Marcel Déat

nous parle de Marcel Déat qui est nommé secrétaire d’Etat au travail et aux affaires sociales en mars 1944. Marcel Déat qui a quitté la SFIO en 1933 et qui a fondé avec d’autres dissidents le « néosocialismes ». En juin 1940, il prend la direction du quotidien « L’œuvre » dans lequel il développe une active propagande en faveur de l’Allemagne et de la collaboration et il fonde le Rassemblement national populaire. Cependant, Lucien Combelle n’est pas le seul à nous parler de Marcel Déat il y a également

de 1936 à 194034,Note 9, il se rapproche également de Marcel Déat qui après avoir rompu avec Léon Blum, souhaite intégrer au projet socialiste les valeurs d'ordre, d'autorité et de nation. De Gaulle rencontre Marcel Déat à plusieurs reprises grâce à un de ses proches, l'avocat Jean Auburtin ; les deux hommes s'estiment et resteront en contact jusqu'à la veille du conflit35. De Gaulle affirme à propos de Marcel Déat en novembre 193736 : « Déat a sans aucun doute un grand talent et une haute valeur

collaborationnistes les plus déterminés comme Phlipe Henrit qui devient le secrétaire d'Etat de l'information, Joseph Darnand, un dirigeants de la LVF (Légion des Volontaires Français)devient secrétaire d'État au maintien de l'ordre ou encore Marcel Déat qui obtient le postede secrétaire d'État au travail et à la solidarité nationale.

élites et le peuple les suivent. Le régime de Vichy voue un culte autour du maréchal Pétain, qui est omniprésent dans la vie quotidienne des Français.  - l'antisémitisme d'État   - les partisans d'un fascisme à la française (Jacques Doriot, Marcel Déat) qui voient dans la Révolution nationale le premier pas vers un véritable régime fasciste et dictatorial.  2) quelle source ? Stanley Hoffman a parlé de Vichy comme d’une « dictature pluraliste ». On trouve les racines idéologiques de Vichy

Italie; fondé par Bernito Mussolini sous la monarchie italienne lorsqu'il était au pouvoir de 1922 à 1945), et qui mène à une collaboration privée dans les domaines du rassemblement nationale populaire (parti collaborationniste français fondé par Marcel Déat, homme politique, en février 1941), du parti populaire français qui lui a été fondé et dirigé par Jacques Doriot, homme politique et journaliste français, et était le principal parti fasciste collaborationniste en France entre 1940 et 1944. -la

au courant des préparatifs de cette opération5,3,7,8. En revanche, il est difficile d'établir dans quelle mesure il était conscient des conséquences de ces rafles et des déportations7,8,6. Les ultras de la collaboration, comme Joseph Darnand et Marcel Déat, commencent à se méfier de lui et il fait l’objet d’un attentat manqué, lorsque sa voiture est sabotée2. Pierre Laval le décharge de sa responsabilité de chef de cabinet le 30 octobre 19431 et le nomme premier conseiller à l’ambassade à Berne, pour

l’idéologie raciale nazie), symbolisé par quelques partis français fascistes mais qui n’ont jamais compté que quelques milliers d’adhérents comme le PPF (Parti Populaire Français) de Jacques Doriot ou le RNP (Rassemblement National Populaire) de Marcel Déat, et par des intellectuels ou journalistes comme Brasillach, Rebatet, Drieu La Rochelle, Céline qui s’expriment dans des journaux comme « Je suis Partout » ou à la radio comme « Radio Paris » d’où le refrain de l’humoriste Pierre Dac : « Radio Paris

nouveau sous celui de Laval, dont les Allemands imposent le retour en avril 1942. À partir de novembre 1942, les autorités d'occupation prennent le contrôle total du régime qui s'aligne désormais sur l'Allemagne. Des collaborateurs avérés comme Marcel Déat ou Joseph Darnand entrent au gouvernement : dès lors, la France vit à l'heure allemande. Les prélèvements de main-d'œuvre s'accentuent avec l'instauration de la relève, une fiction qui veut que le départ de travailleurs volontaires français pour

un résistant français. Collette apprend que le 27 août, une prise d'armes doit avoir lieu dans la caserne Borgnis-Desbordes à Versailles et que des hautes personnalités seront présentes. Lorsque Pierre Laval arrive, accompagné de Jacques Doriot, Marcel Déat et de Fernand de Brinon, Collette tire sur le groupe cinq balles de 6,35mm. La faiblesse du calibre, la distance, l'inexpérience sans doute, expliquent l'inefficacité relative du tireur. Aucune de ces cibles ne sera mortellement touchée. Après quelques

journaux comme La Lumière de Georges Boris ou Vendredi d’Emmanuel Berl vantent l’antifascisme. Certains préfèrent battre le fascisme sur son propre terrain et exaltent l’ordre et l’autorité. Ex : 1933, radical Gaston Bergery créé un Front commun ou Marcel Déat propose à la SFIO un aggiornamento idéologique centré sur le triptyque Ordre, Autorité, Nation. L’antifascisme est complètement pacifique et demande un désarmement général. Mais cette position est impossible à tenir au sens où lutter contre le