Marais breton

Marin Marais est un violiste et compositeur français de la période baroque. Il est né en 1656, son père est cordonnier. Marais est d'abord enfant de chœur à l'église Saint-Germain-l'Auxerrois, en partie grâce à son oncle, Louis Marais, vicaire dans cette église. Il en est renvoyé à seize ans car sa voix a mué. Ayant reçu les bases de la viole durant sa formation d'enfant chœur, il souhaite se perfectionner chez un violiste reconnu, Jean de Sainte-Colombe. Après seulement six mois, ce dernier aurait

créer une histoire à partir de rien sur le mystérieux Monsieur de Sainte-Colombe et son élève Marin Marais. Ce dernie, voulant devenir un violiste aussi renommé que son maître, est motivé par les deux raisons suivante; il déteste sa famille et a un désir de vengeance envers sa voix qui a muée rompant ainsi son contrat de chantrerie. Tout d'abord, la première raison motivant Marin Marais à devenir violiste est le fait qu'il déteste sa famille. Cette haine s'est manifesté dès qu'il est

les artistes à la création musicale. Les décès, des femmes en particuliers, sont source d'inspiration. Ainsi Sainte Colombe, suite à la mort de sa femme, « s'exerça jusqu'à quinze heures par jour » (p. 12). Suite au suicide de Madeleine, c'est Marin Marais qui connait un déclic : alors grand courtisan du roy, il se met à craindre la perte du répertoire de M. de Sainte Colombe et s'en va rejoindre la petite cabane au bord de la Bièvre, la nuit (p. 108). Ce déclic tend à être une renaissance : il délaisse

interprètes tels que Montfleury, la célèbre Champmeslé, et Floridor (qui quitta la Troupe du Marais vers 1647 et devint le nouveau directeur de l'Hôtel de Bourgogne cette même année). En 1680, après la mort de La Thorillière, le chef de la troupe, l'Hôtel de Bourgogne se réconcilia et fusionna avec l'Hôtel Guénégaud. La Troupe de Guénégaud fut réalisée par une fusion entre des comédiens de la Troupe du Marais et des comédiens de la Troupe de Molière à la mort de celui-ci, en 1673. En 1660, les

y vont mais chassés en 1697 Théatre du marais Mondory le cré en 1634 dans le quartier du marais sur le jeu de paume concurrence avec le théatre de bourgogne 1643 : incendie=>rénové et amélioré en 1644 Troupe de molière (ou illustre théatre) 1644 : monte son propre theatre mais fait faillite et repart en province 1658 : retour a paris : protection du frere du roi=> vont au théatre du petit bourbon 1673 : fusionne avec la troupe du marais et va à l’hotel Génégaud La comedie italienne

1) En quoi Sainte Colombe et Marin Marais s’opposent-ils dans le roman et dans le film ? En quoi peut-on dire que ce contraste qui oppose les deux hommes se prolonge dans les deux filles de Monsieur de Sainte Colombe ? 3) Sainte Colombe et Marin Marais s’opposent aussi dans leur manière d’aimer. Tous les matins du monde met en scène l’affrontement entre deux mondes : la société de cour et les jansénistes. Quels sont leurs représentants respectifs ? Quelles sont leurs caractéristiques ? Quelles

sacrifie et qui est sacrifié – Introduction : Dans ce roman écrit par Pascal Quignard en vue d’une adaptation cinématographique de Cornaud qui voulait faire un film se présentant sous le règne de Louis XIV. La relation entre Sainte Colombe et Marin Marais se solde par un échec, mais Madeleine sert de médiatrice dans cette relation maître/élève à moitié consumée. Nous découvrons un personnage énigmatique, extrêmement fragile, dont la vie est un sacrifice. I. Deux natures différentes. 1. Dans le roman

Narbonne Aujourd’hui je vous présente Narbonne. Narbonne se trouve dans le sud de la France. C’est une ville tranquille avec un peu plus de 50'000 mille habitants. Puisque la ville était un important poste decommerce pendant le temps des Romains, il y a encore des ruines de ce temps. Par exemple la première grande route romaine à travers la France qui reliait l’Italie et l’Espagne (FOLIE). Il y a aussi la très belle et impressionnante cathédrale Saint-Just-et-Saint-Pasteur (FOLIE). Elle est la

donnaient des concerts chez des particuliers. C’est la basse de viole qui a tendu à éclipser les autres violes et était jouée soit en soliste soit dans le rôle de la basse continue. Et c’est de cet instrument que Monsieur de Sainte Colombe et Marin Marais jouent. Cet instrument permettait une grande virtuosité et était apprécié pour son expressivité. À une époque où, comme nous l’avons déjà vu, la musique cherche à exprimer les sentiments et les émotions, cet instrument, comme l’écrit le narrateur

grâce à ses élèves, parmi lesquels Danoville, Jean Desfontaines, Marin Marais, Pierre Méliton et Jean Rousseau. Il est probable qu'il soit à l'origine de l'ajout d'une septième corde à la basse de viole. Jean Rousseau signale qu'il maîtrisait l'art de la viole « à la perfection », fait repris dans l'ouvrage de Pascal Quignard, Tous les matins du monde (ainsi que dans le film du même nom) qui montre l'apprentissage de Marin Marais auprès de Sainte-Colombe, et dans lequel il est présenté comme un homme