Marelle

c’est sa femme rien de plus ("il lui prend le bras pour traverser l’église") c’est donc l’objet de sa gloire, le contrat de sa richesse. - Victoire avec l’amour de sa maîtresse car en plus de l’argent et du pouvoir, il a sa maîtresse : Madame de Marelle. Celle-ci seule avec le sort de son rêve : champ lexical de l’amour "baisers", "caresses", "gentillesse", "désir", "plein d’amour". - C’est la seule femme dans le roman qui se détache de lui plusieurs fois mais qui revient toujours par amour. Cet

frayer un chemin. Véritable « homme-fille », changeant et inconstant dans le domaine de l’amour comme dans celui des idées, Georges Duroy se sert de son corps et des femmes pour s’élever, d’où le surnom de Bel-Ami, que Laurine, fillette de Clotilde de Marelle, l’une de ses maîtresses, lui a donné. A travers le personnage, l’auteur nous fait découvrir le milieu du journalisme et de la Haute Banque, sur fond de scandales politico-financiers. [pic] Toute l’ascension de "Bel Ami" se passe à

VIII Duroy et Mme de Marelle vivent leur amour secret tandis qu’arrivent de Cannes de mauvaises nouvelles concernant la santé de Charles Forestier. Mme Forestier demande l’appui de Bel Ami. Forestier meurt dans d’affreuses souffrances et Duroy en profite pour réitérer ses avances à Mme Forestier. Duroy doit faire preuve de patience pour arriver à ses fins. Chapitre VIII : la mort de Forestier   Duroy et Clotilde consacrent leur entente quasi familiale - M. de Marelle, toujours absent, ne compte

comme radicalement seul : « il ne pensais qu’à lui, il ne voyait que lui » .Cela ressemble plus à un sacre qu’à un mariage : « l’évêque avait terminer sa harangue. Un prêtre vêtu d’une étoile dorée montais sur l’autel ». La mère de la mariée, madame Marelle, est une des anciennes maîtresses de Bel-Ami, elle ne pleure pas de joie mais de rage. Elle est jalouse de sa fille « l’appel discret de ses doigts de femme » et elle en veut beaucoup au nouveau couple. L’ironie dans l’habitude de Bel-Ami mors du

vite qu'il l'a gagné. Il n'a pas conscience que l'argent n'est pas éternel et se retrouve promu, deux mois plus tard, reporter, mais sans le sou. Ensuite, Duroy prend madame de Marelle comme maîtresse et se rend compte que les femmes peuvent lui être utiles pour gagner de l'argent et monter socialement. Madame de Marelle, émue par sa détresse et sa misère, lui donne de l'argent pour qu'il puisse s'en sortir. A partir de cet instant, on sait que Duroy sera prêt à tout pour de l'argent. Malgré la

est bien évidemment sa relation avec les femmes. D'après Duroy, il a besoin des femmes pour vivre, d'avoir un certain intérêt et se faire désirer. Ainsi, il considère madame de Marelle comme sa maîtresse et se rend compte que les femmes peuvent lui être utiles pour gagner de l'argent et monter socialement. Madame de Marelle touchée par sa misère lui donne de l'argent pour qu'il puisse s'en sortir. Malgré la gentillesse de sa maîtresse Duroy se retrouvera encore très vite sans argent et en plus avec

pencherons sur la question suivante « quel jugement Maupassant portait-il sur son personnage à la fin du roman ».Pour ce faire, nous évoquerons la fin de la cérémonie, puis les remerciements, ensuite nous analyserons les retrouvailles avec Madame de marelle et enfin le triomphe de Georges du

Madeleine (Mme F.) qui l’informe de son retour Il la rejoint et comprend qu’elle avait accepté sa demande Madeleine lui propose de se marier le 10 mai et de profiter pour anoblir son nom : Georges Du Roy de Cantel Il informe Clothilde (Mme de Marelle) de son mariage en lui disant qu’il aurait préféré l’épouser Après le mariage, ils partent rendre visite aux parents de D. à Rouen Durant le trajet : D. tente de se rapprocher de Madeleine Arrivé à Rouen : ils rencontrent M. et Mme Duroy (vieux

par céder à sa générosité pécuniaire et apprendre à en profiter. Grâce à ses dons, l’argent qui brule les doigt à Duroy n’est plus trop un problème. On voit aussi qu’il est très rancunier, par exemple a la page 139, ou il est fâché contre Madame de Marelle. Ensuite, Bel-ami trouve une place dans le journalisme grâce à un article écrit par la femme de Forestier, car lui n’est pas spécialement doué pour l’écriture. L’article marche, et il a l’occasion d’en écrire un autre. Sauf que ce dernier n’arrive

les choses malhonnêtes qu’il fait pour réussir, elle reste fidele à lui. Ils rompront quatre fois mais son histoire n’est pas terminée. On peut dire que Madame de Marelle ne le donne pas vraiment de conseil mais des pistes, des informations que George va prendre pour continuer son ascension, mais cela n’est pas fait exprès. Madame de Marelle va aussi lui donner de petites sommes d’argent quand il est en difficulté économique, alors Georges accepte même si son orgueil est présent. Comme conclusion, Bel-Ami