Marie Stuart

faveur de P. de Ronsard. Sa gloire fut subite et hors mesure. Sa popularité ne faillit jamais. En 1555-1556, il publia ses Hymnes. Il termina ses Amours en 1556 puis il donna une édition collective de ses œuvres, selon la légende à la demande de Marie Stuart, épouse du roi François II en 1560. En 1565, ce sont Élégies, mascarades et bergeries qui parurent en même temps que son intéressant Abrégé de l'art poétique français. En 1563, poète engagé, il publie une Remontrance au peuple de France. L'Académie

hors de propos (cf. Prospero dans la Tempête), aux liaisons prématurées pouvait être liée à une rancune personnelle. On a lieu de penser que Shakespeare arriva seul à Londres en 1587 ou 1588. Ce sont des années de grands événements. En 1587, Marie Stuart, retenue prisonnière depuis vingt ans et en faveur de qui des complots catholiques s'ourdissent périodiquement, est décapitée. En 1588, l'Invincible Armada, qui se croyait déjà maîtresse de l'Angleterre, est mise en déroute : la puissance anglaise

celles des Guise à la tête des Ultramontains, celle enfin du connétable de Montmorency. Poussé par les Guise et désireux d’arrêter l’extension de la réforme, Henri II se dresse d’abord contre l’Angleterre, aux côtés de l’Ecosse que gouverne la régente Marie de Lorraine, sœur de François de Guise. Au mois de mars 1550 ; Henri vient mettre le siège devant Boulogne et réclame la restitution de la ville à la France. Voyant que Charles Quint n’interviendra pas à ses côtés en cas de conflits, l’Angleterre cède

Guise est amoureux de Mme de Clèves, De prendre pour danseur, d'inviter à danser. o s anciennement Mlle de Chartres. D'abord : aussitôt. Catherine de Médicis, la femme d'Henri ll, et Marie Stuart, la femme du dauphin, le fils aîné d'Henri ll, futur François ll6 Singulier : inusité, bizarre. 7 Marie Stuart. 8 ll revenait de Bruxelles, Séquence 1. La scène de première rencontre. Lecture analytique 2. Frédéric Moreau, jeune bachelier, rejoint sa mère en province pour les voconces. ll quitte

déterminante dans cette rencontre.   1°) Un cadre exceptionnel   Nous sommes à la cour du roi et le jour des fiancées de la fille du roi : c'est une situation brillante, un cadre et une circonstance exceptionnelle.   On a des personnages célèbres : on a Mary Stuart, la Baronne, le roi, le reine, Catherine de Médicis, Mr de Nemours et le duc de Guise.   C'est un véritable roman historique.   Les hommes et les femmes sont habillés de façon éclatante. l.38 : « cette princesse était d'une parfaite beauté » : la

Fiche de lecture : La Princesse de Clèves (1678) (Mme de Lafayette) I) Mme de Lafayette et son roman 1. - Marie-Madelaine Pioche de La Vergne, comtesse de La Fayette, était une femme de lettres française. - Née en mars 1634 à Paris et morte le 25.05.1693 - Elle a écrit le 1er roman historique français La Princesse de Clèves. - Elle vient d’une famille riche et de petite noblesse (sa famille gravitait autour du cardinal de Richelieu ce qui fait que sa famille a ses entrées dans le monde

reine Catherine de Medicis (amoureuse du vidame de Chartres puis du duc de Lorraine) (1519-1589) sa maitresse Diane de Poitiers (1499-1566), madame de Valentinois trompe le roi avec le comte de Brissac. son fils François, le dauphin marié à Marie Stuart, la dauphine (1544-1560) sa fille, Elisabeth de France, épouse le roi Philip IV d'Espagne, (1533-1603) la famille des Guises grands princes défenseurs de la religion catholique et rivaux de la famille royale l'ainé, François

de bijoux qui signent les offrandes du roi de France. En effet, nul n’ignore le fait que Diane de Poitiers était la favorite d’Henri II. La nymphe se tenant derrière Diane de Poitiers et. détenant le voile nuptial antique de couleur flamme est Marie Stuart, épouse de François II. La fleur de chardon emblème de leur famille est présente au premier plan on ne peut donc pas se tromper sur l'identité de certains des personnages de ce tableau. À l'arrière plan on peut reconnaître Henri II comme se préparant

Montmorency-Damville. * les Guise : ce sont les meneurs du parti catholique. Cousins du duc de Lorraine, ils connaissent leur ascension politique grâce à Claude de Lorraine et son fils François, les deux premiers ducs de Guise. Grâce au mariage de Marie Stuart avec l’héritier du trône, les Lorrains renforcent les liens entre leur maison et la dynastie des Valois. Dans leur famille s’illustrent également Charles, cardinal de Lorraine, Henri Ier, duc de Guise et Charles, duc de Mayenne. Si l’hostilité

LA PRINCESSE DE CLVES Roman de Marie-Madeleine Pioche de La Vergne, comtesse de, dite Mmede La Fayette (1634-1693), publi anonymement Paris chez Claude Barbin en 1678. Compos en collaboration avec Segrais et La Rochefoucauld, le roman donna lieu une enqute publique dans le Mercure galant (on appelait les lecteurs se prononcer la princesse a-t-elle raison davouer), puis une vritable querelle littraire entre Anciens et Modernes travers la critique de Valincour et la rponse de labb de Charnes,