Marilyn

mouvement du Pop Art. Une tentative d'assasinat en 1986 a failli lui couté la vie. Dans la plupart de ces oeuvres, dont le portrait de Marilyn Monroe, Andy utilise la technique d'impression par sérigraphie, c'est-à-dire que les images utilisées sont en noir et blanc, puis il colore le fond de toile pour enfin imprimer le sujet. Il a peint des acteurs, Marilyn Monroe, des chanteurs, Elvis Presley, la vis-présidente américaine, Jackie Kennedy, des artistes, comme lui-même, ou encore le dictateur

Le pop art utilise des symboles populaires, qui marquent l'inconscient dès l'enfance dans un but de désacralisation de l'œuvre d'art qui auparavant était réservée à une élite et qui ne couvrait que des sujets dit « importants ». De Mickey Mouse à Marilyn Monroe, en passant par Mick Jagger, l'admiration quasi-généralisée de certaines idoles y est exaltée de manière neutre ou non, selon l'artiste. La culture publicitaire de la société de consommation est une autre source d'inspiration (cf. Jasper Johns)

mesure des années et va toucher d'autres domaines comme la mode, l'architecture et le design. Le pop art utilise donc des symboles populaires, qui marquent l'inconscient dès l'enfance dans un but de désacralisation de l'œuvre d'art. De Mickey Mouse à Marilyn Monroe, en passant par Mick Jagger, l'admiration généralisée de certaines idoles y est présentée de manière neutre ou non, selon l'artiste. Les procédés utilisés par les artistes étaient des nouveaux produits qui sortaient tout juste de cette société

adopte la technique qu'il utilise pour ses oeuvres les plus célèbres : la photographie sérigraphiée est reportée sur toile. Les photographies utilisées sont en noir et blanc, il colore le fond de la toile, et ensuite, imprime le sujet, le visage de Marilyn Monroe par exemple, avec seulement quelques détails, pour le rendre plus neutre, pour les reproduire par sérigraphie. Souvent, c'est un motif qui sera reproduit plusieurs fois sur la toile. C'est le stéréotype du Pop art. Ses figures favorites sont

Le pop art utilise des symboles populaires, qui marquent l'inconscient dès l'enfance dans un but de désacralisation de l'œuvre d'art qui auparavant était réservée à une élite et qui ne couvrait que des sujets dit « importants ». De Mickey Mouse à Marilyn Monroe, en passant par Mick Jagger, l'admiration quasi-généralisée de certaines idoles y est exaltée de manière neutre ou non, selon l'artiste. La culture publicitaire de la société de consommation est une autre source d'inspiration (cf. Jasper Johns)

jamais mordue. Seulement les humains ... » «  Les hommes préfèrent les blondes parce que les blondes savent ce que les hommes préfèrent. » « En réponse à la question d'un journaliste de savoir si cela ne l'avait pas gêné de poser nue pour des photo Marilyn rétorqua : Mais non, le plateau était chauffé ! » « A vrai dire, je ne me suis jamais payée la tête de qui que ce soit. J'ai parfois laissé les hommes se piéger eux-mêmes. » « L'idée d'être un symbole me déplaît, mais si je dois être le symbole

de vitrines, des pochettes de disques, des couvertures de livres et des campagnes de publicités, dont la fameuse campagne pour les chaussures I Miller. Il passe ensuite à la sérigraphie et réalise une série de portraits de star américaines comme Marilyn Monroe, Elvis Presley, Marlon Brandon, … Doté d’un bon sens des affaires, il recrute en 1963 un bataillon d’assistants auquel il délègue la production en série de ses réaction. Il emménage dans la Factory, un local industriel qui devient son atelier

celui, iconographique, d’extraire de la presse des photographies des figures et des scènes les plus emblématiques et les plus quotidiennes de la culture populaire américaine : les star du cinéma, du show business et de la politique (Elvis Presley, Marilyn Monroe, Jackie kennedy, puis Liz Taylor). Ainsi que les faits d’hiver. Il s’approprie les stéréotypes de la presse à sensation dans l’espace protégé du grand art et cela en se servant de la photographie puisque ces tableaux sont tous ou presque des

société de consommation, peint des boîtes de soupes Campbell's et des bouteilles de Coca-Cola et d'autres produits courants. Il sacralise ces objets du quotidien. Il passe ensuite à la sérigraphie et réalise une série de portaits de stars américaines : Marilyn Monroe, Elvis Presley, Marlon Brando,... Il met en lumière (critique pour certains) la société americaine à travers les grands thèmes qui la caractérisent : la consommation, le succès et la mort. Il disait :"J'aime l'Amérique, et cela pour diverses

d'être heureux. Nous pensons parfois que des personnes ont réussi professionnellement et nous les envions. A tort. Ce n'est souvent qu'une façade. D'autres qui semblent avoir tout pour elles se révèlent bien différentes de l'image qu'elles donnent. Marilyn Monroe, Mickael Jackson, Amy Winehouse,... Toutes ces célébrités qui ont mal fini. Ils avaient peut-être réussi dans un domaine mais sûrement pas dans tous. Comme dit précédemment, nous n'avons peut-être pas tous les mêmes armes mais nous pouvons