Marelle

Pour s’en procurer, il joue avec les gens comme avec des pions pour qu’ils lui rapportent de l’argent, et les jette ensuite. Prenons commeexemple Mme Walter avec qui il a eu une liaison pour qu’elle lui fasse gagner de l’argent, tout comme Mme de Marelle, Suzanne Walter… Tous les moyens sont bons pour Bel Ami de s’enrichir de plus en plus auxdépens des autres. L’argent a également le rôle de permettre à Bel Ami de fréquenter la haute société, c’est en quelque sorte le moyen pour lui de prendre de

femmes et est bien décidé à en profiter pour "arriver". Mme Forestier, la femme de son ami lui donne des conseils et l'aide à rédiger ses premiers articles. Puis Georges fait la connaissance de Clotilde de Marelle, une bourgeoise bohème, sentimentale et très libre. La très jeune fille de Mme de Marelle, Laurine, donne à Georges le surnom de Bel-Ami. Offensé par son ami Forestier, Georges décide de séduire sa femme. Le lendemain, il déclare son amour à Mme Forestier. Mais elle ce tient à distance et lui

plein de reconnaissance pour la divinit qui lavait ainsi favoris il nprouve aucun sentiment amoureux pour Suzanne, elle ne reprsente pour lui que linstrument dune ascension sociale. Il rserve ses sentiments amoureux pour Mme de Marelle L12 Soudain, il aperut Mme de Marelle elle tait jolie, lgante avec son air gamin la focalisation interne trahit ici le regard de Georges Du Roy et la nature de ses sentiments. L20 Leurs yeux se rencontrrent, souriants, brillants, plein damour il stait dj entendu

Clothilde de Marelle : C’est une amie des Forestier. Elle sera une des maîtresses de Bel-Ami. Elle est charmante, jolie, gaie et avide des seuls plaisirs de la chair. Clothilde est une femme qui veut vivre, et profiter de tous les plaisirs que la société le permet. C’est une femme sincère, toujours affectueuse et passionnée. Elle sera d’ailleurs tout au long du roman la plus fidèle et la plus respectée des maîtresses de Duroy. Laurine de Marelle : Fille de Madame de Marelle, Laurine est une

personnages: -Georges Duroy, l'arriviste absolu, petit sous-officier qui devient le maître de la presse et héritier richissime. Il anoblira son nom : Du Roy de Cantel. De même, il prendra le titre de Baron. Héros éponyme. -Mme de Marelle (ou Clotilde de Marelle), maîtresse de Georges tout au long du roman (avec quelques interruptions). -Charles Forestier, ancien camarade de Duroy. Homme qui a réussi dans la presse. -Mme Forestier (ou Madeleine Forestier), un personnage original du journalisme

ont assistés. Peu avant cette cérémonie Georges et Mme de Marelle se sont retrouvés et ont eu une altercation suite à une dispute. Après que l’évêque ait fini de les proclamer mari et femme, commence la traversée de l’église pour en sortir. Le passage étudié est un extrait du roman Bel-Ami de Guy de Maupassant, livre publié en 1885. Dans cet extrait les protagonistes principaux sont Georges Du Roy l’époux, Suzanne l’épouse et Mme de Marelle l’ex-maîtresse de l’époux. C’est un passage narratif car

de vue externe et interne. Scène vue souvent au travers du regard de Duroy (cf. 4e §) . La focalisation interne = entrée dans l’intimité de Duroy. - Regard concupiscent, de désir, présent tout au long du passage. Regard qui porte sur Madame de Marelle, Suzanne n’est que mentionnée. Bel-Ami est dans son imaginaire, il repense à son passé et imagine son avenir. - La matérialisation de ses désirs passe par son regard. 1.2 Les désirs - Désir sensuel pour sa maîtresse : champ lexical de la sexualité

désignée par son prénom et son rôle social dans la cérémonie b. Sensualité et désir : le succès amoureux d'un être sensuel Mme de Marelle désignée par les parties du corps, souvent érotiques (lèvres, yeux, mains, doigts, cheveux, tempes) Un amour-passion réciproque (donnés, rendu) Mme de Marelle est toujours grammaticalement associée à lui Portrait élogieux de Mme de Marelle vue à travers le regard de Duroy Réussite amoureuse (mot final : le lit) Une fin ouverte Ainsi le roman s'achève sur

un baron et se nomme Du Roy de Cantel. C’est au début un obscur sous-officier qui est prêt à tout pour arriver à ses fins. A la fin de l’histoire il règne en maître sur la presse et c’est également un héritier de par son mariage. Clothilde de Marelle : Beaucoup mieux qu'une maîtresse sensuelle, avide des seuls plaisirs de la chair et de perversité. Bohême, jolie, avenante et gaie, elle possède le charme, la fantaisie et le mystère. Cette femme reçoit ses amis au restaurant et conduit son destin

de la cérémonie du mariage de Georges Duroy avec sa future femme Suzanne, la fille de Walter. Le lieu de cérémonie est l’église de la Madeleine à Paris. Georges Duroy n’est pas dans son état habituel car il va revoir son ancienne maîtresse Mme de Marelle est va retrouver son amour en vers elle et la redésirer. En quoi cet épilogue est un épilogue réaliste ? Dans un premier temps, le premier axe contiendra la description de la cérémonie Dans un second temps, le deuxième axe contiendra le narcissisme