Marie Françoise Collière

voir sur internet pour des résumés, car elles écrivent en anglais. Jean-Gilles Boula. Nécessité du détour anthropologique dans les soins médicaux (sur internet). Marie-Françoise Collière (1990). L’apport de l’anthropologie aux soins infirmiers. En : Anthropologie et Sociétés, vol. 14, n° 1, p. 115- 123 (sur internet). Françoise Loux (1982). Traditions et soins aujourd’hui. Paris, InterEditions. Arnold Van Gennep (1981). Les rites de passage. Paris, Editions Picard. Mme. Moniel VERHOEVEN

traitements ciblés sur la pathologie dont elle souffre, pour en réduire au maximum les atteintes et les conséquences, et prendre soin des forces vives de la personne, de tout ce qui en elle est sain et lui permet de résister et de lutter. Marie-Françoise Collière l’avait merveilleusement montré: si la gravité d’une pathologie conduit à augmenter les actions et les traitements ciblés, le prendre-soin doit augmenter en proportion – plus la maladie et ses traitements prennent d’importance, plus ils risquent

Relation soignant-soigné / Respect. Le personnel soignant a une obligation de neutralité tandis que le patient conserve ses signes de croyance ou d'une idéologie. Les soignants doivent permettre l'accomplissement des rites du patient **Marie-Françoise Collière vient de nous quitter in: SOINS, n° 693, 2005.- pp.4. MOTS-CLEFS : Infirmier(e) Brève présentation de son parcours et de sa personnalité; Quelques phrases écrites à sa mort sur le respect de l'individu dans la relation soignant-soigné

pédagogique des étudiants sur les lieux de stage. 1 1.Modifié pour tenir compte des évolutions législatives et réglementaires. Les dimensions du soin – la démarche de soins les diagnostics infirmiers Les dimensions du soin C’est à Marie-Françoise Collière, en France, que l’on doit d’avoir conceptualisé la notion même de soin infirmier, en distinguant le soin du traitement. « Si traiter une maladie est évidemment du ressort de la profession infirmière, ceci ne saurait faire oublier que le soin

individu à l’autre. Elle dépasse les actes techniques et les gestes. Sans elle, la prise en charge ne comporterait que peu d’intérêt tant pour les soignés que les soignants. Concernant le choix entre « soins » et « soin », l’auteur accorde à Marie Françoise COLLIERE que le singulier revêt un aspect abstrait. Toutefois, il avance également les réflexions suivantes : - L’expression « les soins » connote une instrumentalisation, c'est-à-dire des actes posés par des professionnels. - « Faire des soins

perturbations physiques ont forcément une incidence sur la santé psychologique du patient. Elles induisent une souffrance psychologique qui peut être perçue de façon plus ou moins prononcée en fonction de la personne. 13 SANTE SERVICE. CANDOTTI, Anne-Marie. GOLDBERG, James. Santé Service. [sous la dir.] Guide de chimiothérapie ambulatoire. 198. Editions Lamarre : Paris. p. 67 Maret Vanessa, HES 03 Infirmière en oncologie : à huis-clos derrière la porte. 16 HES-SO/Valais – Domaine Santé-Social Centre

sociale. A l’encontre de ce que l’on croit aujourd’hui, ce n’est pas autour de la maladie que se sont développées les pratiques de soins, mais autour de tout ce qui permet de survivre : lutter contre la faim, être à l’abri… » 17 explique Marie Françoise COLLIERE. Aussi, peuvent être considérés comme des professionnels soignants, pas seulement les médecins ou infirmiers, mais aussi les psychologues, professionnels du travail social, etc. Il me semble également important de préciser que soigner

n°33 semble trop générique : seulement 2 infirmiers ont répondu, ce qui rend la question inexploitable.   97 12 Apports, intérêts des résultats pour la pratique professionnelle et perspectives de recherche à partir des résultats Marie-Françoise Collière donne une définition très précise du soin qui permet de renforcer les intérêts et l’utilité de cette enquête scientifique : « c’est une création toujours renouvelée qui exige une grande attention et une fine analyse réclamant de nombreuses

grande question que pose l’histoire – mais c’est l’avers de la première – est celle du changement. Pourquoi les choses changent-elles à un moment donné, et pas à d’autres ? Qu’est-ce qui fait qu’elles changent ? Pour tenter de répondre, l’historien marie des démarches très différentes. D’abord, il contextualise. L’un des présupposés qu’il partage avec certains sociologues, mais dont un Simiand faisait grief à Seignobos, est ce que les Allemands appellent le Zussamenhang : le fait que les différents

dans chaque exemplaire du livre réédité d'un avertissement au lecteur exprimant ses interprétations captieuses. Elle déposa un acte de notoriété fait par devant Maître Attal, notaire de Paris, comportant entre autres les témoignÂges de Madame Françoise Giroud, ancien Ministre et de Monsieur Philippe Ragueneau, compagnon de la Libération, lesquels ont "attesté pour vérité, comme étant de notoriété publique et à leur connaissance personnelle" que Bernard Lazare était mort sans testament ! et ceci