Marian Anderson

sous la 2nd République. Le 14 juillet: Commémorant la Fête de la Fédération(14 juillet 1790).Elle ne devient définitivement jour de la fête nationale qu’en 1879 sous la 3ème République. Elle est célébrée pour la 1ère fois le 14 juillet 1880. Marianne: Buste de femme coiffé d’un bonnet Phrygien(symbole de la liberté rendue à un esclave dans l’antiquité) elle symbolise donc autant la liberté que la République. La devise(Liberté, Egalité, Fraternité): La 1ère version fut composée en 1792 à la

stagiaires-détenus qui m’ont manifesté leur confiance en acceptant de s’entretenir avec moi. J’ai été très sensible au sérieux et à l’enthousiasme de ces différents interlocuteurs. Je dois une mention particulière à Alain Harford, précieux collaborateur, à Marianne Leer et à Shirley Maes, respectivement coordinatrice et formatrice principale de « Passerelle vers la liberté » ; qu’elles sachent combien j’ai apprécié leur sincérité, leur rigueur et leur passion. J’exprime aussi ma gratitude aux nombreux détenus

des journaux, donc il s’agit du langage de la presse écrite, qui s’inscrit déjà dans certains paramètres et qui constitue une catégorie avec des traits spécifiques. Les publications prises en considération sont les deux hebdomadaires, le magazine « Mariane » et le journal satirique « Le Canard enchaîné ». Norme linguistique et écart à la norme Il est bien évident que la langue employée dans les journaux respecte, dans les grandes lignes, les normes du bon usage, des normes d’ordre phonétique,

pays industrialisés comme la France doivent rivaliser avec leurs semblables et les colonies leur semblent indispensables pour assurer leur approvisionnement et des débouchés à leurs produits. 2 La France républicaine est personnifiée par Marianne, une Marianne guerrière ici, vêtue à la romaine, corsetée comme un soldat, victorieuse, le visage serein et triomphant, coiffée du bonnet phrygien et portant une corne d’abondance remplie de pièces d’or. Elle symbolise la démocratie et le modèle républicain

« réfléchissait » « l'existence » ... L'auteur parvient à mettre également ses personnages dans des situations où l'on comprend clairement que ce même personnage est dans sa bulle, rêveur, penseur. Comme dans le texte A (Extrait de La vie de Marianne, de Marivaux) où Marianne sort de l'église, rêveuse, pensante c'est alors que, tellement plongée dans ses pensées, elle n'entend pas le carrosse arrivant derrière elle et qui viendra la percuter. Les auteurs de ces textes parviennent aussi à remettre « l'existence »

Molière: Tartuffe ou L'Imposteur (1664) Présentation: Molière utilise dans Tartuffe le schéma traditionnel de la comédie d'intrigue que l'on trouve dans un grand nombre de ses pièces: la jeune première Marianne et le jeune premier, Valère, s'aiment. Mais le père de Marianne, Orgon, s'oppose à leur mariage, car, obsédé par la religion, il souhaite comme gendre le dévot Tartuffe. Aidés par la servante Dorine, les deux personnages sympathiques essaieront de venir à bout de l'obstacle qui contrarie

Damis, détruit de son amour pour son père entièrement corrompu, ne demandant qu’à croire Tartuffe, se laissant abuser par l’attitude du dévot qui s’accuse de tous les maux et joue l’humilité offensée. Et par toute la famille, il confirme qu’il donne Mariane, sans oublier qu’il chasse Damis en le déshéritant. En conclusion, la scène 6 est une scène dis ironique car Orgon est donc aveugle et ne voit que mensonges même a travers la vérité et ne fais qu’empirer la situation étant donné qu’il est influencé

prostituée sous le bras, guéri de sa tribunalité . Tartuffe : Mme Pernelle : Mère d'Orgon Orgon : Mari d'Elmire Elmire : Femme d'Orgon Damis : Fils d'Orgon Mariane : Fille d'Orgon, amante de Valère Valère : Amant de Mariane Cléante : Beau frère d'Orgon Tartuffe : Faux dévot (accueilli par le crédule Orgon) Dorine : Suivante de Mariane M. Loyal : Sergent Un exempt Flipote : Servante de Mme Pernelle Tartuffe ou l’Imposteur est une comédie en cinq actes en alexandrins de Molière présentée

Jeudi 3 fèvrier 2011 Résumer de Tartuffe Vieille bigote, Mme Pernelle, se querelle avec les membres de sa famille : sa bru, Elmire- seconde épouse de son fils- n’est qu’une coquette ; Damis, son petit-fils, un garnement, et sa sœur, Mariane, une petite hypocrite ; Dorine, la suivante, une effrontée, et Cléante, frère d’Elmire, un libertin ! A tous elle donne en exemple Tartuffe, le saint homme que son fils a recueilli chez lui et institué directeur de conscience. Restée avec Cléante, Dorine

Les deux enfants de l'avare Harpagon, Cléante et Elise redoutent l'avarice de leur père qui fait obstacle à leurs projets de mariage. Cléante aime Marianne, qui vit dans le dénuement. Valère, un jeune galant amoureux d'Elise, s'engage incognito comme intendant de Harpagon. Ce dernier veut marier sa fille à un vieillard et lui-même veut épouser Marianne la bien-aimée de son propre fils. La recherche du voleur de la cassette amènera Harpagon à découvrir la liaison amoureuse de sa fille Elise avec le