Marius Sylla

relever les éléments importants qui marquèrent l’ascension au pouvoir de César. Il est issu d’une famille aristocratique ancienne et devint membre du « parti populaire », un mouvement s’opposant à l’aristocratie ancienne et prestigieuse incarnée par Sylla. Il contracta de nombreux prêts afin de se constituer de nombreux alliés. Il se fit ainsi attribuer le proconsulat de la Gaule Transalpine. Son commandement militaire était vaste et cela lui laissait de nombreuses possibilités. Lors de la guerre en

mais manque de main d’œuvre donc on accepte ensuite les plus pauvres Cf. -107 :réforme de Marius : enrôlement complète le service obligatoire+ refonte technique de l’armée et unification de l’armement. =>Les ruraux fournissent essentiel de l’armée dorénavant, armée de volontaire de rang prolétarien, développement d’un esprit de corps autour du poids des chefs * Les consulats de Marius MARIUS élu -107, carrière de militaire, «homme nouveau » car n’a pas une famille noble, mérite uniquement

la critique de a connaissance, du jugement, jugés tous les deux comme étant subjectifs. Ce n’est pas l’homme exceptionnel dont il s’agit, malgré les exemples auxquels il fait référence dans cet extrait : Hannibal, roi d’Espagne, César, Pompée, Sylla et Marius, mais bien l’homme ordinaire qui parait derrière ces noms. 1- L’image du militaire : L’image du militaire, qui foisonne ici t de son champ lexical : victoire, ennemi, courage, guerre, attaquer…, est à ce point révélatrice du projet argumentatif

prive d’abord de tout ce qui les avait amollis [26]. Les légions romaines ont-elles passé sous le joug en Numidie ? Métellus répare cette honte dès qu’il leur a fait reprendre les institutions anciennes. Marius, pour battre les Cimbres et les Teutons, commence par détourner les fleuves, et Sylla fait si bien travailler les soldats de son armée, effrayée de la guerre contre Mithridate, qu’ils lui demandent le combat comme la fin de leurs peines [27]. Publius Nasica, sans besoin, leur fit construire

pouvaient atteindre à la fin de la République. Edifiées par de riches promoteurs, tels que Crassus, qui en louaient les appartements afin de rentrer dans leurs fonds, ces insulae pouvaient être de différents standings. Toutes n’étaient pas des taudis : Sylla, au début de sa carrière, résida dans l’une ces insulae, comme nous le fait savoir la Vie que Plutarque lui consacre. Outre ces immeubles dans lesquels s’entassaient une part non négligeable de la population romaine, on trouvait des formes d’habitat

religieux de Marius Il s'accommode aussi bien des injonctions de la prophétesse syrienne Martha que des révélations du prêtres de la Mater deum, Bataclès. La pratique de la divination et la croyance aux présages l'emportent sur le sens religieux : à ses yeux les dieux ne sont plus que des utilités. Il accorde plus d'importance aux sacrifices qu'au choix des divinités. Marius était presque l'égal des dieux à la suite de ses nombreuses victoires. 2 ) La « felicitas » de Sylla Sylla se caractérise

» l’assemblée des voix discordantes. Ainsi, au moins dans l’esprit, Suétone n’est pas à incriminer de dénoncer l’usage de la force par Octave. Néanmoins, précisons quand même que la proscription n’est pas une arme de son invention. En effet, Marius et Sylla (deux imperatores du premier siècle avant Jésus-Christ)en ont fait un large usage… De la même manière, Suétone renforce sa thèse d’un César le jeune à l’initiative plusieurs actes de violence extrême qui lui valu un désamour. Ligne 29 :

Rome. 2) La 1ère guerre civile (107-79) : Marius contre Sylla. Rome entre donc finalement en guerre civile. Marius défend le peuple, Sylla défend les intérêts des aristocrates. Marius va permettre à une partie de prolétaires (ceux riches de leur enfants) d’entrer professionnellement dans la guerre. Marius est finalement battu par Sylla. Sylla va installer une véritable dictature. Se développe alors un climat de terreur. Après 2 ans Sylla meurt. C’est une agonie pour Rome. 3) La rivalité

chevaliers publics donc un va se détacher, Marius est un militaire modeste. Il va lancer une réforme qui va changer l’histoire de Rome. Marius comprend qu’il remplace le principe de la levée obligatoire des citoyens par une armée de mercenaires qui paye sur ses propres deniers. Se créé un lien de fidélité entre le soldat et le général. Il a un ami qui s’appelle Sylla (consul) qui comprend que l’autorité appartiendra désormais aux imperatores à la tête des légions. Sylla rentre à Rome en 82 avant JC et établit

Julienne : Énée et Romulus, Ascagneou encore les grands hommes de la Res Publica (summi viri) que Auguste proposait pour « servir d’exemple à lui-même et à ses successeurs »4 : Scipion Émilien, Marius, Sylla, Pompée, Lucullus. On notera le caractère rassembleur et consensuel de ce regroupement d'adversaires politiques comme Marius et Sylla, ou Pompée et Lucullus. (Un quadrige est un char antique à deux roues, attelé de quatre chevaux de front, utilisé comme véhicule d'apparat, puis pour les courses.  Pater patriae (latin