Mansarde

messieurs La fenêtre est un œuf Quand elle est œil-de-bœuf 3 Qui attend comme un veuf Au coin d'un escalier La fenêtre bataille Quand elle est soupirail D'où le soldat mitraille Avant de succomber Les fenêtres musardent4 Quand elles sont mansardes Et abritent les hardes5 D'un poète oublié Mais les fenêtres gentilles Se recouvrent de grilles Si par malheur on crie : « Vive la liberté » Les fenêtres surveillent L'enfant qui s'émerveille Dans un cercle de vieilles À faire ses premiers

place d'un angle. Mais derrière l’œuvre d'art il y a des exigences du promoteur ; les Mila, en effet, demandent à Gaudi de leur construire un immeuble qui outre leur résidence, doit comporter une vingtaine d'appartements locatifs, un parking, des mansardes, une terrasse... Immeuble habitation + hôtel particulier Il doit convertir cette masse imposante en un lieu de vie ouvert sur la lumière. Gaudi passionnée d'anatomie, envisage son immeuble comme un corps revêtu d'une peau B/La façade n'est

vivant ; un décor un peu artificiel."Le vert paradis des amours enfantines" est évoqué ici. (V20 :"Ce que l'idylle a de plus enfantin")III) La démarche du poète Situation du poète a) Poète mis en scène dans le poème- Pauvre "mansarde" (comme les domestiques et les étudiants)- Enclin à la rêverie.-> attitude traditionnelle du poète. b) Inspiration : elle est confondue avec la rêverie.Inspiration / travail -> travail volontaire maîtrisé "Je veux"     "composer" Genres

peuplé et vivant ; un décor un peu artificiel. "Le vert paradis des amours enfantines" est évoqué ici. (V20 :"Ce que l'idylle a de plus enfantin") III) La démarche du poète 1) Situation du poète a) Poète mis en scène dans le poème - Pauvre "mansarde" (comme les domestiques et les étudiants) - Enclin à la rêverie. -> attitude traditionnelle du poète. b) Inspiration : elle est confondue avec la rêverie. Inspiration / travail -> travail volontaire maîtrisé

regardons comment Fantine est victime de la déchéance matériel physique et moral. Cette misère est tout d'abord matériel. Victor Hugo nous donne le décors de son cadre de vie. Il y a une accumulation de mots à connotation négative « cellules » « mansarde(..)sous le toit » « gatelas » (l.18-19) montrant la pauvreté de l'habitation de Fantine. Il fait pareil pour parler du mobilier lorsqu'il écrit « une loque qu'elle appelait sa couverture, un matelas à terre et un chaise dépaillé »(l.22-23). Grâce

reflet sur les fleurs, les odeurs immondes et désagréables qui proviennent de la cuisine qui ne sont pas en accord avec les odeurs de fleurs qui parfument la chambre. Toutefois, les endroits destinés à une bonne restent invisible comme par exemple, la mansarde. La perplexité subvient à certains moments pour le spectateur. Ainsi, Le rôle d’une scène d’exposition classique est de faire le point sur une situation tandis qu’ici la scène semble confuse et les sœurs se perdent dans leurs propos. Les sœurs semblent

dans un premier temps, des revenus suffisants pour habiter au premier étage un très bel appartement mais au fur et à mesure que ses moyens diminuent mystérieusement, il loge dans des appartements moins confortables pour finalement occuper une mansarde. Les autres pensionnaires le soupçonnent de dilapider sa fortune en entretenant des femmes et il devient la cible de leurs railleries. P.79 (1) / P.80 (2) Eugène de Rastignac ambitionne de s'introduire dans la haute société parisienne: invité

Paysage 5 10 Je veux, pour composer chastement mes églogues1, Coucher auprès du ciel, comme les astrologues, Et, voisin des clochers, écouter en rêvant Leurs hymnes solennels emportés par le vent. Les deux mains au menton, du haut de ma mansarde, Je verrai l’atelier qui chante et qui bavarde ; Les tuyaux, les clochers, ces mâts de la cité, Et les grands ciels qui font rêver d’éternité. Il est doux, à travers les brumes, de voir naître L’étoile dans l’azur, la lampe à la fenêtre, Les fleuves

Henri Dopartie, mon professeur qui m'avait toujours semblé morne et un peu inquiétant. Nos leçons ne duraient pas longtemps, et il ne m'apprenait pas tout ce que je voulais savoir. Ainsi, comme il vivait dans les parages de ma petite habitation avec mansarde, le soir j'allais l'espionner par ses fenêtres pour voir sa somptueuse manière de peindre. Son appartement était assez décrépit, et par ce que je pouvais fugacement apercevoir par ses fenêtres, il était même dégoûtant à l'intérieur, ce qui me surprenait

Balzac né dans la bonne bourgeoisie de Tour, rue nationale, devait faire étude de médecine, obsédé par mythe napoléonien, transposer ce mythe dans les lettres, fréquente bohème parisienne, obsédé par théâtre, paye étude qu’il ne suit pas, vit dans une mansarde, avec un buste de napoléon sur la cheminée « ce qu’il a fait par l’effet je le ferai par la plume », écrit des romans à la Guillaume Musso, médiévaux et gothique à la mode anglaise « La comtesse de Birague » « Je rêvais de gloire et j’en suis réduit