Mansarde

valeur l'articulation tripartite de la façade. Autre invention originale de Lescot, le bâtiment est surmonté d'une toiture brisée. Cette nouveauté pour l'époque devait se généraliser et devenir un trait caractéristique de l'architecture française : la mansarde. À la demande d'Henri II, Lescot entame ensuite la construction du pavillon du roi destiné à abriter ses appartements16. La nouvelle construction remplace la tour d'angle sud-ouest qui assure la liaison entre la nouvelle aile Renaissance et l'aile

de l’observation de la nature Pousse le gout du décor très loin même pour des parties de l’édifice non visibles depuis la rue : exemple, cheminées/ sculptures de la Casa Mila ne sont visibles que par les ramoneurs et les domestiques habitant les mansardes.  l’œuvre de Gaudi n’est pas que façade décorée : il a été aussi un inventeur de structures et un adepte de l’abstraction :  un des premiers utilisateurs de la technique du collage (précédant les cubistes et les dadaistes) : cf. porcelaines parc

quarante ans s’appelant Vautrin. Le troisième étage, composé de quatre chambres, voit la présentation des autres pensionnaires : la vielle fille nommée Mlle Michonneau, le père Goriot, l’étudiant en Droit, Eugène de Rastignac. Au grenier, dans les deux mansardes, le garçon de peine Christophe et Sylvie, la cuisinière. La description balzacienne utilise une perspective en approche qui entraîne deux phénomènes de grande portée idéologique et narrative : la mise en évidence de l’ultime détail comme support

exemple : l’écart hygiénique était très grand entre la femme de chambre et la bonne sorti droit des campagnes. Il faut tenir compte des mœurs de l’époque, les exigences en matières d’hygiènes sont réduites, on ne se lave pas tous les jours. Les mansardes ne disposent que d’un poste d’eau à l’étage et très souvent les domestiques manquent de temps pour faire leur toilette. En générale, la domestique n’avait aucuns congés pour aller aux bains, si elle voulait remplir son pot d’eau pour se laver elle

avec Paris [pic] La rue Mouffetard, surnommée aussi « la Moufte », débute place de la Contrescarpe et se termine près de l'église Saint-Médard, à côté de la station de métro les Gobelins. Elle offre aux yeux des passants de belles maisons en mansarde, des bistros conviviaux, des restaurants aux assiettes copieuses, un marché très réputé pour ses saveurs du terroir, un cinéma d'art et d'essai, un théâtre flambant neuf, une grande bibliothèque sur quatre étages, un bowling, des terrasses de café

C’est un effet sociologique que la division d’un immeuble en catégories verticales. Les appartements au premier étage sont habités par les classes bourgeoises pour la plupart car ils sont les plus chers. Les chambres sous le toit, les greniers et mansardes offrent évidemment le moins de luxe et sont loués par les gens de peu d’argent. Le tableau de David Carey (Life in Paris 1922) montre la coupe d’un immeuble comme il est organisé par la ségrégation sociale. (voir référence 18). Le premier étage de

s’offre à Laurent à la seule condition du mariage. Chapitre 17 Laurent boit de nombreux verres de vin chez un marchand de vin. En arrivant à son hôtel, il a terriblement peur de traverser les couloirs obscurs et les escaliers qui mènent à sa mansarde. Il ne trouve pas le sommeil, est victime d’hallucinations et pense successivement à Thérèse et Camille. Au matin, la morsure le fait toujours souffrir mais il pense que Thérèse le guérira. Le soir, il se rend chez Mme Raquin et apprend

qu'auparavant jovete saerifié ia richesse & ma conscience, javais maintenant abandonné mon ombre simplement our de For que pouvait.l, que devait:il advenir de moi sur terre ?».Ilrentre chee lu, une vielle auberge .en voiture qu'il quaifie de « mauvaise mansarde », il est effrayé I grdonne alors la voiture de le déposer au melleur hdtel (Cétait au nord, il navat done pas Scraindre le soleil). Vor qui sort de la bourse est infinie, ily passe Ia journée et le soir et Sendors.llraconte son réve :il voit quelqu’un

    Mme Loisel connut la vie horrible des nécessiteux. Elle prit son parti, d'ailleurs, tout d'un coup, héroïquement. Il fallait payer cette dette effroyable. Elle payerait. On renvoya la bonne; on changea de logement; on loua sous les toits une mansarde.     Elle connut les gros travaux du ménage, les odieuses besognes de la cuisine. Elle lava la vaisselle, usant ses ongles roses sur les poteries grasses et le fond des casseroles. Elle savonna le linge sale, les chemises et les torchons, qu'elle

parfait avec le génie qui présidait aux inventions de l'architecte, du sculpteur et du peintre. L'orfèvrerie du siècle de Louis XIV est empreinte du goût de Le Brun. L'armoire et le guéridon de Boule ont les contours, les profils et les cartels de Mansard. Le XVIIIe siècle fait reconnaître son goût mesquin, faux et insignifiant dans les dorures de ses boiseries, dans les contours de ses glaces, dans le chantourné de ses dessus de portes, de ses voitures, etc., comme dans les plans mixtilignes de ses