Marcus Garvey

biographie MBiographie Malcolm X MALCOLM LITTLE, connu plus tard sous le nom de Malcolm X, est né le 19 mai 1925 à Omaha, son père Earl était pasteur de l'Eglise bâptiste et militant de la Universal Negro Improvement Association, fondé par Marcus Garvey (pasteur d'origine Jamaïquaine et qui préconisait le retour des noirs d'Amérique vers l'Afrique), sa mère Louise était d'origine antillaise et avait la peau très blanche car sa mère avait été violé par un blanc ; elle détestait son tint blanc.

Ahmadiyya. En 1920, il s’installe à Chicago où il adresse son discours islamistes aux africains américains et non aux blancs. Il crée le journal ‘The Muslim Sunrise’ où il dénonce l’égalité des races et critique le racisme. Il est très proche de Marcus Garvey, qui est le créateur de l’association UNIA qui lutte contre le racisme. Son message, contrairement au précédent, a eut du succès car il rapproche l’islam à la lutte contre la ségrégation raciale. - Edward Wylmot Blyden : c’est un chrétien noir

universels de la contestation (Soul Rebel), voire de la légitime défense (I Shot the Sheriff), supplantant souvent dans l'inconscient collectif des politiciens comme Che Guevara (la proche révolution cubaine a marqué Bob Marley), le Jamaïcain Marcus Garvey, Malcolm X, Léon Trotsky, Nelson Mandela ou Thomas Sankara. Son message est d’abord d'ordre spirituel et culturel, et assorti d’une incitation à la consommation du chanvre (Kaya, Easy Skanking), qui fait partie de la culture rastafari. Miroir

battait-il ? Il semblerait qu’il y ait une certaine « Hérédité de la lutte » qui a sans doute influencé Malcolm X .En effet, Earl Little, le père de Malcolm, était un pasteur baptiste militant de l'Universal Negro Improvement Association de Marcus Garvey, pasteur d'origine jamaïquaine qui préconisait le retour des Noirs d'Amérique en Afrique. Le pére déjà luttait à sa facon pour les droits des Noirs, son fils Malcolm Little prendra le « relais » en quelque sorte t-il. A sa sortie de prison,

universels de la contestation (Soul Rebel), voire de la légitime défense (I Shot the Sheriff), supplantant souvent dans l'inconscient collectif des politiciens comme Che Guevara (la proche révolution cubaine a marqué Bob Marley), le Jamaïcain Marcus Garvey, Malcolm X, Léon Trotsky, Nelson Mandela ou Thomas Sankara. Son message est d’abord d'ordre spirituel et culturel, et assorti d’une incitation à la consommation du chanvre (Kaya, Easy Skanking), qui fait partie de la culture rastafari. Miroir

vivre normalement en attendant que la discrimination s’estompe. Mais entre la déclaration et la réalité, il y a un abîme. Plus tard, WEB Du Bois exhorte l’élite noire à monter en grade, mais ceci ne concerne que l’élite. Ensuite il fait l’éloge de Marcus Garvey, qui, malgré sa solution boiteuse du départ des noirs, a le mérite d’affirmer la fierté d’être noir. Enfin il précise que les actions de la NAACP ne sont pas à opposer au mouvement non violent, au contraire il y a complémentarité. Mais toutes ces

résistance à la bigoterie et à sa vie de dévouement à la progression de la justice sociale et de la dignité humaine ». Martin Luther KING a reçu 20 Docteur Honoris causa d'universités américaines et étrangères. Il reçoit à titre posthume le prix Marcus Garvey du gouvernement de la Jamaïque en 1968 et en 1971, il reçoit le Grammy Award du meilleur enregistrement parlé pour son discours Why I Oppose the War in Viêt Nam (Pourquoi je m'oppose à la guerre du Viêt Nam). Le président Jimmy Carter lui décerne

d’une action politique susceptible d’infléchir les options du gouvernement américain. « Véritable père de la Négritude », selon Lilyan Kesteloot [3], W.E.B. Du Bois influença profondément Léopold Sédar Senghor et ses amis par l’intermédiaire de Marcus Garvey et surtout de la Négro Renaissance. Senghor lui-même écrit : « Au Quartier Latin, dans les années 30, nous étions sensibles, par-dessus tout, aux idées et à l’action de la Négro Renaissance dont nous rencontrions à Paris quelques-uns des représentants

la religion qui s’appuie sur des textes de la bible, pour d'autres c'est une philosophie de vie. Il a joué un rôle moteur dans l'évolution du reggae. Pendant la décennie 1970, la plupart des artistes se revendiquent de l'héritage spirituel de Marcus Garvey. Ce leader afro centriste du début du vingtième siècle préconisait un retour en Afrique réel ou spirituel pour les descendants d'esclaves. Beaucoup de jeunes trouvent un refuge dans cette foi basée sur la religion chrétienne orthodoxe éthiopienne

universels de la contestation (Soul Rebel), voire de la légitime défense (I Shot the Sheriff), supplantant souvent dans l'inconscient collectif des politiciens comme Che Guevara (la proche révolution cubaine a marqué Bob Marley), le Jamaïcain Marcus Garvey,Malcolm X, Léon Trotsky, Nelson Mandela ou Thomas Sankara. Son message est d’abord d'ordre spirituel et culturel, et assorti d’une incitation à la consommation du chanvre (Kaya, Easy Skanking), qui fait partie de la culture rastafari. Miroir de