Marginaliste

bien Ne se réduit pas aux produits matériels : services sont une richesse O/D détermine les niveaux de salaire, d’intérêt, de la rente. B. Les néoclassiques et Walras Reprend la théorie de Say Révolution marginaliste : Menger, Jevons, Walras Application du raisonnement marginaliste à la théorie de l’utilité : utilité marginale Valeur utilité : c’est la satisfaction procurée au consommateur qui fait la valeur des biens Point du vue de la demande et non de l’offre Exemple de Jevons : les

valeur aux prix IV.2 La possibilité des crises IV.3 Le commerce international : capitalisme contre le féodalisme IV.4 L'absence de solution politique interne au système p. 71 p. 76 p. 82 p. 75 p. 76 V. La théorie néoclassique : la révolution marginaliste V.1 Une théorie des comportements rationnels V.2 Une théorie résolument microéconomique V.3 Le commerce international ricardien V.4 L'économie du bien-être p. 80 p. 82 p. 92 p. 94 p. 96 VI. John Maynard Keynes : les débuts de la macroéconomie

classique par la théorie de la valeur d’échange. En effet, pour les néo-classiques, la valeur d’un bien n’est pas fondée sur le travail comme pour les classiques, mais sur la valeur utilité des biens. Le courant néo-classique donne naissance au courant marginaliste qui repose sur l’observation, et le calcul à la marge, c’est à dire sur l’étude des effets induis par des variations unitaires à partir d’une situation donnée. Cependant cette valeur est subjective car elle dépend du degré d’importance que l’acheteur

dans les échanges, c’est un « voile ». Les Néoclassiques : -Walras et la théorie de l’équilibre général ; Menger et la révolution marginaliste ; Marshall et la théorie de l’équilibre partiel ; Pareto et son optimum social. -Ces auteurs reprennent les fondements de la théorie classique et la font évoluer en adoptant un comportement marginaliste à la base de la micro. 2.2) Le Keynésianisme. -KEYNES est un économiste anglais du XXème siècle, fondateur de la macroéconomie

troc !). L’expression « L’offre crée sa propre demande » est un raccourci totalement faux dans une économie monétaire. Say démontre un équilibre d’interdépendance des marchés dans une économie de troc. Entre Say, dernier des classiques et les marginalistes, il y a un auteur, un peu à cheval entre les deux : Karl Marx. Chapitre 2 : Karl Marx et la critique du capitalisme Marx est né en 1818 à Trèves (à l’époque en empire Prussien, aujourd’hui en Italie). Il fera ses études à l’université de

qu'il faut laisser faire les choses. Non intervention de l'Etat dans l'économie. Chacun des agents économiques écoutant uniquement leur intérêt générale sera guidé comme par une main invisible. 2- Les néo-classiques (Marginalistes): Léon WALRAS, Fin du XIV siècle, les marginalistes ont réintroduit la demande dans la détermination des valeurs. L'utilité d'une unité d'un bien diminue au fur et à mesure que sa quantité augmente. C'est la notion d'utilité marginale décroissante. 3- La pensée

dans leurs propres intérêts. - Les marginalistes (ou néo-classique) XIXème siècle: Apparition vers les années 1870 où il s’est produit une révolution marginaliste car à cette époque, des économistes ont eu les mêmes idées en même temps, sans pour autant avoir des contacts entre eux. Appelé comme ça parce que pour eux, l’utilité se calcule à la marge. Exemple de marginalistes : Walras, Menger, Jevons… Tous pères fondateurs du mouvement marginaliste. Entre eux, il y a un grand point d’accord

classique? Le courant marginaliste constitue effectivement une rupture importante avec l’analyse classique. Dans un premier temps, c’est l’individualisme méthodologique qui est au coeur de l’économie. Le rapport de l’économie à la société est bien différent des autres auteurs de l’époque classique. Marx définissait l’économie qui fonde la société, Smith disait que l’économie était indépendante de la société et Sismondi que l’économie était dans la société. Le courant marginaliste, de son côté, voit

décroissance de l'utilité marginale sous la forme de ce qu'il appelle une loi de la variation de la sensation. Toute cette effervecsence intellectuelle autour de la notion d'utilité va influencer les auteurs comme Marshall ou Menger. Finalement les marginalistes sont les premiers néoclassiques et vont révolutionner les fondements classiques. Par ex les classiques avaient une vision de long terme, une perspective dynamique dans laquelle était mis en avant les problemes de l'accumulation du capital, de

satisfaction des différents facteurs économiques participant à la production qui déterminent le prix d’un bien. Un autre élément est entré en ligne de compte dans la définition de la vision néo-classiques de la valeur d’un bien , c’est la « révolution marginaliste » de Valras qui définit de manière plus précise l’interprétation de la notion d’ « utilité » promulgué par les néo-classiques au travers de sa notion d’ « utilité marginale » du produit. En effet, pour Valras, la valeur d’un bien ou d’un service