Marché Concurrence Pure Imparfaite

Combe Emmanuel : économie de la concurrence et politique de la concurrence. Introduction : La concurrence reflète un système productif et ce dernier reflète la société. Comprendre la concurrence revient à comprendre la société. Def claire de la concurrence : on va faire appel à la théorie traditionnelle de la concurrence qui va nous donner un cadre de référence , (benchmark)et constituera la théorie traditionnelle. Le point de départ c’est la concurrence pure et parfaite. 1ère question qu’on

Le marché concurrentiel 1)Définition Un marché est dit concurrentiel quand aucun acteur n'est suffisamment puissant pour imposer sa loi sur le marché. Sur ce type de marché personne n'a de pouvoir:ni consommateurs, ni les ets, ni les acheteurs, ni les vendeurs ne peuvent influencer les prix d'équilibre. Pour exister un marché concurrentiel doit répondre à 5 grandes hypothèses : *Atomicité :les ets et les consommateurs sont des preneurs de prix : ils ne peuvent imposer le prix de vente ou d'achat

(1916-2001, Nobel 1978), Richard CYERT (1921) et James MARCH, Harvey LEIBENSTEIN (1922-1994), Alfred CHANDLER (1918). A- De la microéconomie traditionnelle à la nouvelle microéconomie 1- La théorie microéconomique traditionnelle (théorie néo-classique) a formalisé avec des outils mathématiques l'idée de SMITH (1776, La Richesse des nations) selon laquelle la poursuite des intérêts égoïstes conduits par une main invisible et par les lois du marché permet la réalisation de l'intérêt général. La fonction

ESH CHAPITRE 4.L’OFFRE, LA DEMANDE ET L’EQUILIBRE DU MARCHÉ EN CONCURRENCE PARFAITEPLAN DETAILLÉ I/ LES COURBES D’OFFRE ET DE DEMANDEA. Offre et demande de marché : l’agrégation des offres et demandes individuelles1) De la courbe d’offre du producteur à la courbe d’offre de marchéa/Du coût marginal du producteur à la courbe d’offre du producteurb/ De la courbe d’offre du producteur à la courbe d’offre sur le marchéc/ La courbe d’offre à court terme et à long terme 2) De l’utilité marginale décroissante

des entreprises: en raison de la mécanisation, la taille absolue s'accroît, les firmes géantes et la dispersion apparaît (taille relative au marché). Ces phénomènes sont en partie gouvernés par la présence d'économies d'échelles et d'économies d'envergure. Le modèle naïf de concurrence pure et parfaite ne peut pas s'appliquer: c'est la concurrence imparfaite qui s'impose. Cette analyse, très pertinente à l'époque où elle a été énoncée, reste actuelle dans le sens où les secteurs utilisant beaucoup

un lien statistique indiscutable entre libéralisation du commerce et croissance économique Autrement dit, des politiques commerciales libérales – celles qui garantissent la circulation sans restriction des biens et des services – accroissent la concurrence, encouragent l’innovation et engendrent le succès. Elles amplifient le bénéfice que l’on peut retirer de la production la meilleure, la mieux conçue et effectuer au meilleur prix. OMC : http://www.wto.org/french/thewto_f/whatis_f/tif_f/fact3_f

microéconomique. 1/ L’axiomatique de la théorie néoclassique Cette axiomatique se décompose en 4 éléments : • • • • L’autonomie de l’individu La rationalité de l’individu L’information de l’individu L’espace sociale d’ajustement : le marché ( le marché de concurrence parfaite et le marché de monopole (qui sont considérés comme des cadres de référence hypothétique)). 1 1. L’autonomie de l’individu Les individus agissent selon des intentions privées, leurs désirs, besoin … 2. La rationalité de l’individu

Ricardo Smith dit : chacun améliorerait son sort s’il y avait une meilleure organisation économique. Il est hostile à l’intervention de l’Etat. Eco classique : Say « L’offre crée sa propre demande » En effet, toute production d’un bien offert sur le marché donne lieu à une distribution de revenu que les titulaires vont utiliser intégralement pour demander des biens qui ont la même valeur. Il en déduit que les crises de surproduction sont impossibles et pense que l’intervention de l’Etat n’est pas

par construction, se trouve dans l’énoncé. Manager : c’est trouver une solution qui n’est pas forcément contenue dans les données du problème. C’est parfois même découvrir. Pour qu’il y ait entreprise, au sens moderne, il faut : A) Un marché, vaste et sécurité B) De l’argent, qui circule vite C) Un négociant-entrepreneur D) Du travail salarié E) Des sciences et des techniques A+B+C+D+E = s’extraire des instructions sociales pour en construire d’autres. D’autant

américaine ni celle européenne ne montrent de signaux favorables à la croissance. Le gouvernement a introduit une politique de communication forte => il remet en cause les 35 heures et préconise des modalités plus souples dans la création plus souple du marché du travail. Si la fiscalité globale a diminué, il n’en est pas de même pour la fiscalité locale => cela se passe comme s’il y avait transferts. Le gouvernement pèse de plus en plus sur les allocations chômage et privilégie la prime à l’emploi pour