Marge Simpson

divergence 4 - Les blocs basculés associés à des sédiments prouvent la présence, avant la formation de la chaine de montagne : □ d’une  ancienne  marge  passive associée à une divergence. □ d’une  ancienne  marge  passive  associée  à  une  convergence. □ d’une  ancienne  marge  active  associée  à  une  divergence. □ d’une  ancienne  marge  active  associée  à  une  convergence. 5 - Les  sédiments  d’érosion    présents  sur  la  coupe  montrent : □ que la disparition des reliefs avait

méthodes de semi hasard (itinéraires) et les méthodes non probabilistes (les quotas). L’enquête par sondage méthode probabiliste Calcul de la taille de l’échantillon : calculs probabilistes L’extrapolation des résultats n’est possible qu’avec une marge d’erreur et un risque de se tromper: passage d’une fréquence vraie à un intervalle probable. n =t2 {px (1-p)} e2 •n: la taille de l’échantillon •t : seuil de confiance retenu (probabilité de réalisation de l’intervalle, t=1.9 pour un seuil de confiance

l’exercice : ..............................................................................................................6 3- La consommation de matières et fournitures :...............................................................................6 4- Marge brute :..................................................................................................................................6 5- Valeur ajoutée :.........................................................................................

........................................................................... 12 Clients ....................................................................................................................................................... 13 Taux Marge Commerciale ..................................................................................................................... 14 CONCLUSIONS ......................................................................................................

Amortissements3/4 3/4àà4/5 4/5 Intérêts Intérêts1/4 1/4àà1/5 1/5 Les E.E.N.E. effets escomptés et non échus ACTIF => E.E.N.E PASSIF => Augmentation des encours bancaires à CT S.I.G : Les soldes intermédiaires de gestion  Chiffre d’affaires  Marge et Valeur Ajoutée  EBE  Résultat d’exploitation  Résultat exceptionnel  Résultat net CHIFFRE D’AFFAIRES Chiffres d’affaires = ventes de Marchandises + Production vendue Les ventes de marchandises sont celles réalisées dans le cadre d’une activité

outils de gestion Pôle n°4 : Gestion C4-4.1 Contribuer à la fixation des prix d’exploitation en C4-4.2 Suivre le chiffre d'affaires, la restauration fréquentation, l'addition moyenne C4-4.3 Mesurer la contribution des plats à la C4-4 Analyser les marge brute ventes C4-4.4 Gérer les invendus C4-4.5 Mesurer la réaction face à l'offre "prix" C4-4.6 Mesurer et analyser les écarts de chiffre d’affaires entre le prévisionnel et le réalisé *Compétences transversales obligatoirement évaluées Choix d’une

les MDD mais sur les marques) n’ont cessé d’augmenter. Prix de vente = PA+marge => marge avant Prix d’achat au fournisseur+marge => marge arrière Demande de promotion 3 pour le prix de 2, tête de gondole, remise sur montant des ventes au fournisseur Distributeur négocie avec fournisseur. Distributeur vend plus que le prix d’achat au fournisseur, ne peut plus faire de prix d’appel mais récupère sa marge sur la marge arrière jusqu'à 30% du prix du produit. Sarkozy en 2004 : se rend compte

de marchandises Production vendue, immobilisée Production stockée Subventions d'exploitation 110 0 110 85 50 0 135 34 225 0 34 225 La marge commerciale Elle indique pour les entreprises commerciales le bénéfice réalisé par la revente des marchandises achetées. Ventes de marchandises 707-7097 Coût d'achat des m/ses vendues 607-6097 +/- 6037 = Marge commerciale Production de l'exercice Elle concerne les entreprises de production et permet de déterminer le montant total de la production

CHIFFRES-CLES DU QUATRIEME TRIMESTRE 2008 Les revenus s’élèvent à 4,954 milliards d’euros, dans la fourchette des attentes du groupe. La marge brute ajustée2 s’élève à 1,648 milliard d’euros, soit 33,3% des revenus. Le résultat d’exploitation1 ajusté2 est de 297 millions d’euros, soit 6,0% des revenus. Dépréciation de goodwill et d’actifs incorporels de -3,910 milliards d’euros. Le résultat net publié (part du groupe) est de -3,892 milliards d’euros, soit un résultat dilué par action

entreprises auraient en effet les moyens d’augmenter leur stock de capital fixe, grâce à un taux de marge restauré (EBE/ valeur ajoutée), mais ne le feraient pas faute de débouchés. De fait, l’investissement des firmes en 2005 n’a que faiblement augmenter (+1,5%) en volume. Faut-il alors privilégier les salaires et remettre en cause la politique conduite depuis 1983 en France, visant à restaurer le taux de marge ? Il s’agissait alors de répondre à dégradation de la compétitivité de l’économie française :