Marché commun du Sud

plus importante. Elle vient le plus souvent d’une immigration Sud=>Nord. -Une main d’œuvre qualifié : « savant », « cerveaux », qui vient d’une immigration soit Sud=>Nord ou Nord=>Nord. Ils existent plusieurs forment de migrations : -Spontannées -Saisonnières -Durable -Legale/Clandestine Les flux de départ sont : Afrique, L’Asie, L’Amérique Latine. Les espaces d’accueil sont : Amérique du Nord, Australie, Europe, Afrique du Sud. B)Contraignantes Il subsiste une immigration, lié à des situations

* Dans ce modèle, la mobilité du capital conduit à une situation dégénérée : après un équilibrage des dotations relatives, les pays se retrouvent en autarcie. Globalement, le modèle d’Heckscher-Ohlin n’explique finalement que le commerce Nord-Sud, ( les structures économiques sont très différentes ne représente qu’un dixième du commerce mondial) Limites aux gains du LE Limite 1 : Impact de la taille grand pays gagne moins qu’un petit (car il influence la demande mondiale et donc le prix

libre-échange nordaméricain. AELE :Association européenne de libre échanges ALECE :Accord de libre-échange centreeuropéen Zone euro-méditerranéenne de libre-échange  Un groupement économique est un groupement qui permet à ses membres de mettre en commun certaines de leurs activités afin de faciliter ou développer leur activité, ou d’améliorer ou d’accroître les résultats de cette activité et ceci tout en conservant leur individualité.  Le libre-échange est un système de commerce économique

pré-crise. En revanche, il serait plus fiable de mettre en évidence qu’aucune évolution commune n’existait avant le déclenchement de la crise, mais qu’une évolution parallèle existe après, et serait un élément de preuve que le comportement du marché a été affecté par la crise. En l’occurrence il s’agit bien de dépasser l’étude de corrélation sous la perception d’éventuelles tendances communes d’évolution des marchés boursiers avant et pendant le déclenchement de la crise. A cet égard la cointégration

pacifiquement les limites des Etats pour construire un ensemble humain fondé sur des valeurs communes et partageant un destin commun. En outre, les efforts d'intégration régionale restent pour l'instant largement segmentés. D'où les trois priorités de la fondation dans ce domaine en 2006-2007 : 1- documenter les processus actuels d'intégration régionale et rechercher, dans chaque cas, à partir de quels défis communs un processus d'intégration pourrait prendre consistance ; 2- dans le prolongement du forum

ces deux zones en la centrant sur la capacité de pôles de croissance, respectivement l'Afrique du Sud et la Chine, de structurer leur environnement régional. L'ambivalence de leurs ouvertures extérieures entraîne une implication régionale différenciée des territoires, une recomposition des espaces sousrégionaux, la création de triangles de croissance localisés et des intégrations contrastées au marché mondial. La tendance actuelle à la régionalisation/globalisation incite les ped à redéfinir leurs

ailleurs, la mondialisation actuelle met en concurrence les peuples et les systèmes sociaux et productifs.. Elle se traduit souvent par un élargissement de la pauvreté, un approfondissement des inégalités sociales et un renforcement des inégalités nord-sud à l'exception de pays à économie émergente comme ceux constituants les BRIC (Brésil, Russie, Inde, Chine). Parallèlement à cela, les droits sociaux sont très souvent réduits voire niés et les services publics sont remis en cause par privatisation. L'action

milliers de choix réalser par lé entreprises. La mondialisation actuelle mer en concurrence les peupoles les systemes sociaux et les systemes productfs. Elle se traduit svt par un élargissement de la pauvreté, un approfondissement des inégalités Nord/sud à l’exeptions de certains pays émergents comme la chine, l’inde la russie et le brésil. Parallèlement à cela, les droits sociaux sont très souvent réduit et les services publics sont remis en cause voire privatiser. Rmq : - L’action des organisations

ailleurs, la mondialisation actuelle met en concurrence les peuples et les systèmes sociaux et productifs. Elle se traduit souvent par un élargissement de la pauvreté, un approfondissement des inégalités sociales et un renforcement des inégalités nord – sud, à l’exception de pays à économie émergente comme ceux constituants les BRIC. Parallèlement à cela les droits sociaux sont très souvent réduits, voir niés et les services publiques sont remis en cause par privatisation. L’action des organisations

a : • Une fonction politique, c’est le symbole de la souveraineté politique d’un pays. Conséquence = il est difficile de faire accepter une monnaie à une ensemble de pays. • Une fonction économique = réserve, échange (dans le cadre d’un marché commun, unique pour favoriser les échanges il vaut mieux avoir la même monnaie > favorise aussi la croissance donc l’emploi), valeur (la valeur d’un bien est estimé dans une monnaie) Remarque = Le passage à l’euro c’est traduit par une augmentation