Mariage De Roland

du travail Annexe 3 : Interview d’un salarié de Bourgey Montreuil Roland, salarié chez Bourgey Montreuil depuis 20 ans, nous explique le fonctionnement de son Comité d’entreprise et avantages qu’il bénéficie. Combien êtes-vous dans l’entreprise ? Roland : «  Nous sommes 1 600 salariés en France et 400 en Europe. C’est une grande entreprise » Où le CE se réunit-il ? Roland : «  Le CE se réunit à Méry, c’est là où est le siège de l’entreprise. Il y a des salles de

récit. L’âge des personnages est dévoilé, Pierre a 30 ans, Jean 25, Mme Roland 48 et Mme Rosémilly 23 ans et veuve à 21 ans. L’action se déroule en 1885. La rencontre de Mme Roland et de Léon Maréchal a dû avoir lieu vers 1858. L’union de Jean et de Mme Rosémilly aura lieu dans six semaines et Pierre doit revenir dans un mois. Le récit comporte aussi de nombreuses ellipses et analepses. Personnages : principaux Pierre Roland : L’aîné des deux frères, âgé de 30 ans. C’est le plus sensible et le

mise en scène de ce début de roman correspond dans l'ensemble à celle d'une exposition théâtrale, tout comme l’incipit de Roger Martin du Gard. Les personnages sont présentés petit à petit à travers les dialogues par différents interlocuteurs. « Mme Roland, assoupie à l’arrière du bateau, à côté de Mme Rosémilly invitée à cette partie de pêche, se réveilla, et tournant la tête vers son mari : — Eh bien !… eh bien !… Gérôme !” Grace aux dialogues, nous pouvons avoir quelques indications sur la personnalité

qui que vous soyez. Tout d'abord, le personne de madame Roland, en tant que mère de Pierre et Jean, vous montre l'image d'une mère sensible, avec une souffrance que l'on ne peut que comprendre qu'à la fin du livre. Jean est son fils le plus jeune, celui qui réussir et qui a entièrement l'attention et la preuve d'amour de sa mère; Pierre son fils le plus âge, quand à lui est rejeté, et n'est pas mis en avant par sa mère. Madame Roland est donc une mère divisée avec une différence pour l'amour

personnages et leurs relations. I Un début de roman 1- Narratologie Dans cet extrait, le narrateur est extérieur et son point de vue est omniscient (il connait les personnages comme s’il était sur la barque, plus loin il racontera l’histoire des Roland) ce qui ne sera pas le cas dans les chapitres suivants où le point de vue sera plus fréquemment interne. Le temps est celui du récit (passé simple.) Les descriptions concernent essentiellement le produit de la pêche et le physique des fils. L’emplacement

du clergé et de la noblesse. Estampe, Paris, vers 1789 (coll. Déjà au 18e s., ces inégalités soulèvent des débats. Des philosophes sont convaincus de l’infériorité des femmes (Rousseau). D’autres soutiennent à des degrés divers l’égalité dans le mariage, l’instruction, le droit au divorce, … ou même des droits politiques (Diderot, Condorcet). « La dispute de la culotte », symbole de la lutte des sexes. Estampe, 2e moitié 18e s. (Coll. MuCEM, Marseille). La Révolution française Dès 1788, une grave

la réalité et permettent une satire de la petite bourgeoisie à travers le père Roland qui prononce un juron. - La manne avec l’agonie des poissons est décrite de manière péjorative par le narrateur tandis que M. Roland porte un regard bienveillant sur cette manne à travers la métaphore : « le flot d’argent des bêtes ». II. Présentation des personnages et de l’intrigue. A. M. Roland M. Roland est le pivot de la scène, mais il est désigné de manière péjorative par le narrateur :

est une magicienne qui joue un rôle essentiel dans le mythe des Argonautes. Elle est amoureuse de Jason, ils ont deux enfants. Ensuite Jason répudiât Médée pour se fiancer a la fille du roi de Corinthe : Créon. Elle offre à sa rival une tunique de mariage qui s’enflamme en mettant le feu à toute la ville et Créon et sa fille meurent dans l’incendie. Puis elle tue ses deux enfants. Pour finir elle s’enfuit sur un char magique. Cette fin est incompréhensible pour les Romains car trop immorale. Comment

qui crée l’effet de naturel. « L’ordre des séquences est significatif : narration et dialogue précèdent le commentaire psychologique et le rappel du passé de M. Roland. Le narrateur s’intéresse à l’impression instantanée, à la sensation fugituive ressentie par le personnage. …le but du chapitre n’est pas de nous dire des Roland ou de Mme Rosémilly. C’est de nous faire partagerr un moment de leur vie, tout en nous fournissant, sous forme d’allusions, quelques indication sur eux. Dans cette presentation

surtout de la part de Mme Rosémilly Il y a de sa part un refus des jeux amoureux : "je ne suis pas une jeune fille" (l. 5) Elle utilise le vocabulaire de la logique (relevé des lignes 5 à 10) Elle se préoccupe exclusivement de l'avis des parents Roland (4 des 7 répliques de la conversation tournent autour de ce sujet : les citer) La seule expression de "sentimentalité" qu'elle manifeste pour Jean ("Je vous crois bon et loyal" (l. 19-20) = sous-entendu : "vous ferez un bon mari") montre bie ..