Marquis De Sade

La fin du recueil est en partie consacrée au marquis de Sade. Ce dernier a marqué de nombreux artistes surréalistes. Il a souvent séduit et impressionné par sa liberté, liberté artistique mais aussi morale, philosophique et politique. Deux dessins et deux textes composent cette partie. À nouveau , la dualité est primordiale. Les deux dessins viennent combler un manque puisque, d'après les mots d'Éluard, « on ne connaît aucun portrait du marquis de Sade, écrivain fantastique et révolutionnaire ». Le

auteurs n’ont nullement besoin de s’ériger en critique pour s’attirer les faveurs du lectorat. Ils doivent en outre se méfier de la censure qui peut interdire les œuvres jugées subversives par les gouvernants et punir les écrivains. Ainsi, le marquis de Sade sera interné en 1801 sur ordre du Consulat sans inculpation et sans jugement pour son œuvre La Nouvelle Justine jugée obscène et scandaleuse ; J’irai cracher sur vos tombes de Boris Vian a été stigmatisé comme pornographique et immoral et son

rêve ») cf psychanalyse et inconscient b) bouleversement des codes moraux : - reprise d'un thème traditionnel (celui de la femme) mais en évoquant plus le désir, l'érotisme et l'envie de possession (ex : le Don) la femme = muse - évocation du Marquis de Sade (inspiration pour les surréalistes) c) thème de la liberté (surréalisme = révolte après la guerre → en quête d'une liberté) - ex : la liberté (cf la liberté guidant le peuple Delacroix) et Narcisse Ouverture : rende hommage au groupe surréaliste

de maintenir l’existence de dieu sans les inconvénients dogmatique et fanatique. D’autres vont plus loin dans la remise en question des croyances et professent un complet athéisme. C’est en particulier le Baron d’Holbach de Diderot et de Sade(Marquis de Sade). Tous ceux-là pensent que la matière ce transforme et s’organise d’elle même sans que l’intervention d’un dieu soit nécessaire. 3) Les inégalités sociales. La question sociales porte sur les privilèges, le rapport homme/femme, l’esclavage

(2de édition). -Paul et Virginie de Jacques-Henri Bernardin de Saint-Pierre, 1789. -L'ile de Tamoé dans Aline et Valcour (Histoire de Sainville et de Léonore) du Marquis de Sade, 1795 3) - Éloigné des populations dystopiennes (dans certains cas fortifications naturel) - Nourriture en abondance - Égalité de la population - Comportement vertueux des utopiens - Ouverture

Pour ma part, je suis certain que mes géniteurs ne m’ont pas enseigné ces comportements, c’est dire que la seule avenue qui se profile devant mon esprit est celle de l’aspect ontogénétiquement inné de la cruauté. Serai-je capable d’imiter le Marquis de Sade, qui confronta sa cruauté et proclama haut et fort la fascination et le plaisir malin que lui apportait la douleur de l’autre? Sans doute mon inclinaison n’est pas aussi prononcée que celle de cet homme excentrique. N’empêche que je me surprends

en deux parties inégales, précédées par un frontispice (dessin d’introduction) et d’une préface de Paul Éluard. La première partie comporte trente dessins et poèmes, la seconde en compte vingt-quatre. On trouve ensuite une partie consacrée au Marquis de Sade : deux portraits de lui imaginaires commentés par Éluard. Puis on trouve une partie intitulée « Portraits » qui comporte six dessins, enfin se trouve une partie « Détail », qui compte quatre détails de dessins de Man Ray, issus du recueil lui-même

de Laclos, né à Amiens le 18 octobre 1741 et mort à Tarente le 5 septembre 1803, est un écrivain et officier militaire français. Ce cas unique dans la littérature française, a été longtemps considéré comme un écrivain aussi scandaleux que le marquis de Sade ou Restif de la Bretonne. Il était un militaire sans illusions sur les relations humaines, et un écrivain amateur, cependant son projet phare était de « faire un ouvrage qui sortît de la route ordinaire, qui fît du bruit, et qui retentît encore

Eugénie de Franval de Donatien Alphonse François de Sade D’abord un petit mot sur l’auteur : Donatien Alphonse François de Sade, né le 2 juin 1740 à Paris, est un écrivain français, philosophe, libertin et athée, plus connu sous le nom de marquis de Sade. Issu d’une vieille famille apparenté au Bourbon, Il est d’abord élevé par son oncle, l’abbé de Sade, un érudit libertin puis fréquente deux collèges cotés. Il a eu une vie des plus dissolues et scandaleuses, enfermé par intermittence 12

Sarcastique Inverse de ce qu’il pense. | - Va à l’encontre du roman de femmede chambreNB : il faut être en connivence. | | | | | | - malmène l’illusion réalise. Il dit que son œuvre est une fiction inventée. (gaming-playing) | | | | Marquis de Sade | Les infortunes de la vertus | - Roman à thèse - Compte philosophique | - L’auteur essaye de nous faire adhérer à ses idées (la vertu en ce monde n’est pas récompensée) | - à travers les personnages mais par leurs dires | | | Perso. Stéréotypé