Marie Françoise Collière

avoir une douleur corporelle plus forte pour ne plus sentir la douleur du cœur. Avoir mal physiquement permet d’amortir le coup, quand on a mal c’est qu’on est toujours vivant. Douleur anesthésié chez les sans abris par une déroute de la vie. Marie-France MOREL «  La douleur au féminin : histoire et représentations » Raymon Depardon « Afriques : comment ça va avec la douleur ? » 1996 L’histoire de la douleur est pluriel : médecine, sensibilités, religieuse, sociale, genre. Les théories hippocratiques

n'est pas préétablie, nie programmable, ni répétable d'individu à individu, elle est toujours à penser, à repenser, à créer ». cet aspect est donc plus important aux yeux de l'auteur que la technicité des soins. Walter Hesbeen s'associe à Marie Françoise Collière (auteur de soigner... le premier art de la vie) pour que la différence soit faite entre « les soins » et « LE soin ». Il nous explique la différence entre le « corps objet » fondé sur la médecine et le « corps sujet » fondé sur l'individu

Fiche de lecture : promouvoir la vie Cadre référentiel : Auteur : Marie-Françoise Collière Titre : Promouvoir la vie De la pratique des femmes soignantes aux soins infirmiers Lieu d’édition : Paris Editeur : Inter Editions/Masson Date de parution : 1982 Nombre de pages : 391 Synthèse de l’ouvrage : Les soins qui permettent d’assurer quotidiennement le maintien des fonctions vitales de chacun existent depuis toujours. Pour répondre aux besoins d’aide des médecins, la pratique infirmière

FICHE DE LECTURE : « L’identité infirmière »REFERENCES : PETRUS-KRUPSKY, Marie : infirmière, cadre de santé de terrain puis cadre de santé formatrice en IFSI, est docteur en sciences politiques et sociales.Revue :N°69 Décembre 2020« 20p »LE THÈME : Ce texte est une revue qui traite de l’identité infirmière et plus précisément la recherche de la définition de ce terme. MOTS CLES : Identités InfirmièreUniversitarisationProfessionnalisationGroupe infirmier SoignerVecteur centralInnovationPratiqueActualitéAnalyseDisciplineMédiatisation

par les valeurs, les normes et les modes de pensée qui caractérisent à la fois leurs connaissances et le statut de leurs interlocuteurs. L’activité soignante est une fonction d’entremise desti- née à réunir deux pôles. Comme le relevait Marie- Françoise Collière, « soigner », c’est permettre de passer (passer une étape de vie, par exemple), dépasser, trépas- ser... Les soignants sont des passeurs [3]. La personne soignante a aussi la faculté et les compétences de passer, simultanément, d’un espace

Cette relation se définies comme un ensemble de liens et de rapports qui s’établissent au décours des interactions soignant (celui qui prend soin) /soigné (celui qui reçoit le soin). Cette relation est primordiale dans le soin en effet selon Marie Françoise Collière : «  c’est la relation qui constitue le pivot des soins, en ce sens qu’elle est à la fois le moyen de connaître le malade et de comprendre ce qu’il a, en même temps qu’elle détient elle-même un pouvoir thérapeutique. ». Cette relation soignant/soigné

d’enseigner les soins sont aussi ignorants de l’histoire de leur discipline que les infirmiers qui exercent en psychiatrie. Qu’un étudiant n’ait jamais entendu parler de Pussin, après tout pourquoi pas. Qu’il ignore les écrits de Marie Françoise Collière, de Rosette Poletti, de Marie-Thérèse Balcraquin ou de Walter Hesbeen et surtout les concepts que ces infirmières ont élaboré illustre bien que la formation infirmière est à des années lumière de l’université, qu’elle ne vise qu’à reproduire des tâcherons

Soins Palliatifs et Accompagnement Faculté de Médecine de Rennes Session 2008-2010 Vivre le soin La quête de la juste proximité dans la relation soignant-soigné… Guideur de mémoire : Marie-Noëlle Belloir Stéphanie Mahouin Infirmière au CHU de Rennes 1 Remerciements  A Madame Marie-Noëlle Belloir, cadre infirmier à l’équipe mobile de soins palliatifs au CHU de Rennes, pour m’avoir guidé tout au long de ce travail. Merci pour sa grande disponibilité, son soutien, son écoute

l’URSSAF pour bénéficier du régime général et, pour sa retraite, s’affilier à la CARPIMKO. Il devra aussi souscrire une assurance complémentaire s’il veut être indemnisé en cas d’accident du travail ou de maladie professionnelle. (1) COLLIERE Marie Françoise. Soigner… Le 1er art de la vie, InterEditions, 1996, 346p, page 320 7 1.3- LES COMPETENCES : L’infirmier libéral se doit, comme tout infirmier, de prodiguer « des soins de qualité, à savoir des soins consciencieux, éclairés, attentifs

à l’infirmière ont pour but d’aider le patient à recouvrer son autonomie et quand cela n’est plus possible de retrouver une zone d’autonomie en dépit du handicap. Je me base sur la théorie de Virginia HENDERSON. Comme l’a expliqué Marie-Françoise COLLIERE[4], les soins infirmiers sont de deux ordres : -soins coutumiers ou soins d’entretien et de continuité de la vie (to care = prendre soin de) : ils visent à compenser totalement ou partiellement un état de dépendance d’une personne