Marbeuf

enfance, émerveillé par les mioches (Gavroche), touché par les vieillards (très belles pages sur la douleur du père abandonné, sa stupeur, les vides domestiques que laisse le départ de l’enfant... le délaissement du père de Marius, la solitude de Marbeuf, le vieillard qui n’a plus les forces et les moyens de s’inscrire dans la vie et doit vendre les livres qui lui sont chers...). La meilleure preuve que Marius ne l’intéresse pas, c’est que Marius n’est pas soumis à la fameuse épreuve divine, destinée

baroque, avant de voir de quelle manière il exprime ici une vision particulière de la condition humaine. I - L’ « ondante rivière », un topos baroque  Le thème de l’eau est un topos dans la poésie baroque (cf. « Et la mer et l’amour… » de Pierre de Marbeuf, où le poète compare l’amour à la mer, manuel p. 250), car il est représentatif de cette vision du monde comme instable et changeant. Paradoxalement, le poète recourt à une forme fixe, le sonnet (cf. fiche), pour évoquer le thème de l’instabilité

gracieux     Vous tient d'un doux sommeil la paupière sillée.     Je vais baiser vos yeux et votre beau tétin     Cent fois pour vous apprendre à vous lever matin.                  Amours de Marie, sonnet 19, 1556 Pierre de Marbeuf (1596-1645) Auteur de sonnets baroques, il met en œuvre les thèmes de la nature, de la fragilité de la vie et de l'amour. Il sera aussi maître des eaux et forêts, ce qui peut expliquer la présence récurrente de la nature dans son œuvre. C'est un

symbole (composante du paysage, symbolique, jeux poétiques que le thème engendre) Lectures analytiques : 1. J-B Chassignet, Mépris de la vie et consolation contre la mort, « Assieds-toi sur le bord d'une ondante rivière... », 1594. 2. P. de Marbeuf, Recueil de vers, “ Je disais l’autre jour… ”, 1628. 3. P. Verlaine, Romances sans paroles, « Ariette III », in « Ariettes oubliées » 4. L.-S. Senghor, Ethiopiques, « Congo », 1956. Lectures et documents complémentaires : 1. Documents mettant

l’eau Un florilège qui étanchera la soif de la poésie. Mon florilège de poème se compose de 5 poèmes ayant tous pour thème commun l’eau. Le premier «et la mer et l’amour ont l’amer pour partage… » est tiré du Recueil des vers de Monsieur de Marbeuf (1628) Le second poème est un poème en prose « ondine » écrit par Bertrand Aloysius. Il est tiré de gaspard de la nuit, fantaisie à la manière de Rembrandt et de Callot III, 9 publié en 1842. Le troisième poème est quant à lui un poème de Paul

surement des soldats puisqu’ils ont un chef « un chef s’éveillant » vers 672. On peut penser que la nature fait cela pour montrer au grand jour l’horreur de la guerre et de la mort. TextesMouvement /InstabilitéExagération/Aspect pathétiquePierre de Marbeuf, Poèmes (1628)Trois verbes soulignent la présence de trois étapes successives dans ce poème :· « Je disais » (v. 1) (Imparfait)· « fit » (v. 5) (passé simple)· « crus » (v. 9) (passé simple) dans une strophe différente du précédant verbeC’est le récit

pour nous représenter «l’amour et ses caprices». L’océan aux couleurs changeant au gré des jours, l’immensité, la profondeur, pour ne pas dire l’éternité qu’il suggère aura en effet inspiré nombre de poètes. Il devait sans doute connaître celui de Marbeuf, jouant avec la ressemblance sonore des mot «amour» et «a-mer». Cette vision de la passion amoureuse est révélatrice d’un attrait et même d’une quête de danger, de tumulte amoureux qui serait source de plaisirs intenses. On peut assimiler cette

le tison, s’en aller en fumée. Choix : J’ai remarqué ce poéme parce qu on y retrouve tous ce qu on connaît (appris au lycée) le sujet de l’amour et la mort mais aussi la structure du sonnet bien connu. Poémes du XVII SONNET 1633 Pierre marbeuf (1596-1645) Et la mer et l'amour ont l'amer pour partage,
 Et la mer est amère et l'amour est amer,
 L'on s'abîme en amour aussi bien qu'en la mer,
 Car la mer et l'amour ne sont point sans orage Celui qui craint les eaux, qu'il demeure au

L’eau est le miroir de l’homme, le reflet de son cœur, de son esprit et de son âme. Elle permet par le biais de la poésie de rendre compte de l’ambiguïté des sentiments humains et de leur violence. Texte en relation avec le célèbre poème de Pierre de marbeuf « Et l'amour et la mer ont l'amer pour partage ».   L’horloge : Avec ce poème, Baudelaire adresse un message à portée universelle (cf. le "nous" du vers 2), ce n'est pas ici seulement le poète qui est impliqué. Le Temps est en fait le symbole du

Napoleone di Buonaparte, fils de Carlo Maria Bonaparte, avocat au conseil supérieur de Corse et de Maria Letizia Ramolino , est né à Ajaccio en 1769. Bonaparte arrive à l’âge de 9 ans en France grâce au concours d’un ami de la famille : le compte Marbeuf, gouverneur de la corse. Il reste cinq années à l’académie militaire de Brienne. Mal aimé de ses camarades de l’élite aristocratiques en raison de ses origines et de son accent génois, le petit Bonaparte consacre la majeure de son temps libre à l’écriture