Marie-Joseph Chénier

l’italien aux princesses royales, et nommé à la tête du Théâtre-Italien à Paris, il écrit la plupart de ses pièces en français. Très apprécié par le public français, il écrit en particulier Le Bourru bienfaisant à l’occasion du mariage de Louis XVI et de Marie-Antoinette : la pièce est représentée à la Comédie-Française en 1771 (La Comédie-Française, ou Théâtre-Français, a été fondée en 1680 et se trouve depuis 1799 au cœur du Palais-Royal dans le 1er arrondissement de Paris. C'est le seul théâtre d'État

chant. Publicado por Toni Maganona CHRONOLOGIE DE LA TRAGÉDIE AU 19E SIÈCLE 1789 Marie-Joseph Chénier Charles IX ou l'École des rois Jean-Louis Laya jean Calas 1791 M-J. Chénier Henri VIII M-J. Chénier jean Calas Antoine Arnault Marius à minturnes 1792 M-J. Chénier Caius Gracchus A. Arnault Lucrèce Ducis Othello 1793 M-J. Chénier Fénelon Luce de Lancival mucius scaevola 1794 M-J. Chénier Timoléon A. Arnault horatius coclès Raynouard Caton d'Utique 1795 A. Arnault quinctius

oubliés, que par des auteurs consacrés. Ce sont les œuvres de Belloy, Colardeau, Crébillon père, Destouches, Ducis, Collé, Sedaine, Fabre d'Eglantine, Favart, Houdar de La Motte, La Harpe, La Noue, Poinsinet, … Ce sont aussi les pièces de M.-J. de Chénier, Charles IX (1790), Jean Calas (1793), Henri VIII (1793), Fénelon ou les Religieuses de Cambrai (1799), et autres,… Marivaux se signale par ses principales comédies Le Jeu de l'amour et du hasard (1730), L'Ile de la raison (1727), Les Fausses confidences

vers un régime, fort à la fois par les nécessités stratégiques et par un entourage craignant plus que tout le retour à une anarchie républicaine qui met en péril l’ordre public et les sacro-saintes propriétés entre 1789 et 1799. Régis de Cambacérès, Joseph Fouché (surnommé le Mitrailleur de Lyon sous la Révolution), Jean-Lambert Tallien, entre autres, ainsi que les frères de Napoléon et certains de ses généraux comme Joachim Murat l’encouragent dans ce sens. Le complot de Georges Cadoudal en 1804, qui

et réhabilite sa mémoire, même si le Parlement de Toulouse refusera toujours de revenir sur son jugement et tiendra cet arrêt de réhabilitation pour nul et non avenu. Le procès de Calas a été inséré dans les causes célèbres. Il a fourni à Marie-Josèph Chénier, à Jean-Louis Laya et à Auguste-Jacques Lemierre d'Argy le sujet de drames populaires. Athanase Coquerel a publié en 1858 Jean Calas et sa famille. * L’affaire Sirven Vers 1765, environ trois ans après la célèbre affaire Calas qui s'était

Capturé par les Autrichiens, il est libéré par Napoléon. Il meurt à Paris le 20 Mai 1834. • Danton Georges Jacques Danton est né le 26 octobre 1759 à Arcis-sur-Aube. En 1780, il débute ses études de Droit et achète sa licence. Il se marie le 14 juin 1787. Il est élu président du club des Cordeliers (Un groupe politique de la Révolution française). Condamné à mort par le Tribunal révolutionnaire, il est guillotiné le 5 avril 1794. • Mirabeau Mirabeau est né le 9 mars 1749

de Descartes, René (phi, scie) Fénélon, François de Salignac de La Mothe Fontenelle, Bernard La Bovier de Furetière, Antoine Gongora Y Argote, Luis de Hobbes, Thomas Jansenius, Cornelius Jansen, latinisé en La Bruyère, Jean de La Fayette, Marie-Madeleine Pioche de la Vergne, comtesse de La Fontaine, Jean de La Rochefoucauld, François, duc de Leibniz, Wilhelm Gottfried Locke, John Malherbe, François de Marino ou Marini, Giambattista Molina, Fray Gabriel Téllez, dit Tirso de Molière

révolutionnaire, du dirigisme économique, avec le maximum et la taxation du prix des grains, et de la Terreur,  et la majorité modérée de l'assemblée, tenants d'un retour au libéralisme économique et au gouvernement constitutionnel. Le 8 mars 1795, Marie-Joseph Chénier obtient le retour des 22 chefs girondins proscrits après les journées du 31 mai et du 2 juin 1793 et les insurrections fédéralistes (dont Louvet de Couvray) et des 73 députés (dont Louis-Sébastien Mercier) qui avaient été emprisonnés après

Intro « Dieu fit la Liberté, L’homme a fait l’esclavage. » Cette citation de Marie-Joseph Chenier définit l’esclavage comme étant directement lié a l’Homme puisqu’il en est le créateur. « L’esclavage est la négation de l’être humain pour le réduire à l’état de force de travail brut. Il est l’une des formes les plus constantes de la domination absolue d’hommes par d’autres hommes. » (Atlas des esclavages). Cette définition nous pousse à nous poser des questions sur le terme négation de

angoisses en les vivant à travers la situation qui leur est représentée sous les yeux- On transforme l’émotion en pensée- On peut comparer cette œuvre avec une pieta de l’italien piété qui est une représentation peinte ou sculptée de la vierge Marie pleurant la mort du christ. La similitude du martyre du christ avec le martyre de Marat se retrouve notamment dans la position du corps donné par DAVID, la blessure et le traitement de la lumière en clair- obscur qui amplifie la scène. Les draps évoquant