Mantes-la-Ville

compétence Madame Marianne Mulon, peuvent rendre d'autres services que ceux dont profitent les chercheurs qui ont la chance de fréquenter les salles hautes de l'Hôtel de Clisson. Il m'a semblé qu'une telle publication pouvait être utile. Au moment où, en ville comme à la campagne, le réaménagement de l'espace bouleverse la toponymie, et où les facultés d'invention de nos contemporains doivent s'appuyer sur une connaissance sûre du patrimoine linguistique de la nation, j'ose espérer que ce livre austère servira

¨ Cela permet au lecteur de se représenter dans ce décor, et de s’imaginer être témoin de ce qui va lui être raconté. ᕢ Quels éléments participent à la mise en place réaliste du décor de l’histoire qui va être racontée ? ¨ La référence à la ville de Porto-Vecchio ¨ Les explications données au lecteur sur la culture et l’élevage en Corse. ¨ Les indications topographiques permettant au lecteur de devenir un voyageur suivant un itinéraire. ᕣ Pourquoi le narrateur mentionne-t-il l’ « adresse

coutumes. Ces assemblées militaires et judiciaires disparurent. Mais l’idée que le peuple est souverain et législateur fut ensuite défendue par nombre de philosophes et de jurisconsultes. Dès le XIIème siècle, des légistes affirment que la cité, la ville libre médiévale, est indépendante des seigneurs, qu’elle est son propre prince, et qu’elle peut adopter des « établissements », des « statuts », c’est-à-dire des lois. Un adage médiéval dit : « La cité est son propre prince » : civitas sibi princeps

serait aisé de l'y conduire ; pendant qu'elle serait assise à lire, de m'entendre avec mes amis sur le lieu où nous retrouver, et j 'aurais encore le temps, , • , À la recherche du temps perdu en me dépêchant, de prendre avec eux le train pour Ville-d 'Avray. Au moment convenu, ma grand-mère ne voulut pas sortir, se trouvant fatiguée. Mais ma mère, instruite par du Boulbon, eut l'énergie de se fâcher et de se faire obéir. Elle pleurait presque à la pensée que ma grand-mère allait retomber dans

me disiez pas la vérité ; je n’ai pas eu besoin de toucher vos joues, pour savoir que vous aviez pleuré. Et elle répéta très haut : « Non, je n’avais pas besoin de toucher vos joues » ce qui me fit rougir, parce que nous étions encore dans la ville et que des passants se retournèrent. Cependant elle continuait : – Il ne faut pas chercher à m’en faire accroire, voyez-vous. D’abord parce que ça serait très lâche de chercher à tromper une aveugle… Et puis parce que ça ne prendrait pas, ajouta-telle

Italie Elle implique séparation de glise et de tat activités parallèles et indépendantes sur ce que Giolitti appelait au début du siècle le EXISTE-T-IL UNE DOCTRINE DE LA MOCRATIE CHR TIENNE 315 doppio binario Le Pape résidant dans la Ville ternelle ne saurait admet tre être traité comme le chef de telle ou telle confession religieuse minori taire Chef suprême de la chrétienté il entend pour être même exercer son mandat universel disposer de certains privilèges et avoir face tat un domaine

ce qui valorise cette dernière et devrait flatter son orgueil. Vers 861 à 880 : argumentation. Vers 861 à 866 : elle s’adresse à l’amoureuse pour la rassurer. Andromaque qui connaît l’amour d’Hermione pour Pyrrhus, veut d’abord la rassurer en affir- mant qu’elle n’est pas une rivale, son seul amour étant Hector. Mais en même temps, elle rappelle discrètement qu’elle a su un jour séduire un héros. Vers 867 à 872 : elle s’adresse à la femme qui un jour sera mère, pour lui pré- senter l’objet de sa requête

devant son mari. Ce qui l'avait particulièrement charmée en lui, c'est qu'il était général, faisant d'elle une générale. Elle avait dans la maison son appartement particulier où elle vivait avec ses domestiques, ses commères et ses chiens. Dans la ville, on I - INTRODUCTION 4 Carnet d'un Inconnu la traitait en personne d'importance et elle se consolait de son infériorité domestique par tous les potins qu'on lui relatait, par les invitations aux baptêmes, aux mariages et aux parties de cartes

Émile Zola L’ŒUVRE 1886 Table des matières I 3 II 32 III 64 IV 106 V 139 VI 173 VII 209 VIII 255 IX 290 X 337 XI 388 XII 431 À propos de cette édition électronique 460 I Claude passait devant l’Hôtel-de-Ville, et deux heures du matin sonnaient à l’horloge, quand l’orage éclata. Il s’était oublié à rôder dans les Halles, par cette nuit brûlante de juillet, en artiste flâneur, amoureux du Paris nocturne. Brusquement, les gouttes tombèrent si larges, si drues, qu’il prit sa

............................ 388 XII ......................................................................................... 431 À propos de cette édition électronique ................................ 460 I Claude passait devant l’Hôtel-de-Ville, et deux heures du matin sonnaient à l’horloge, quand l’orage éclata. Il s’était oublié à rôder dans les Halles, par cette nuit brûlante de juillet, en artiste flâneur, amoureux du Paris nocturne. Brusquement, les gouttes tombèrent si larges, si drues