Marcus Miller

entre-temps bloqué sa nomination comme Flamen Dialis et les interdits qui l'accompagnaient (ainsi que la dot de sa femme et une partie de son héritage). Prudent, César quitte Rome23. Il s’enrôle vers 80 av. J.-C. dans l’armée et rejoint avec le préteur Marcus Minucius Thermus le théâtre d’opérations militaires en Asie, où Lucullus assiège Mytilène, capitale de Lesbos qui s’était ralliée à Mithridate VI. César reçoit mission de demander au roi de Bithynie Nicomède IV le renfort de sa flotte. Suétone se

républicains l'accusent de vouloir se faire roi ; ils forment une conspiration contre lui, et ils l'assassinent au milieu du Sénat aux Ides de mars (15 mars de l'an 44 av. J.-C.). Il tombe percé de 23 coups de poignard. Parmi les principaux conjurés était Marcus Junius Brutus , qu'il avait comblé de bienfaits. Le complot n'atteignit cependant pas ses objectifs. Après la mort de Jules César, il y eut encore quinze ans de guerre civile. Octavien, petit-neveu et fils adoptif de Jules César finit par devenir

républicains l’accusent de dictature et certains sénateurs forment alors une conspiration contre lui. César est assassiné de 23 coups de poignard, le 15 mars en 44 av J.-C, par cette conspiration au milieu du Sénat. Parmi les principaux conjurés était Marcus Junius Brutus – son fils adoptif, qu'il avait comblé de bienfaits. C'est lui qui donna le coup ultime. La légende raconte que voyant son fils Brutus, parmi ses meurtriers, il prononça au moment de mourir « Tu quoque mi fili » (‘toi aussi mon fils’

sous le nom de table théodosienne1 (ou tabula theodosiana), nom qui fait référence à l'empereur Théodose, car, selon M. d'Aigueperse, une copie affiche des vers faits sous cet empereur2. Elle est probablement basée sur la carte du monde préparée par Marcus Vipsanius Agrippa (né en 64 av. J.-C., mort en 12 av. J.-C.), un ami personnel de l'empereur Auguste. Après sa mort, la carte a été gravée dans le marbre et placée sur le Porticus Vipsaniæ, non loin de l'Autel de la Paix d'Auguste, le long de la Via

L'assassinat de Jules César est le résultat d'un complot de sénateurs romains qui se surnommaient entre eux les Liberatores et dont les chefs les plus renommés furent Marcus Junius Brutus et Caius Cassius Longinus. L'événement eut lieu à la curie de Pompée attenante au théâtre de Pompée durant les Ides de Mars (le 15 mars) de l'an 44 av. J.-C.. Depuis peu, le Sénat avait nommé Jules César dictateur à vie et c'est cela que certains sénateurs n'acceptaient pas. Ils ont pensé que le régime allait aboutir

L’organisation des provinces Ibériques Introduction : Le 2 septembre 31 av. J.-C., Octavien lors d’une grande bataille navale prés des côtes d’Actium ( une ville Grecque ) réussi à vaincre Antoine et Cléopâtre. En 29 av. J.-C. il fête sa victoire lors d’un “triple” triomphe à Rome. Ce retrouvant seul au pouvoir, le 16 janvier 27 av. J.-C. on lui décerne le titre d’Augustus qu’il va porter comme surnom. Auguste devient alors le premier empereur du nouveau régime politique de Rome que l’on appel

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d'Auguste se porte sur son neveu, Marcus Claudius Marcellus, fils de sa sœur Octavia et de Gaius Claudius Marcellus, né en 42 av.J.C. Il s'occupe de sa carrière, en lui donnant « le pontificat et l'édilité curule » (l.2) → pontificat : charge religieuse ; en 23 av.J.C, l'édilité curule : siègent au Sénat, recrutés parmi les patriciens, chargés de l'administration de la ville de Rome (surtout rites, jeux et religion). En 25 av.J.C, il le marie à sa fille Julie. Mais Marcus meurt en 23 av.J.C. Ses cendres

Pontife) • -44 : Va se faire nommer roi. IV. • Le 15 Mars -44, jour où il s'apprêtait à ce recevoir le titre de roi, environ 25 sénateurs ayant comploté contre lui, lui portent alors 23 coups de poignard. César, avant de succomber aurait dit à Marcus Junius Brutus, son fils faisant parti des assassins « Tu quoque mi fili ». (Brutus aurait donner le dernier coup de poignard. Par cette réplique il voulait dire, soit : « Toi aussi mon fils, tu m'as trahi », soit : « Toi aussi mon fils, j'espère

|Tibulle, Elégies   III, 35-56 |  | |Le siécle de Saturne |  | |Quam bene Saturno vivebant rege |Comme (ils vivaient) on vivait bien sous le règne de Saturne | |priusquam tellus est patefacta