Maoris

culture à l’aune des rapports entre physique et moral, l’Orient et l’Extrême-Orient possèdent une avance considérable sur l’Occident, car ces cultures ont développé des techniques considérables avec le Yoga, le souffle chinois ou la gymnastique des Maoris. Et Claude Lévi-Strauss fournit en abondance des exemples de ce type : les Australiens ont été largement en avance sur l’Occident pour comprendre l’importance du mariage comme support des autres institutions sociales ; ils ont élaboré des règles très

différences sociales entre les individus, en figurant à même leur peau le rang auxquels ils appartiennent, les privilèges auxquels ils ont droits et le niveau de prestige qui est le leur (Caduvéo et peuples amérindiens nord-occidentaux). Comme pour les Maori, les tatouages ont une visée spirituelle et moralisatrice. Les motifs sont ainsi indissociables de l’organisation sociale dont ils sont porteurs. En inscrivant le sujet dans la société, ils le sociabilisent et le 5Couchard, F. 1999. La Psychologie

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précises dans l’histoire si ce n’est quelques explications sociologiques, médicales et décoratives diverses pour les expliquer. Le tatouage fut pratiqué par les Egyptiens dès 2000av.J.-C. Les tatouages en couleurs se développèrent fortement chez les Maoris de Nouvelle-Zélande et furent pendant un temps une forme d'ornement prisée en Chine, en Inde et au Japon. Peu d’historiens se sont consacrés à sa découverte et son évolution. Même si des anthropologues, ou des tatoueurs dans une démarche personnelle

culture à l’aune des rapports entre physique et moral, l’Orient et l’Extrême-Orient possèdent une avance considérable sur l’Occident, car ces cultures ont développé des techniques considérables avec le Yoga, le souffle chinois ou la gymnastique des Maoris. Et Claude Lévi-Strauss fournit en abondance des exemples de ce type : les Australiens ont été largement en avance sur l’Occident pour comprendre l’importance du mariage comme support des autres institutions sociales ; ils ont élaboré des règles très

qui portait un anneau au bout du gland, qui passait par l’urètre et ressortait à la base du filet. 2. Histoire du Tatouage Le tatouage fut pratiqué par les Egyptiens dès 2000av.J.-C. Les tatouages en couleurs se développèrent fortement chez les Maoris de Nouvelle-Zélande et furent pendant un temps une forme d'ornement prisée en Chine, en Inde et au Japon. On pensait que les tatouages offraient une protection contre la malchance ou la maladie. Ils servaient aussi à identifier le statut ou le rang

Société royale de Londres qui a publié son rapport sur une éclipse du Soleil à laquelle il a assisté à Terre-Neuve en 1766). Il ne s’agit pas de conquérir des territoires. Les contacts sont en général amicaux et pacifiques comme à Tahiti (mais les Maoris, peuple de guerriers, attaquent les Européens pour les empêcher de débarquer en Nouvelle-Zélande). Plusieurs gravures [3 et 5, Essentiel en image p. 39] montrent que les Anglais sont souvent armés quand ils quittent leur navire. Ces armes sont destinées

équipe sur l’île, en 1864. En Nouvelle-Zélande, c’est Charles Monro qui introduit le rugby, en 1869. A la différence de l’Australie, où il est pratiqué par les plus forts dans les universités et les collèges privés, ce sont les fermiers et les Maoris, originaires des îles, qui participent au développement du rugby. La jeunesse des villes l’adopte vite et le rugby devient réellement un sport national en arrivant à Auckland, située dans l'île du Nord en Nouvelle-Zélande. En France, la presse

fouettée. YVES SAINT LAURENT. Manteau, collection automne/hiver 1990/1991. Modèle: Katoucha. Le manteau d’autruche et de plumes de queue de faisant d' Yves Saint Laurent, nous offre des plumes envoûtantes que l’on imagine portées par les chefs Maori et Hawaïens. Il donne à voir un projet d’identité exotique. L’exotisme est un leitmotiv récurrent dans le travail de Saint Laurent, exprimé par sa palette de couleurs vives, par ses accessoires et broderies, et par l’usage de matériaux peu conventionnels

soutien  d’un  usage  stable  de  la  langue  dominée,  à  l’oral  comme à l’écrit (quand il existe une orthographe), dans une région ou un Etat où  existent à la fois le plurilinguisme et la langue dominante (lingua franca), comme  c’est le cas du maori en Nouvelle‐Zélande.      Pour assurer la vitalité d’une langue, il faut idéalement que les locuteurs y soient non  seulement très attachés, mais qu’ils sachent aussi dans quel domaine accorder leur soutien.  L’attitude positive est primordial