Marqué par la haine

à la fin un extraordinaire étranger : redondance qui marque la distance (sens de étranger, sens de extraordinaire) : irritation ? admiration ? Un texte qui cherche à dévoiler l'autre par une série de questions qui veulent caractériser ses passions, ses goûts : progression de la famille à des idéaux spirituels (la beauté) et matériels (l'or) II/ La différence de l'"étranger" Texte qui joue sur deux champs antithétiques : l'amour et la haine ou l'indifférence.Le verbe aimer encadre le texte, mais

à sens unique : Oreste aime Hermione, qui veut plaire à Pyrrhus, qui aime Andromaque, qui aime son mari Hector qui est mort. C'est un cercle infernal. L'arrivée d'Oreste à la cour de Pyrrhus marque le déclenchement d'une réaction qui, de maille en maille, va faire exploser cette chaîne. L'amour et la haine : Ces deux thèmes sont profondément liés chez Racine. L'amour est passion, mais aussi souffrance. Chacun aime qui ne l'aime pas : Oreste aime Hermione ; celle-ci aime Pyrrhus et ce dernier aime

laisse un vide immense D’où la quintuple répétition du nombre « vingt et trois » qui, concernant des personnes pourvue de qualités exceptionnelles, apparaît extraordinairement élevé. La position anaphorique de ce nombre (vers 32-35) semble marquer la stupéfaction du poète : leur disparition paraît impossible à combler… 3. Il valorise les propos des résistants a) en insérant un fragment de la dernière lettre écrite par Manouchian à sa femme Insertion conséquente puisqu’elle

souffrance physique puisque quand l'enfant paraît, elle cesse immédiatement et totalement d'y penser. Paragraphe 3A À ce moment là, toute la haine de Jeanne accumulée contre Dieu, Julien et Rosalie se métamorphose en un amour fanatique pour son bébé. Le passage "ce miaulement frêle d'enfant nouveau-né lui entra dans l'âme, dans le cœur" marque une séparation entre le passage de cruelles souffrances et celui d'amour infini. En effet, l'instinct maternel reprend rapidement le dessus, puisqu'un

dans d'atroces souffrances. Le tragique mène le protagoniste à une fin irrévocable, contre laquelle il va lutter jusqu'au bout mais en vain. Le tragique mêle des sentiments forts et exacerbés par celui qui lutte contre son destin. La passion et la haine se confondent dans une tension qui retranscrit la menace omniprésente de la fatalité, qui tomberait soudainement et accomplirait la destinée. Notes[modifier le code] Tragique Aller à : Navigation, rechercher

musique et la philosophie mais sa rencontre avec Socrate dont il va devenir le disciple l'incite à se consacrer entièrement à la philosophie. Son premier maître, pour lequel il gardera une grande admiration, le marque profondément tant par ses instructions que par sa mort qui renforce sa haine contre la démocratie athénienne. En effet il ne comprend pas comment la société a pu accuser d'impiété l'homme le plus éminent de son époque et ainsi le condamner à mort. Déçu par la démocratie, il effectue de

médaillons: Les personnages représentés ne sont pas mis en valeur: mal rasés, hirsutes, yeux creusés, ils ont des têtes patibulaires. On note que beaucoup ont l'air jeune. Souvent, dans les portraits, la hauteur du front est accentuée, comme pour marquer l'intelligence perverse de ces « terroristes »   Analyse des légendes: Elles présente le nom de la personne, en majuscules, nom souvent compliqué pour une oreille francophone. Ensuite, on trouve un mélange d'informations disparates: religion

est laissé seul; rentre Pylade qui lui annonce qu’Hermione s’est donné la mort sur le corps de Pyrrhus. Oreste s’emporte contre lui-même puis est pris de folie. Pylade et les Grecs l’emportent pour fuir l’Epire. 4) Les thèmes L'amour et la haine: Ces deux thèmes sont profondément liés chez Racine. L'amour est passion, mais aussi souffrance. Chacun aime qui ne l'aime pas: Oreste aime Hermione; celle-ci aime Pyrrhus et ce dernier aime Andromaque. Mais celle-ci ne peut pas répondre à son amour

Fontaine expose ainsi un homme qui peut surprendre. Jean Anouilh préfère dévoiler une image plus prétentieuse de l'homme dans sa réécriture Le Chêne et le Roseau. Le roseau assimilé à l'homme paraît arrogant et indigne « On sentait dans sa voix sa haine satisfaite. Son morne regard allumé. » L'homme, toujours à travers l'image du roseau, est décrit comme intelligent et conscient de sa condition mortelle dans Pensée 347 de Pascal. « Mais quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble

et péjoratif : « haïe », « haine », « outrage », « insulte » et « admiration », « enthousiasme », « acclamations ». Ces élements insistent sur le fait qu'elle a été lourdement critiquée et a suscité de nombreux soulèvements mais c'est cela qui a permi à cette femme de rester immortelle. D'autres procédés le démontrent comme à la ligne 19 avec l'antithèse « l'admiration a une doublure, la haine, et l'enthousiasme a un revers, l'outrage. » ou les oppositions : « La haine et l'outrage prouvent pour