Marelle

francaise » en tant que rédacteur politique. Forestier l’invite alors à diner chez lui le lendemain pour rencontrer le directeur du journal et peut être obtenir un poste. Au diner il rencontra Mme Forestier, Mme Walter, la femme du directeur et Mme de Marelle. Elles étaient toutes pendues à ses lèvres lorsqu’il racontait son voyage en Algérie. M. Walter lui demanda alors un article pour le lendemain sur son voyage. George n’arrive pas à écrire son article, alors M. Forestier lui conseil d’aller voir sa

celle qui deviendra par la suite sa maîtresse se nomme Clothilde de Marelle. Duroy est tout de suite attiré par cette femme " piquante ", il se sent proche d'elle et de son caractère dès le départ. C'est une bourgeoise typique du XIXème siècle : riche mais ne se préoccupant pas de l'argent, belle et aimant s'amuser, elle ne s'occupe ni de politique ni des affaires masculines comme Madeleine Forestier. Clothilde de Marelle est une femme mariée, mais son mari est toujours absent. Elle a aussi

faut soigner ça. Ça peut te mener loin. C'est encore par elles qu'on arrive le plus vite." (première partie, chapitre I). Ainsi, quatre femmes aux caractères différents vont faciliter l'ascension sociale de Bel Ami : Madeleine Forestier, Clotilde de Marelle, Virginie Walter et sa fille Suzanne. La condition des femmes au XIXe siècle Durant des siècles, le statut de la femme demeura inférieur à celui de l’homme. En effet, bien que la révolution reconnaisse à la femme la personnalité civile, le

sa seconde chronique Il savait d'ailleurs, par expérience, ce qu'elles éprouvaient pour lui Ce passage montre que Duroy a l'habitude de séduire les femmes car il sait pertinemment que les femmes qu'il veut sont toutes à ses pieds 110-110 Mme De Marelle fit entré sa fille La petite fille parut, alla droit à Duroy et lui tendit la main Ce passage montre que Duroy « s’entraîne » sur Laurine pour se prouver encore qu'aucune femme ne peut lui résister 111-179 Après que Duroy eu joué à chat avec Laurine

donne en spectacle soulignant ainsi l’air encore plus triomphal de la scène tel un roi qui parade devant ses sujets.  Il descend entre deux haies de spectateurs et alors qu’il est en train de se marier , ceci ne l’empêche pas de reparler à Mme de Marelle une ancienne maitresse et d’avoir des vues sur elle , tout le monde n’a d’yeux que pour lui ; « cette foule qui ne voit que lui» lors de cette cérémonie c’est donc pour lui une consécration. C’est l’apothéose du héros. S’il en est arrivé là

I) le triomphe de Bel –ami a) L’opposition entre Bel ami et la foule qui l’acclame Ce passage propose le triomphe de Bel-Ami. Tout d’abord, le passage est théâtralisé. Bel ami se tient devant l’église comme dans un spectacle, Mme de Marelle s’approche discrètement de lui, Georges prend le bras de Suzanne pour traverser l’Eglise. Il s’offre donc en spectacle à la foule donc tout ses gestes sont calculés, il descend avec lenteur, le champ lexical de regard est omniprésent « contemplait »

reconnaissance pour la divinité qui l’avait ainsi favorisé » ; il n’éprouve aucun sentiment amoureux pour Suzanne, elle ne représente pour lui que l’instrument d’une ascension sociale. Il réserve ses sentiments amoureux pour Mme de Marelle L12 «  Soudain, il aperçut Mme de Marelle … elle était jolie, élégante avec son air gamin » ; la focalisation interne trahit ici le regard de Georges Du Roy et la nature de ses sentiments. L20 «  Leurs yeux se rencontrèrent, souriants, brillants, plein d’amour » : il

de connaître toutes ses pensées : Champ lexical du regard et du triomphe (« acclamations, « compliments »), sans oublier, bien étendu, le champ lexical du désir qui sert à décrire sa rencontre avec Mme de Marelle. b) L’expression d’un désir adultère               Le passage avec Mme de Marelle exprime bien le manque de valeurs morales des personnages, celle-ci est présente au mariage alors qu’elle a été la maîtresse du marié. Non seulement cela, mais Duroy ne regarde qu’elle et ne pense qu’à elle

caractérise un mariage d'interet. Tout au long du roman Mme.de Marelle était sa première et sa plus fidèle amant,qui se retrouve a son mariage ,après une violente dispute entre eux.Bel-Ami heureux de retrouver Mme.Marelle et de recommencer une relation avec elle,et de recommencer à séduire des femmes qu'il lui sont utiles.Son Bonheur est traduit par des sentiments et des gestes d'amours exprimés pour Mme.de Marelle.(il la serrait,cette petite main.),(Leurs yeux se rencontraèrent,souriants

aidera Duroy y compris dans la rédaction de ses articles. Grisé par ses premières publications Duroy brille en société et rencontre Mme Marelle en présence de sa fille (qui lui trouvera son surnom de « Bel-ami »). Au retour d’un dîner il entame une relation avec Mme Marelle, une liaison qui se maintiendra peu ou prou tout au long du récit. Clotilde Marelle prête de l’argent à son amant et loue un petit appartement cossu afin d’abriter leurs rencontres. Lors d’une sortie du couple aux Folies-bergère