Marine Verlaine

BRISE MARINE Intro : Ce poème a été écrit par Mallarmé. Il fait partie de…………………, publié en …….……. Ce poème appartient à la 1er partie de ………….….Je vais montrer ce qu’est ………………………………..et comment il est exprimé. La fonction du poète au XIXè siècle : Le mouvement romantique a au début du XIXè siècle, mis en avant l’individu et sa sensibilité. Le poète s’est senti un être important, unique : il s’est dépeint comme un prophète (c’est le cas de Victor Hugo) ou s’est vu comme un être différent, capable

Poe, Mallarmé commença très jeune à écrire des poèmes dans l’ombre des parnassiens. Ceux qu’il envoya en 1866 au Parnasse contemporain furent tous acceptés!; parmi eux, «!l’Azur!» («!Je suis hanté. L’Azur!! l’Azur!! l’Azur!! l’Azur!!!») ou «!Brise marine!» sont devenus célèbres. Ces premiers poèmes, écrits entre 1862 et 1864, reprennent l’écriture et les motifs baudelairiens pour exprimer la douleur d’un idéal inaccessible. En 1866, l’œuvre connut un tournant («!je suis mort et ressuscité!»). Mallarmé

tout, fors de vous, hélas ! Paul Verlaine Ce poème de Paul Verlaine a été écrit lors d’un séjour londonien a Londres en 1872. J’ai choisi ce poème car il montrait toute la mélancolie que ressentaient les poètes maudits comme Gérard de Nerval ou Baudelaire ou se mêle relation lyrique ainsi que le thème de la fuite du temps. Ce poème est intéressant car entre un semblant de dialogue et de description d’un paysage idéalisé on éprouve les sentiments lyriques de Verlaine. A une passante La rue assourdissante

par raison,Elle dût bien être assouvieAu retour.Se si pleine est de déraisonQue veuille que du tout déviePlaise à Dieu que l'âme ravieEn soit lassus, en sa maison,Au retour ! François VILLON ,Chanson … Ne vois-tu ces Rochers, remparts de la marine? Grondant contre leurs pieds toujours le flot les mine, Et d'un bruit écumeux à l'entour aboyant, Forcenant de courroux, en vagues tournoyant, Ne cesse de les battre et d'obstinés murmures S'opposer à l'effort de leurs plantes si dures,

Jacques Prévert « faire le portrait d'un oiseau » extrait du recueil intitulé Paroles écrites en 1945 ce travail est comparé à celui d'un peintre nous aurons donc le métaphore d'un peintre à travers ce poème. Ensuite nous aurons un poème de Paul Verlaine « Chevaux de bois » extrait du recueil « Romances sans paroles » on retrouve de la joie dans ce poème car son titre est emprunté à un manège d'un champ de foire et peut nous rappeler notre enfance. Nous aurons aussi un poème de Victor Hugo «  la

me plaît le séjour qu’ont bâti mes aïeux,
 Que des palais Romains le front audacieux,
 Plus que le marbre dur me plaît l’ardoise fine : Plus mon Loir gaulois, que le Tibre latin,
 Plus mon petit Liré, que le mont Palatin,
 Et plus que l’air marin la doulceur angevine. Joachim Du Bellay (1522-1560) Commentaires: Ce poème est un extrait du recueuil intitulé „Les Regrets“ (1558) que Du Bellay a écrit alors qu'il se trouvait en voyage à Rome où il s'était rendu, car il rêvait de voir

voyant par un long immense et raisonné dérèglement de tous les sens […]. » Aussi pour cette quête des sens il lui faut partir : il multiplie les fugues, il partit du foyer familial dès ses 16 ans pour Paris où il y rencontrera ses ainés et son pareil Verlaine qui le surnommera « L’homme aux semelles de vent ». Puis enfin, ne fut t’il pas également ce négociant aventureux jonglant tour à tour avec la vie, tantôt trafiquant d’armes, exportateur, photographe, et tantôt militaire mais pour un temps seulement

Sommaire : I/ Évolution de la poésie à travers les siècles A . Les différentes formes poétiques B . Les genres poétiques II/ Le sentiment amoureux dans un poème A . Étude sur un corpus de trois poèmes : «Mon rêve familier», Paul Verlaine, Poèmes saturniens «Je pense à vous», Pierre Corneille, Rondeaux «Poèmes à Lou», Guillaume Apollinaire, Poème du 9 février 1915 Avis personnel Répertoire de poètes à connaître

île mystérieuse de façon a s’élancer dans l’idéal, il ne se base plus sur la réalité pour oublier. Néanmoins il présente quelques allusions a des endroits réalistes : «  Je vois un port rempli de voiles et de mats encore tout fatigues par la vague marine ». Ici le poète imagine un port en pleine expansion sur une ile paradisiaque. Ce qui pourrait s’apparenter à son exil sur l’île Bourbon, aujourd’hui Réunion connu pour ces fruits exotiques et savoureux. Il semblerait qu’il cherche à partager son expérience

Plus me plaît le séjour qu’ont bâti mes aïeux Que des palais romains le front audacieux, Plus que le marbre dur me plaît l’ardoise fine, Plus mon Loire2gaulois que le Tibre Latin, Plus mon petit Liré3que le mont Palatin Et plus que l’air marin la douceur angevine. 1.« cestui-là »: pour celui-là. Le vers fait allusion au mythe de la Toison d’or. 2. Le nom du fleuve était masculin au XVI° siècle. 3. Village natal de Du Bellay. Texte B - Saint John Perse (1887-1975), « Les Cloches