Marginaliste

de leur rareté relative. V/L’économie comme science logique : les écoles marginalistes. A partir de 1865-1870 apparaît une école proche de l’école classique quant aux principes généraux de raisonnement mais qui sont distincts par sa méthode de raisonnement assez rigoureuse, dans son désir de faire de l’économie politique une science exacte comparable à la physique. Cette école appelait parfois néo classiques ou marginalistes part d’une théorie de la valeur dite « valeur utilité » c'est-à-dire que

point d’équilibre tous en même temps : équilibre général simultané. C’est censé représenter le niveau optimal. Walras va très vite se rendre compte que l’équilibre général simultané n’est pas la simple addition de chaque équilibre. Dans la théorie marginaliste, les agents eco font des arbitrages permanents notamment le conso mais n’importe quel agent également. Par exemple un conso fait des arbitrages dans les paniers de biens qu’il veut consommer en fonction du prix relatif de chaque bien. L’équilibre

qui repose sur l’utilité espérée des biens (« le degré d’estime que l’homme attache aux différents objets de ses désirs » (Turgot)). Ils renoncent ainsi à la notion de « prix naturel » ou « juste prix » et annoncent la position des économistes marginalistes de la fin du xixe siècle. Question 3 : Cette approche est celle du libéralisme classique et aurait été diffusée « inconsciemment par des milliers d'auteurs de manuels ». Dans cette version, la « main invisible » serait une métaphore par laquelle

multiforme et irréductible à une seul élément explicatif), les limites de cette approche peuvent être résumées ainsi: - L'approche économétrique choisie repose sur une fonction de production très sommaire, et qui suppose l'adhésion à l'analyse marginaliste du producteur rationnel, critiquable sur de nombreux points (travaux de H. Simon sur la rationalité limitée, d'ailleurs contemporains de l'ouvrage de Carré, Dubois et Malinvaud). De plus, le choix d'une fonction de production homogène de degré

des service collectifs ainsi financés » (G. Gilbert, « capacités contributives ». → le contribuable client ne paiera le prix demandé que s'il considère que celui ci est inférieur à l'avantage qu'il peut retirer du service → approche économique marginaliste, aligne le faits financiers et politique sur les principes devant gouverner le marché. P. Leroy-Beaulieu : « l'impôt est le prix des services que rend ou qu'a rendu L’État : il représente en outre la part que chaque citoyen, par l'application

 L'École néoclassique Année universitaire 2013/2014 L'École néoclassique L’école néoclassique naît de la « révolution marginaliste » dans les années 1870. Si elle connait avec Alfred Marshall et Arthur Cecil Pigou une forte influence, dans sa forme actuelle elle deviendra la principale école de pensée au début des années 1950. Dans la troisième édition de son livre Economics, qui a été un des manuels de référence alors, Paul Samuelson écrit en 1955, « ces dernières années

privés) ou non (enseignements publics). Cela exclut la production par des bénévoles ainsi que la production domestique (donc on considère les femmes au foyer comme inactives car elles n'augmentent pas le PIB). - Le courant des néoclassiques ou marginalistes: encore présent à l'heure actuelle. Conception beaucoup plus subjectivité de la production. Tout ce qui satisfait un besoin relève de la production qu'il y ai échange ou non. Toutes les activités humaines relèvent alors de la production, du PIB

optimal d’imposition 1848 : John-Stuart MILL étudie les conditions stationnaires de l’équilibre économique. 1849 : BASTIAT un libéral autrichien pense qu’il faut libéraliser le marché pour obtenir la concurrence la plus totale 1871 : MENGER, un marginaliste (utilise un raisonnement à la marge) mathématise les problèmes économiques pour plus de rigueur. Cela entraine un certain décalage par rapport à la réalité. 1873 : Léon WALRAS formalise l’économie d’échange et met en place une théorie sur l’équilibre

données, le consommateur fait un choix de type et de quantité de bien qu’il achète.  théorie du choix du consommateur. Mais question des économistes : les consommateurs peuvent-ils mesurer l’utilité de la consommation d’un bien ? Pour les marginalistes, utilité de la consommation on d’un bien quantifiable  « utilité cardinale ». Pareto, successeur de Walras à Lausanne : Critique le terme « utilité » = sous entend ‘positif’. Remplacer terme « utilité » par « ophélimité » (l'utilité peut-être

tout est politique. L’économie met en relations plusieurs agents. Les modes d’échanges font appel à une organisation fruit de rapport de force entre ses agents. (C’est la répartition de la richesse et des agents) (Voir poly.) La révolution Marginaliste = Walras/Pareto => Micro-économie * Cette révolution met en avant l’utilité MARGINALE par la micro-économie. C’est-à-dire que l’on va voir si c’est utile de voir une part supplémentaire. Anticipations Rationnelles : Ils vont essayer d’anticiper