Il connait tous les sentiments de madame Vauquier. Il connait les situations financières de chacun. Le narrateur connait prix et tarifs de la pension, et des autres quartiers parisiens. Dans la première partie, le narrateur

montrer que Baudelaire décrit le paysage réel de la ville de Paris. Nous verrons ensuite que le réel est transformé en rêve. Et pour finir, je vais expliquer la démarche du poète. DEVELOPPEMENT I- Paysage de Paris réel - « du haut de ma mansarde, je verrai » (l.5-6) ; « lampe à la fenêtre » (v.10) Le poète est en hauteur, à sa fenêtre, et il voit le paysage de Paris du 19ème siècle Allitération en [d] = rôle ??? - « Astrologue » (v.2) ; « ciel » (v.2)  Omniprésence du ciel ce qui prouve

déchéance d'Hulot, Balzac a doté ce personnage de fille de cuisine d'une vulgarité physique et morale extrême. – Wenceslas STEINBOCK : artiste polonais. Il arrive en France en 1833 à la suite de la révolution qui agite la Pologne. Réfugié dans une mansarde sinistre, il tente de se suicider mais il est sauvé par l'intervention de sa voisine, Lisbeth Fischer. La vieille fille se prend d'amour pour lui et décide de le mettre sérieusement au travail. En épousant la belle Hortense, puis en devenant l'amant

noircies s’élèvent des senteurs de lilas. Entre deux hurlements de sirènes, des hommes ont sans doute trouvé le temps de bêcher leur petit jardin, car autour des cabanons de la Berlinerstrasse, la terre est fraîchement retournée. Je suis dans ma mansarde sous les toits. C’est pas vraiment… Elle le coupe et continue le récit :…Ce n’est pas vraiment mon chez moi. Je n’en ai plus. Je n’ai plus rien d’ailleurs, juste une valise de vieilles frusques. Je viens d’aller échanger contre

et vivant ; un décor un peu artificiel. Le vert paradis des amours enfantines" est évoqué ici (vers 20 : "Ce que l'idylle a de plus enfantin"). III) La démarche du poète 1) Situation du poète a) Poète mis en scène dans le poème - Pauvre "mansarde" (comme les domestiques et les étudiants) - Enclin à la rêverie. -> Attitude traditionnelle du poète. b) Inspiration : elle est confondue avec la rêverie. Inspiration / travail -> travail volontaire maîtrisé | | "Je veux" "composer"

fausser le jugement. Description des lieux, objets ou paysages Candélabre (p.90) : Haut support de luminaire Guilloché (p.90) : Décor d’une surface, en général incisé. Fiacre (p.80) : Voiture hippomobile à quatre roues et à quatre places. Mansarde (p.81) : Pièce aménagée dans un comble. Héraldique (p.89) : Discipline ayant pour objet la connaissance et l’étude des armoiries. Vacillante (p.94) : Qui n’est pas stable Emmailloté (p.110) : Envelopper quelque chose, le recouvrir étroitement

atroces et pour donné sans précédents, tout spécifiquement à l'instigation de l'allemagne nazie et du japon impérial. parmi ces homicide représenter la déplacement en camps de concentration, parti de situation et bohémien de la mort, comportant des mansarde à gaz à des fins d’extermination de populations obstiné (juifs, slaves, tziganes), ou de division particulières d’individus (homosexuels, Témoins de jéhovah, handicapés, etc.) commandées par le jeûne nazi. le régime shōwa ne fut nullement en reste