Mansarde

Boileau. L’éclectisme se décline dans l’architecture domestique comme ailleurs. Les façades des grands immeubles, disposées dans un alignement rigoureux, sont généralement classiques : grande porte cochère, premier et dernier étage à balcon, toits mansardés, et plus rarement, des cariatides. (14) La sculpture et la ferronnerie sont fort utilisées par les architectes pour adoucir l’austérité du style. De gigantesques hôtels particuliers voient le jour. Les architectes conçoivent des constructions

Paysage Je veux, pour composer chastement mes églogues, Coucher auprès du ciel, comme les astrologues, Et, voisin des clochers, écouter en rêvant Leurs hymnes solennels emportés par le vent. Les deux mains au menton, du haut de ma mansarde, Je verrai l’atelier qui chante et qui bavarde ; Les tuyaux, les clochers, ces mâts de la cité, Et les grands ciels qui font rêver d’éternité. Il est doux, à travers les brumes, de voir naître L’étoile dans l’azur, la lampe à la fenêtre

permettaient d'habiter au premier étage l'appartement le plus cossu de la pension. Puis ses revenus diminuant mystérieusement, le vieil homme est monté d'étage en étage, logeant dans des appartements de plus en plus modestes. Il occupe actuellement une mansarde et est devenu le bouc émissaire de la Maison Vauquer. Les autres pensionnaires commentent son infortune avec peu d'élégance et le soupçonnent de se ruiner en entretenant des femmes du monde.Eugène de Rastignac, jeune "ambitieux", rêve de s'introduire

ensuite la frise et pour finir, les frontons. Une corniche en forte saillie surplombe le tout et couronne en quelque sorte le dôme. Les lignes verticales formées par les contreforts sont continuées sur les arcs qui se détachent du dôme. Une sorte de mansarde en entoure la base, et la moulure du haut qui l'englobe en un panneau semi-circulaire interrompu dans la partie basse par un panneau rectangulaire disparaît derrière un fragment de fronton cintré, encadré par une double-volute. Tous ces traits contribuent

Elle envoya les quarante francs à Montfermeil.3 Du reste c’était une ruse des Thénardier pour avoir de l’argent. Cosette n’était pas malade. Fantine jeta son miroir par la fenêtre. Depuis longtemps elle avait quitté sa cellule4 du second pour une mansarde fermée d’un loquet sous le toit ; un de ces galetas135 dont le plafond fait angle avec le plancher et vous heurte à chaque instant la tête. Le pauvre ne peut aller au fond de sa chambre comme au fond de sa destinée qu’en se courbant de plus en plus

parisiens » « Paysage » Je veux, pour composer chastement mes églogues 1, Coucher auprès du ciel, comme les astrologues, Et, voisin des clochers, écouter en rêvant Leurs hymnes solennels emportés par le vent. Les deux mains au menton, du haut de ma mansarde, Je verrai l’atelier qui chante et qui bavarde ; Les tuyaux, les clochers, ces mâts de la cité, Et les grands ciels qui font rêver d’éternité. Il est doux, à travers les brumes, de voir naître L’étoile dans l’azur, la lampe à la fenêtre, Les fleuves

un éclat de rirePaysage Je veux, pour composer chastement mes églogues, Coucher auprès du ciel, comme les astrologues, Et, voisin des clochers écouter en rêvant Leurs hymnes solennels emportés par le vent. Les deux mains au menton, du haut de ma mansarde, Je verrai l'atelier qui chante et qui bavarde ; Les tuyaux, les clochers, ces mâts de la cité, Et les grands ciels qui font rêver d'éternité. II est doux, à travers les brumes, de voir naître L'étoile dans l'azur, la lampe à la fenêtre Les fleuves

1857) Texte 3 : « Le Soleil » dans la section « Tableaux parisiens »2ème poème du recueil de 1857, remplacé en 1861 par « L’Albatros »2ème position de « Tableaux parisiens », après « Paysage », qui évoque le poète regardant Paris « du haut de sa mansarde »1.4 - La poétique de la modernité→ L’art moderne selon BaudelairePour Baudelaire, il y a une historicité du beau (la beauté n’est pas immuable, elle a une histoire), comme le montre, dans « V - J’aime le souvenir de ces époques nues » l’opposition

innombrables rapports que naît cet idéal obsédant. Vous-même, mon cher ami, n'avez-vous pas tenté de traduire en une chanson le cri strident du Vitrier, et d'exprimer dans une prose lyrique toutes les désolantes suggestions que ce cri envoir jusqu'aux mansardes, à travers les plus hautes brumes de la rue?      Mais, pour dire le vrai, je crains que ma jalousie ne m'ait pas porté bonheur. Sitôt que j'eus commencé le travail, je m'aperçus que non-seulement je restais bien loin de mon mystérieux et brillant

Par ailleurs, le lieu est neutralisé par l'absence de son occupante légitime. La cuisine est à côté, image invisible et inversée de la chambre, lieu de leur travail où trône l'évier aux odeurs immondes alors que la chambre est remplie de fleurs. La mansarde est au dessus, invisible elle aussi. C'est l'univers des bonnes, la chambre caricaturale où les fleurs sont en papier et où s'aiguise leur jalousie morbide. Tout s'ordonne autour de la chambre. Se glissant dans le lieu interdit et sacré comme dans