Maquiladora

les « usines-tournevis », c'est-à-dire les usines qui rassemblent des ouvriers peu qualifiés assemblant des pièces détachées confectionnées sur d'autres continents ; de même que les populations d'Amérique centrale cherchent du travail dans les « maquiladoras » du Brésil. Différents facteurs poussent ces migrations au départ : le chômage, la guerre, la pauvreté, la pression démographique ; ces facteurs sont souvent regroupés au sein d'un même État et sont aussi causes les uns des autres. Le

sociales Premier pays qui réagit = le Mexique qui tente de mettre en place un veritable developpement avec le statut de Maquiladora qui est accordé aux entreprises mexicaine en 1964. Travailleurs allaient travailler en Californie (resorbe chomage + entrée de devise). Or Californie n'a plus besoins de ces travailleurs et Mexique agit pour eviter montée de chomage. D'ou statut de Maquiladora : possibilité d'importer et exporter sans droit 1970 : Amerique latine s'enfonce dans les difficultés avec la montée

IAA, feedlot. Rocheuses :réserve d’esp, sols riches, etc + Hawaï et Alaska (Main Land) b) un territoire ouvert : rôle des interfaces Causes : Littoralisation L’ALENA (CANADA,US,MEXIQUE) 1994 Region transfrontalière ( Mexamérique, Maquiladoras, pugetopolis, villes jumelles :Tiujana-San Diego, US-CANADA) Conséquences : dynamisme des facades maritimes et flux intense dans les regions transfrontalière c) un territoire métropolisé * Métropolisation (=concentration croissante des hommes

17000 milliards de $ en 2010 représente un quart des richesses produites dans le monde. Elle organise la libre circulation des capitaux, des marchandises mais pas des personnes. Les entreprise anglo-saxonnes invertissent massivement au Mexique (maquiladoras) et préservent l'immigration mexicaine indésirable. L'intégration est centrée sur les EU qui attirent 75% des exportations canadiennes et 78% des exportations mexicaines. De puissantes régions transfrontalières émergent comme la Mexamérique ou

autoroutiers assurent la plupart des déplacements humains), maritimes (grâces à ces « portes océaniques ») mais aussi les chemins de fer. De surcroît, l'ensemble documentaire ne traite pas des régions transfrontalières au Nord et au Sud. Pourtant, les maquiladoras de la frontière américano-mexicaine constituent une caractéristique économique majeure de la façade : ce sont des ateliers installés d'abord au Mexique par les firmes transnationales des pays du Nord qui assemblent des composants importés avec

phénomène de gentrification. b) L'inégal dynamisme des périphéries. Périphérie dynamique et attractive = la Sun Belt (fait référence au climat puis à l'économie) , sa réussite s'explique par: Interface terrestre (Mexique avec le dvp des maquiladoras et le Canada) Interface maritime (Pacifique = Asie et Golf du Mexique = Pétrole) Activités économique sur place (silicon valley, pétrochimie, toursime, agriculture avec la Floride 1er producteur d'agrumes) Flux migratoires internes

firmes transnationales étasuniennes (système Nike), mais aussi par la perte de compétitivité des États-Unis face aux Européens et à l'Asie. Les firmes américaines conçoivent les produits mais les font fabriquer par une main d'œuvre à faible coût (Maquiladoras au Mexique, main d'œuvre féminisée en Asie du Sud-Est). Les États-Unis, modèle libéral par excellence, ont une attitude très ambigüe car ils se donnent parfois la possibilité d'installer des barrières douanières quand ils considèrent la concurrence

de contact entre deux espaces contrastés, lieu d'échanges plus ou moins actifs. - Ces interfaces peuvent-être des espaces frontaliers et l'interface la plus active au monde est celle du Mexique- Etats-Unis ce qui explicite qu'on y trouvera des maquiladoras. - Les façades littorales ou maritimes ont également un rôle essentielle : façade Pacifique de l'Amérique du Nord ( Californie à Vancourvert ), façade Atlantique des Etats-Unis, façade européenne apellée le Northerm ranger, façade maritime asiatique

représentaient 18,5% du PIB au Mexique au cours du second trimestre 2008 et à peu près 90% de toutes les exportations, alors que le pays excelle dans les domaines de l'industrie alimentaire, de l'automobile et de l'électronique. L'industrie d'assemblage (Maquiladoras) occupe une place importante dans le secteur secondaire (autour de 80% de la production), grâce aux réductions de taxes négociées lors du traité de libre-échange en Amérique du Nord, et aussi aux programmes d'aide à l'exportation promus par le

traditionnel s’est donc adapté aux mutations de la mondialisation ( littoralisation et délocalisations) voir texte « General Electric » : les tâches de production et d’assemblage nécessitant une main d’œuvre peu qualifiée sont délocalisées à l’étranger ( maquiladoras et pays émergents d’Asie) dans le cadre des FMN américaines. Les activités plus sophistiquées reposant sur la matière grise et les capitaux sont restées sur le territoire US ; * Les USA ont donc développé l’industrie de haute technologie qui