Marivaux Costume

à l’admiration et à la pitié. De la même manière qu’Aricie nous paraît une jeune femme fière. Cette pièce étant inscrite dans le patrimoine culturel de tous, on s’attend à ce que les acteurs aient l’âge présumé de leurs personnages, que leurs costumes évoquent un pays lointain, que leur langue soit différente de la nôtre et que le décor ne nous rappelle rien de notre environnement. La mise en scène de Patrice Chéreau en 2003 ? La scénographie : Le spectacle a été représenté aux Ateliers

comprendre ce carillon comme une sorte de signal qui marque l'émer­gence d'un événement. Si aucune époque n'est réellement préci­sée, indices d'une certaine contempora­néité nombreux : épicerie, café, langage courant et actuel des personnages, costumes, montre-bracelet. Le spectateur de 1960 se trouve donc face à un monde qui ressemble au sien ou qui lui est très proche. Si l'on peut considérer la rhinocérite comme représenta­tion de la contagion du nazisme, on remar­quera que la pièce évite cependant

dans le quartier du Bronx au sein d’une famille juive immigrée de Biélorussie, aux revenus très modestes. Dès son adolescence, le jeune Ralph développe un gout évident pour les vêtements de luxe et enchaîne les petits jobs pour s’acheter des costumes hors de prix. A l’âge de 16 ans, Ralph et son frère aîné Jerry décident de changer de nom de famille et adoptent ainsi le nom de Lauren. Ralph n’a pas considéré cette étape comme un déni de son héritage juif mais plutôt comme une nécessité

le costume tahitien de façon traditionnelle. Le paréo ne se portait pas noué à l’épaule comme la figure de droite, de même qu’il n’était pas dans les habitudes d’en baisser le haut comme le fait la figure centrale. Toutefois les femmes nouaient fréquemment leurs paréos de façon à montrer leurs seins. De même, les tissus ne ressemblent pas à ceux que l’on voit sur les innombrables photographies de l’époque avec des tahitiennes vêtues de paréos. Les deux figures réapparaissent avec des costumes en

Grande table envahie de manuscrits, chaises éparpillées, portants croulant sous les costumes... Cela ressemble fort à une répétition interrompue. Mais trois ou quatre valises attirent l'oeil. Un accessoire lourd de signification puisqu'il s'agit ici de quitter l'Egypte pour l'Amérique, le temps des études... Cette adaptation théâtrale tirée de Chicago (2007), deuxième roman d'Alaa El Aswany, a été baptisée par le metteur en scène Jean-Louis Martinelli d'un titre provocateur :J'aurais voulu être égyptien (1)

et à la production facile de l’objet. Enfin la mode à ce moment de l’histoire et réservé à la classe noble, les hommes sont en costume et les femmes ont un costume sévère et de circonstance, presque toujours composé d’un manteau, leur énorme robe était lourde et rapidement fatigante. Mais la mode de monter à cheval à cette époque, laissais les femmes mettre des costumes plus léger et plus simple.

que des costumes ; ce dernier joue un rôle très important dans une pièce. En effet, nous allons voir ses différentes fonctions. Dans un premier temps, nous allons étudier le rôle informatif du costume. Ensuite, nous allons voir par quelles façons ils rendent le sens de la pièce plus accessible aux spectateurs. Pour finir, nous allons voir comment les costumes parviennent à dérider une pièce. Dans une pièce de théâtre, le costume a tout d’abord un rôle informatif ; en effet, les costumes permettent

robes et les costumes de bain. Mais il faudra attendre les années 1910 et Gabrielle Chanel, inspirée par la tenue des marins de Deauville où elle tient une boutique, pour que la marinière entre véritablement dans le dressing féminin. La créatrice souhaite proposer une alternative au costume de bain qui dévoile la nudité des femmes, et incarne une certaine vulgarité selon elle. La mode du bord de mer gagne alors la capitale et ne se porte plus uniquement à l'occasion des bals costumés parisiens. Coco

n'est moins naturel que de s'habiller en femme; sans doute le vêtement masculin est il artifice lui aussi, mais il est plus commode et plus simple, il est fait pour favoriser l'action au lieu de entraver; Géorge Sand, Isabelle Eberhardt portaient des costumes d'hommes[...]. Toute femme active aime les talons plats, les étoffes robustes." Le renoncement de beau confusion des sexes Pourtant, si cet aspect pratique est essentiel aux hommes qui sont supposés mener la société, il engendre le renoncement

se retrouvait entouré de gens venus déguisés pour l’occasion. Un gimmick très suivi, indiquant que tout le monde avait envie de vivre la fête à fond. A l’entrée parmi les nombreux stands trônait une animation ou l’on se pressait pour revêtir un costume de sumo et en découdre avec ses amis. Bref une introduction plutôt festive donnant le ton de cette fête où l’on vient pour s’amuser, partager, plutôt que pour se montrer. Question rafraichissement les points de ventes sont nombreux, avec un personnel