Marianne

car dans les bâtiments que l' on voit à gauche je vois la cathédrale Notre Dame. Ce tableau représente l' assaut final des « Trois Glorieuses » le 29 juillet 1830. La femme au centre se nomme Marianne, à sa droite et a gauche du tableau, des gamins de Paris, mais plus particulièrement celui à côté de Marianne sera repris par Victor Hugo dans « Les Misérables » et portera comme nom : Gavroche. L' homme au chapeau haut de forme est un bourgeois, et Eugène Delacroix a voulut se représenter en faisant

Enfin il y a le dialogue de la non-communication, un dialogue dans lequel les interlocuteurs ne se comprennent pas, on parle de quiproquo par exemple dans Le Tartuffe de Molière, Marianne déclame son amour pour Valère alors qu’Orgon pense qu’il s’agit de Tartuffe MARIANE Me suis-je méprise? ORGON Comment? MARIANE Qui voulez-vous, mon père, que je dise Qui me touche le cœur, et qu'il me serait doux De voir par votre choix devenir mon époux? Ou un dialogue dans lequel les interlocuteurs

document ? Quelle a pu être son utilisation ? Quelle est la situation politique réelle des Républicains à cette date ? Quelques pistes de réflexion pour l'analyse : Au centre de l'affiche : - Le personnage central, une femme jeune et belle, Marianne, allégorie de la République éclairée par la lumière de la connaissance (le flambeau) écrase la couronne et le sceptre royaux. Elle tient d'une main le glaive de la justice, de l'autre le drapeau tricolore. Elle est coiffée du bonnet phrygien, symbole

des journaux, donc il s’agit du langage de la presse écrite, qui s’inscrit déjà dans certains paramètres et qui constitue une catégorie avec des traits spécifiques. Les publications prises en considération sont les deux hebdomadaires, le magazine « Mariane » et le journal satirique « Le Canard enchaîné ». Norme linguistique et écart à la norme Il est bien évident que la langue employée dans les journaux respecte, dans les grandes lignes, les normes du bon usage, des normes d’ordre phonétique,

Molière: Tartuffe ou L'Imposteur (1664) Présentation: Molière utilise dans Tartuffe le schéma traditionnel de la comédie d'intrigue que l'on trouve dans un grand nombre de ses pièces: la jeune première Marianne et le jeune premier, Valère, s'aiment. Mais le père de Marianne, Orgon, s'oppose à leur mariage, car, obsédé par la religion, il souhaite comme gendre le dévot Tartuffe. Aidés par la servante Dorine, les deux personnages sympathiques essaieront de venir à bout de l'obstacle qui contrarie

scolaire13. En France, elle prend valeur d'emblème. Son ancrage patriotique lui vaut de devenir un symbole républicain, voire une icône de la République. L'œuvre illustre les billets de banque de cent francs de 1978 à 1995. La Liberté se meut en Marianne pour la série de timbres d'usage courant gravé par Pierre Gandon, « Liberté » de 1982 à 1990. L'œuvre incarne l'idéal révolutionnaire et le combat pour la liberté et pour cela a suscité de nombreuses relectures, appropriations, citations et imitations

supérieure de l'affiche sont une croix de Lorraine et un bonnet phrygien sur lequel est apposée une autre croix de Lorraine. Le bonnet phrygien est l'un des symboles de la Révolution française et surtout de la République puisque c'est lui qui coiffe Marianne, symbole officiel de la République, représentée sur les pièces de monnaie, dans les mairies et édifices officiels, etc. La croix de Lorraine symbolise la Résistance. L'association des deux est donc une façon de placer l'UNR dans la continuité de

A sa gauche, Delacroix coiffé d’un haut de forme tient un fusil. On observe derrière lui des hommes brandissant des sabres et des fusils. La jeune femme représente l’allégorie de la liberté (idée représentée par une personne). C’est aussi une Marianne symbole de la République. Le bonnet phrygien symbole de liberté était porté par les esclaves affranchis dans l’antiquité. Avec ce tableau Delacroix prend partie pour les peuples qui se soulèvent pour obtenir liberté et indépendance. Au sujet de « 

députés, élus au suffrage universel sont la condition sine qua non de la démocratie, or, la démocratie est une VALEUR fondamentale de la République française. Les photographies représentent des femmes en ‘Marianne’, SYMBOLE de la République française et plus précisément encore, allégorie. La Marianne arbore le bonnet phrygien, SYMBOLE de liberté ainsi que la cocarde aux couleurs du drapeau tricolore. Les trois couleurs SYMBOLISENT l’union de tous les citoyens depuis la Révolution française. On retrouve

secrètement fiancée : « Élise : Hélas ! cent choses à la fois : l'emportement d'un père, les reproches d'une famille, les censures du monde ; mais plus que tout, Valère». Finalement, la dernière histoire, est celle de Cléante également fils de l’Avare et Marianne jeune fiancé de ce dernier : «Cléante : Oui, j'aime. Mais avant que d'aller plus loin, je sais que je dépends d'un père, et que le nom de fils me soumet à ses volontés ». Décidément, les histoires d’amour d’Élise et de Cléante sont un peu impossibles