Maoris

qui est à la fois hydrographe, astronome et très bon marin. C'est un homme bienveillant, qui a un esprit juste et qui est loyal et humain envers les indigènes. Mais même s'il est le plus humain des explorateurs, lui aussi déplore des massacres de Maoris qui ne voulaient pas embarquer sur son navire (en effet on rapportait une preuve de sa découverte en métropole et donc on rapportait des indigènes, de gré mais souvent de force). James Cook fait partie de ces explorateurs intelligents qui se servent

d’une nécessité. Une fois établi sur une île qui offre plus de possibilité, un peuple perd peu à peu, en l’espace d’une génération, ses capacités à parcourir de vastes espaces maritimes, ce qui a tendance à individualiser la culture. C’est le cas des Maoris de Nouvelle Zélande qui se sont isolés du reste du monde polynésien car les ressources de leur île leurs suffisaient pour survivre. Les Pascuans ont connu le même sort parce qu’en ayant déboisé irrémédiablement leur île, ils n’ont plus eu de matière

cela nous avons choisi le vélo, moyen de transport économique par excellence, il nous servira un peu de maison au cours de cette année d'aventure. Rencontrer les peuples de la Terre, des tribus du pays Dogon aux bonzes du Népal en passant par les Maoris de Nouvelle Zélande. Recueillir des témoignages sur leurs vies et leurs traditions et partager un des biens les plus précieux de l'homme, l’hospitalité. Nous découvrirons ainsi la richesse des différentes cultures de la Terre. C’est pourquoi nous

immortelle de Saartjie Bartman a Afrique du sud. Implicitement on a reconnu que le muséum été propriétaire de reste humain. Mais pb car pas très cohérent avec l’art 16-1. Loi du 18 mai 2010 visant a autorisé la restitution par la France des têtes Maories à la nouvelle Zélande et relative a la gestion des collection. Au musée de Rouen on a en collection une tête d’une personne indigène de nouvelle Zélande. Le propriétaire du musée a voulu les restituer mais le tribunal de Rouen a refuser car inaliénable

collections des musées sont affectées à un service public culturel. On va regarder si ce bien présente un intérêt culturel ou scientifique. Problème particulier de têtes maories. En 1831, le parlement anglais a voté une loi qui interdisait le trafic des têtes maories. Une tête se trouvait au musée de Rouen. Or, il se trouve que les tributs maoris veulent récupérer leurs têtes. Le conseil municipal avait décidé de restituer la tête à la Nouvelle Zélande. Or le préfet fait opposition. Le juge va dire qu’il

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croise les fonctions sociales dans les sociétés dites primitives et pousse la réflexion jusqu’à aujourd’hui. Elle se base notamment sur les travaux de Levi Strauss 25 pour poser son analyse sur les sociétés non scripturaires, plus précisément les Maori (Nouvelle Zélande) et les Caduveo (Amérique du sud) : « Dans les cultures totémiques, les emblèmes sont les ressorts de la vie sociale […] les tatouages sont liés à l’inscription des membres du clan dans une communauté d’existence… », […] le tatouage

reproduction sociale du groupe). Partant de ce principe toutes les sociétés doivent satisfaire des besoins variés. Mais effleurent a peine la question de savoir si ces besoins sont ou non comparables, même s'ils le laissent entendre. ( un zoulou et un maori placent-ils sur le meme plan leurs diverses activités? Se posent-ils la question du choix entre elles?? Difference entre nos sctés avec contraintes horaires et monétaires ou l'on doit faire des choix..) Selon eux, les « primitifs » ont le sens du calcul

flamboyants. Il n’est que de voir le portrait de Paul III avec ses petits-fils ou le rouge du manteau que porte son ami l’Arétin (Florence, Palazzo Pitti, Galleria Palatina). Mais le rouge est divers pour le Titien, tout comme il l’était pour le peuple Maori où on répertoriait plus d’une centaine de rouges[13], il y a le rose, le vermillon, le pourpre et le rouge brun qui dominent le tableau de l’Assomption et qui scandalisent les contemporains. Il y a le « rouge vermillonné à la laque garance cramoisie »

Pourquoi ? Tout simplement parce que l'observateur extérieur, lui-même emporté dans le mouvement et la logique de sa propre culture, est incapable de saisir la dynamique interne de la culture qui lui est 14 En regardant les femmes Maori marcher en pratiquant le onioi (mouvement ondulatoire des hanches pendant la marche) on en viendra peut-être à penser que leur manière de marcher n'est pas naturelle et on aura raison mais on se trompera en pensant que notre propre manière de marcher