Marionnette

Dom juan utilise toujours sa rhétorique pour charmer les deux femmes et pour ne pas être embarrassé, il leur parle tout bas. Après avoir parlé à une femme, Dom juan se retourne vers l’autre pour lui dire ce qu’il veut d’elle, comme si c’était ses marionnettes avec lesquels il peut jouer, les deux femmes sont traitées comme des objets sans importance, ce qui compte pour Dom juan c’est de pouvoir les charmer en même temps. Pour lui c’est un jeu la séduction, son but est d’avoir le plus de conquêtes, comme

Les marionnettes des Guignols de l’info 1.3 Les humoristes amis ou ennemis des politiques Les humoristes contribuent à la médiatisation des hommes politiques, dans certains cas ils les maintiennent dans la lumière. Ceci permet aux hommes politiques de devenir en quelque sorte des «vedettes». Certains hommes politiques savent utiliser les humoristes ou l’humour pour améliorer leur notoriété. Par exemple, beaucoup sont fiers que leur marionnette figure aux

chez des gens minables. Qui, d’un siège pliant vous feront honorer (l.663). Elle précise que Mariane aura pour seules distractions des spectacles de marionnettes, vieilleries alors démodées à Paris depuis des années. Là, dans le carnaval, vous pourrez espérer Le bal et la grand’bande, à savoir, deux musettes, Et parfois Fagotin et les marionnettes (l.664-666) Je suis votre servante (l.668) est la formule classique par laquelle on prend congé. Dorine souhaite se retirer et en profite pour rappeler

fondateur de l’alchimie. Cette idée est rendue encore plus pire quand le poète prétend que le diable n’ait seulement produit le mal en nous, mais qu’il « tient les fils qui nous remuent » (v.13) Ainsi, on a l’impression que les hommes ne sont que des marionnettes du diable et par conséquent, du mal. 3e Partie : (strophes 8-10) : L’influence du spleen -Ces derniers quatrains montrent la place important qu’occupent le spleen. Baudelaire est en proie du spleen et nous expose une vie qui n’a rien d’attrayant

semble négative et .... à l'homme. Le regard d'autrui nous influence beaucoup, au quotidien. Sous le regard d'autrui nous sommes en quelque sorte obligés de jouer un rôle permanent afin de faire bonne figure. Nous devenons alors comme une "marionnette" conforme à la société. L'humain est donc emprisonné par le regard des autres, et ne peut se montrer sous son vrai jour par une peur terrible d'être jugé pour ce qu'il est, mais aussi dévisagé, violé dans son intimité. Ce qui est d'autant plus terrible

l’ironie comme le font les créateurs des marionnettes de Canal Plus. De même les humoristes, tels que Sauton, emploient l’ironie pour choquer le public et l’inciter à réfléchir sur le nazisme, avec Charlot, sur la pauvreté, avec Sauton, sur le monde de la politique, avec les Guignols. De ce fait, la frontière entre l’ironie à la peur devient fine. Derai et Guez montrent que la peur alimente le rire, et ce dans les deux sens : plus les personnes devenues marionnettes ont peur, plus leurs créateurs ont peur

généalogiste prouve". Personnage qui se pose comme un héros Un héros de conte : son vêtement est décrit comme tel, ainsi que ceux de ses hommes ("un gros drap bleu", "le gros fil blanc" qui "borde leurs chapeaux") => caricature des soldats, ce sont des marionnettes costumées. 2) Les marques de l'indétermination Lieu : - "une maison", "cette maison" : où se situe-t-elle, dans quel pays ? - "une province"', "cette province" : où se situe-t-elle, dans quelle province ? - noter que "les autres princes ... couvrent

grande simplicité : Candide à la recherche de Cunégonde. Mais cette intrigue n’est qu’un prétexte à l’enchaînement des expériences qui vont constituer l’apprentissage de Candide. Les personnages rencontrés ne sont pas de vrais caractères mais des marionnettes dotées d’une fonction symbolique : Pangloss est l’optimiste, Martin le pessimiste, Cacambo le débrouillard pragmatique, le baron le noble entiché de préjugés aristocratiques, Vanderdendur l’esclavagiste cruel, Pococuranté le blasé, etc… Enfin

l’imaginaire. Le spectacle doit donc pouvoir dégager cet état d’esprit d’un conte fulgurant où l’on est saisi, « impressionné » à partir d’images immédiatement perceptibles. A l’aide des pistes de travail tracées par H. Von Kleist (« Sur le théâtre de marionnette ») ou G. Craig (« l’Art du théâtre ») il y a plus d’un siècle, nous voulons alors creuser un théâtre qui rejette toute imitation réaliste et toute « personnification psychologique » au profit d'un jeu de représentations symboliques. Nous fabriquerons

Carlson : directeur général = chef d’orchestre seul => marionnette dont des centaines de personnes tirent les fils le forçant à agir d’une façon ou d’une autre. (revoir document) Le cadre est incapable de décider de la majorité de ses propres activités. Ce type de travail très chargé est conçu pour éliminer ceux qui sont faibles et mettre en cage ceux qui sont forts. Le cadre est comme un chef d’orchestre ou comme une marionnette selon qu’il a plus au moins le contrôle de ses propres