Marquis De Sade

devoir, la liberté, le bonheur, la vérité, la religion] I – La morale ne serait qu'une convention sociale qui sert à éviter que les hommes se nuisent les uns aux autres (Le personnage Glaucon dans la République de Platon, le philosophe D. Sade, le personnage Calliclès dans le Gorgias de Platon) A) L'anneau de Gygès : un révélateur de nos désirs égoïstes B) La loi et la morale sont un compromis qui nous protège les uns des autres C) Mais, est-ce que cela ne conduit pas à justifier le crime

 La religieuse Le texte est un mémoire adressé au marquis de Croismare par la religieuse Suzanne Simonin qui, en 1760, âgée de dix-neuf ans, raconte ses mésaventures. Enfant, elle se sentait rejetée par ses parents. Son père, un riche avocat au caractère très dur, et sa mère, très croyante et soucieuse de son salut, chérissaient

Babylone de Voltaire, 1768. * L'an 2440 de Louis Sébastien Mercier, 1786 (2de édition). * Paul et Virginie de Jacques-Henri Bernardin de Saint-Pierre, 1789. * L'ile de Tamoé dans Aline et Valcour (Histoire de Sainville et de Léonore) du Marquis de Sade, 1795 ------------------------------------------------- Les utopies au XIXe siècle * Le Phalanstère de Charles Fourier v. 1830. * Voyage en Icarie d'Étienne Cabet, 1840. * Les Cinq Cents Millions de la Bégum, de Jules Verne, 1879

Dépasser l’adaptation L’amour de Pasolini pour la littérature l’a mené à adapter un nombre conséquent d’œuvres littéraires au cinéma. Non des moindres, puisqu’il adapta Les contes de Boccace, un évangile, deux tragédies grecques, et un texte du Marquis de Sade. Le première intérêt de ses films vient du fait que Pasolini fait des films d’interprétation, il dépasse le simple cadre de l’adaptation cinématographique classique, comme on a pu la voir dans « le cinéma de qualité française » précédant la Nouvelle

finale. Une parjure ne respecte pas les serments qu’il a fait il ne respecte pas le sacrement du mariage. Il jure « Dieu men garde » A cet époque, le parjure est un délit très grave pouvant aller jusqu’à la prison (Au 18ème siècle le Marquis de Sade fut emprisonné pendant 25 ans car il était libertin). Don juan ne tient pas ses promesses.

scènes de sévices mais également d’orgasme, qui ponctuent le roman, apparaissent comme des clins d’œil de l’auteur à la littérature libertine (Crébillon, Sade...) de son temps, et comme un plaisir personnel qu’il s’offre et offre à son lecteur — noter d’ailleurs que la question de la séduction est évoquée par Suzanne elle-même dans son rapport au Marquis de Croismare en conclusion du roman (Folio Classique p.267, Garnier Flammarion p.194-195).

(1907). À deux reprises (1901 et 1907), il rédige des romans érotiques publiés sous le manteau. Il est aussi chargé de préfacer pour la collection « les Maîtres de l'Amour » des recueils de textes libertins (1909) : il inaugure la série avec le marquis de Sade, alors très peu connu. Ces activités multiples et variées, parfois cocasses, ne sont en aucune manière en contradiction avec sa vocation de poète. Pour Apollinaire, tout événement, si ordinaire qu'il puisse paraître, peut devenir prétexte à

s’il arrive que l’on plaise, il ne faut pas néanmoins s’en repentir, si cela sert à insinuer et à faire recevoir les vérités qui doivent instruire » Citations sur l’ARGUMENTATION 3/4 Citations sur L’ARGUMENTATION 4/4 XVIII°s : XX°s : Marquis Donatien A. de Sade, La Philosophie dans le boudoir (1795) : « Adressez-vous plutôt aux passions qu’aux vertus quand vous voudrez persuader une femme. » Primo Levi, Les naufragés et les rescapés (1986): « Il faut donc nous méfier de ceux qui cherchent à nous

1.Nous allons premièrement voir que tout au long du roman Laclos campe Valmont sous les traits d’un libertin -Le libertin aime faire l’école : Avec lui le plaisir s’enseigne. Cette idée est reprise dans La philosophie dans le boudoir du Marquis de Sade dans son personnage Dolmancé. En effet, en tant que maître de cérémonie, inépuisable en « dissertations » comme en performances physiques Valmont apprend à Cécile, sa « timide écolière »non seulement tous les plaisirs de la chair mais aussi il

Parisiens se préoccupaient plutôt d’un personnage étonnant, qui suscitait concurremment admiration et jalousie : le comte de Saint‑Germain. La rumeur publique nous a laissé de lui un de ces portraits tel qu’on peut en trouver chez Voltaire ou chez Sade : d’allure leste et dégagée, il semblait dans la trentaine, la jambe bien tournée (appréciable avantage en ces temps de culottes et bas de soie), la chevelure noire et abondante remplaçant avantageusement la perruque. On le disait végétarien, chose